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ROCAMBOLE

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Messages posté(e)s par ROCAMBOLE

  1. Un des rares programmes qui me fout systématiquement de bonne humeur ! Chapeau aux deux commentateurs qui sont juste excellents !! D'ailleurs lorsque M6 diffusait l'émission, ce n'était pas les mêmes commentaires et ça perdait énormément...

     

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  2. Absolument, le parallèle Hommes/Insectes & E.T./Hommes est évident et n'est pas un ajout "fantastique" arbitraire.

     

    Pour moi, tout simplement l'épisode le plus inattendu et puissant des deux saisons, sans doute par sa justesse sur la violence latente persistante de l'Homme et son rapport perturbé aux femmes d'aujourd'hui. Un Dante sauvage et noir. Vraiment troublant.

     

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  3. Tu nous a fait une sélection de malade pour demander des conseils ! Il n'y a que du très bon donc de toutes les façons tu devrais tomber sur quelques bouquins qui vont te mettre une grosse mandale...

     

    - Ellroy : découvert il y a 20 ans et pour dire, c'est ce qui m'a fait passé au roman noir... même si je ne suis jamais plus retombé sur un auteur aussi monstrueux. Putain quel choc ! Je te conseillerai aussi de commencer par les Lloyd Hopkins, habituellement un peu sous-estimés (à tort)...

     

    - Kerouac : lu il y a bien longtemps son "Sur la route". Très bien mais attention c'est plus "soft" que le reste de la liste.

     

    - Matzneff : alors là étrangement je préfère ses journaux intimes à ses romans. Le meilleur : "Mes amours décomposés" sur la période 83/84 où il s'enfile pas mal de jeunes filles, quelques enfants philippins, tout en mangeant diététiquement... la vraie vie, quoi !

     

    - Palahniuk : comme tu es cinéphile, sans hésiter commence par le "Fight club"

     

    - Ballard : purée, mes lectures sont vieilles mais je me rappelle avoir adoré "I.G.H." où un immeuble de 40 étages, véritable petite ville, bascule dans la barbarie (au début, un type fait brûler des bottins pour faire cuire un chien !! ). Ses recueils de nouvelles sont hautement recommandables aussi.

     

    - Pacadis : son bouquin est un bon témoignage d'une époque que j'aime beaucoup (il était passé chez Pivot, non ?) mais je ne m'en souviens guère plus dans le détail...

     

    - Bangs : désolé, trop seventies post 68 pour moi !

     

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  4. Tiens quelle coïncidence, c'est le film que je me suis vu cette nuit ! Faut que je me le finisse ce soir car même si les uniformes craignent un peu, c'est quand même un fantasme BD 80's en live ces robots géants qui combattent pour deux blocs opposés !!

     

    C'est prévu bientôt en version collector car je l'ai chopé bradé à 2,50 euros chez Album ?

     

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  5. Vu aussi à L'Etrange Festival, en présence du réal', lors d'une séance bourrée à craquer.

     

     

    Un "grand moment" de ciné underground, parfois effectivement ennuyeux, qui finit quand même SPOILER sur un inceste assumée et une image surréaliste : un feu d’artifice avec en surimpression symbolique deux bras arrachés se donnant la main et les deux têtes coupées du frère et de la sœur voguant dans les airs !!!

     

    Pas étonnant que le réalisateur ai dit en revoyant le film, qu'il avait l’impression qu’à l’époque (1969) « il était vraiment d’dans ! » .

     

    Sinon c’est très Rampo Edogawa-esque, le film étant principalement basé sur « L’Ile Panorama » mais en empruntant, m’a t’il semblé, des éléments à d’autres romans. Ainsi on retrouvait le fameux canapé permettant à un homme de s’y glisser dedans pour « épouser » le corps de la femme y faisant l’amour dessus !! Et je suis presque certain que ce n’est pas dans « L’Ile Panorama » puisque j’avais déjà vu utilisé ce fameux objet dans un autre film japonais « La Maison des Perversités » qui, lui, suivait plus le roman original d’Edogawa où apparaît ce canapé un peu spécial…

     

    Je me rappele aussi que non sans humour, le réalisateur s’est étonné que « tout le monde soit resté jusqu’à la fin » car au Japon ce film n’est montré que dans des séances rarissimes, est interdit de diffusion télé ou vidéo pour cause de tabou et politiquement correct vis-à-vis des êtres difformes ou handicapés peuplant ce métrage. Ce n'est pas l'inceste qui est en cause.

     

    Si le film a des longueurs et des délires typiques de l'époque, ce n'est pas tous les jours que l’on voit des jumeaux avec une swastika sous la plante des pieds, une femme chirurgicalement rattachée à la siamoise par les fesses à un homme (non, ce n’est pas une nouvelle pose du Kama Sutra) et une autre obligée de se nourrir de crabes ayant dévoré son amant !

     

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  6. Oui, oui, ça j'avais bien compris mais pardonnez ma naïveté mais j'ai du mal à voir comment on peut niquer ses jeux entre le court instant où ils quittent leurs précieux ch'tits amaray cases et vont dans la machine protectrice... bon en même temps je ne suis pas un joueur au quotidien donc je les manipule pas tous les jours mes galettes !

     

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  7. Le Métropolis, j'y suis allé avec 2 copains y'a vingt ans (encore plus fort que Nick ) : ambiance pétasses et BTS action co, bien propres sur eux. On s'est barré quand ils ont commencé à nous balancer du Claude François...

     

    Une erreur de casting : nous étions habitués aux soirées corbeaux (goths), punk-alternatifs, psycho, cold et indus et avions essayé (pour une fois !) la "normalité". "Plus jamais ça", comme dirait l'autre !

     

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  8. Monsieur joue sur les mots ? Monsieur préfère le terme "soupirs appuyés" ? Et je ne parle pas du distinguo en la matière entre l'interprétation de Birkin et celle de Bardot...

     

    Et dans "Love on the Beat", c'est plus du gémissement, c'est des cris !

     

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