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Kinatay - Brillante Mendoza (2009)


Steve

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A decent man who steps outside the law finds himself falling into an abyss in this violent thriller from Philippine director Brillante Mendoza. Pepoy (Coco Martin) is a young man studying to become a policeman who has recently married his longtime girlfriend Cecille (Mercedes Cabral), with whom he has a baby. Between school, his wife and the baby, money is scarce for Pepoy, and an old friend, Abyong (Jhong Hilario), tells him he can make good money by helping out some local loan sharks with their collections. While his conscience objects, Pepoy agrees, but while the work involves scaring a few small time hoods at first, things take a grim turn when he's asked to tag along with Sarge (John Regala) and Vic (Julio Diaz) as they collect a debt from Gina (Maria Isabel Lopez), a junkie streetwalker who turns tricks under the name "Madonna." It soon becomes clear that Gina can't pay what she owes and if Sarge can't get cash, he'll take his payment in pain; he beats, rapes and tortures the woman repeatedly in the back of a van as captive Pepoy is taken along for the ride.

 

 

Et honnêtement hein ! Je me suis pris un vrai poing dans la gueule, et j'en ai encore la chair de poule... Putain de Mendoza, t'as encore réussi mon salaud ! Je ne sais pas si je pourrais vraiment argumenter plus que ça, à chaud. Serbis et Kinatay partage les mêmes qualités, celle de nous faire vivre 24h à Manille comme si on était. Les personnages vont et viennent, y'a pas de début et pas de fin, l'histoire a commencé bien avant le début du film et aura un impact bien après le générique, mais on vit ce quotidien au plus près, c'est juste absolument fascinant, bouleversant (et complètement terrifiant dans le cas de Kinatay). On est totalement impuissant à chaque fois, tout peut s'enchaîner tellement vite, le climat est tellement oppressant. Ca me fait à chaque fois l'effet de porter un regard sur le monde assez angoissant, car quoiqu'exotique, on est ramené à des situations profondément humaines. J'ai juste regretté la symbolique un peu lourde parfois, très peu présente dans Serbis, mais qui là se manifeste au détour de signes religieux ou de slogans bien cadrés.

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Deux fois que j'essaie de regarder un film de Brillante Mendoza, deux fois que je ne dépasse pas les 20 minutes. Son cinéma m'emmerde a un point rarement atteint... Impossible de rentrer dans ses images, ses histoires, de ressentir quoi que ce soit pour ces personnages. Blocage. Ennui. Vraiment, je ne comprends pas ses films. C'est vraiment pas un jugement de goût ou de valeur, je ne comprend juste pas sa démarche.

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