Frequence Meurtre - Elisabeth Rappeneau (1988)

[Invité]

 

Jeanne Quester est heureuse. Médeçin dans un service d'urgences psychiatrique, elle anime tous les soirs une émission de radio. Son divorce est réussi, son émission marche, sa fille l'adore. On ne dirait jamais que vingt-cinq ans plus tôt elle a vecu un drame horrible. C'est alors qu'il appelle en direct a la radio. C'est Faber, le fou criminel qu'elle a rencontré autrefois, qui lui demande: "Vous croyez qu'il est malsain de laisser des choses inachevees ?".

 

Un frisson dans la nuit ? Terreur sur la ligne ? L'enfance, la mort, le refoulement sexuel et Deneuve a peur. Le spectateur aussi, le suspense décollant dans ses moments bleu nuit. Il y a quelque chose de vraiment angoissant dans les intrusions à l'antenne du tueur, toujours là, jamais loin, et avec lui tout un passé. Jolie réussite dans son ambiance d'angoisse communicative. Bonne interprétation, même si Deneuve est moyennement crédible en animatrice Skyrock.

[Cyril]

Une des premières images marquante que j'ai vu étant enfant est issue de ce film, quand des policiers éponge des litres de sang dans un seau.

[Superwonderscope]

Pas du tout aimé. Très plan-plan, filmé comme une soirée Camera 16 de feu FR3, jouée très mécaniquement, suspense eventé rapidement.

Bofbof.

[Invité]

Pas du tout aimé. Très plan-plan, filmé comme une soirée Camera 16 de feu FR3, jouée très mécaniquement, suspense eventé rapidement.

Bofbof.

 

Ca c'est vrai, le film a une facture téléfilmesque... mais la référence Camera 16 FR3 m'échappe. Ah c'était donc ca !

Ceci dit, je trouve que ca opère convenablement, malgré l'absence de toutes fulgurances.

[Basculo Cui Cui]

 

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