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Firepower - Richard Pepin (1993)


Dan

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Los Angeles, 2007. En quelque années seulement, la cité californienne a plongé dans le chaos, au point que le gouvernement donne aux criminels une partie de la ville,une zone de non droit ou la police ne pénètre jamais. Deux flics si risque pourtant, Sledge et Braniff. Aux trousses d'un psychopathe, ils entrent dans un enfer où, entre deux duels jusqu'à la mort, le tout puissant Drexal se prépare à la diffusion à grande échelle d'une antidote plus dangereux que le virus qu'il est censé éradiquer...

 

 

La jaquette sent le bon gros nanar estampillé "Prism Video" avec son Gary Daniels qui en fait des tonnes niveau cabotinage et je me la pète.

"Ouais, alors, pour 1€ dans un cash, ça peut faire passer une chouette soirée à se marrer entre potes avec quelques bières comme avec "Péril Atomique" ou "Gangland 2010" ?"

 

Non, même pas. Ne cherchez pas, ce film est un véritable assommoir, consternant par son rythme parfois à la limite du pachydermique alors qu'il y a du pan-pan-boom-boom et des bastons à foison, mais bon, c'est extrêmement mal filmé et chorégraphié. Pas de scénario, et ça, vous vous en doutiez déjà. Rien de franchement nanar ou d'exceptionnel (même pour rire) : un gros navet.

Un casting qui met au troisième plan Gary Daniels au profit d'un type assez inexistant. A noter la présence de George Murdock, un acteur qui est de toutes les séries.

 

Poubelle.

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Ils ont produit les Los Angeles Heat et quelques films fauchés mais bien sympathiques (autant sur le point de vue action/bis sympa que nanar), alors ouais je leur jette pas la pierre.

 

Mais je persiste et signe : ce Firepower est moisi

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