Jump to content

Love camp 7 de Lee Frost (1969)


Dragonball

Recommended Posts

"Love camp 7"

 

 

 

 

 

 

 

2 espionnes sont envoyé dans un camp de concentration allemand pour y entrer en contact avec une scientifuqe qui y est detenu prisonnière.

 

Youppi, voilà le retour des affreux du bis, le vilain petit canard dont on a toujours une certaine appréhention à parler vu sonc caractère sulfureux.

 

Ah ce jour, "Love camp 7" est le plus ancien Nazixploitation que j'ai eu l'occasion de voir. Il date en effet de 1968 soit près de 6 ans avant Ilsa la louve SS et 7 ans avant Salon Kitty, films qui allaient donner beaucoup d'idées aux réalisateurs bis italiens !

 

Malgré son ancienneté, "Love Camp 7" n'en est pas moins un des Nazixploitations les plus dur que j'ai vu, dur, car très premier dégré et dépourvu des délires en tout genre caractérisant généralement le genre.

 

Ici, pas de filles toturées au god electrique, pas de Demiss Roussos enfermé dans une cage ou de relations contre nature avec un Berger allemand )8 , tout est très austère et très froid et le film se borne à aligner des scènes de culs glauqe et filmé d'une façon qui file très rapidement la gerbe (Ahrggg, ces angles de caméras ! )8), parfois entrecoupé de quelques sévices.

 

Ici, impossible de décompresser grâce à un humour involontaire ou à des scènes too much, car le film en est dépourvu.

 

 

Bref, yun film qu'il est bon de découvrir quand on s'intéresse au genre, mais qui est cependant loin d'être aussi intéréssant que ses homologues transalpins.

 

quelques photos !

 

 

 

 

 

Link to comment
Share on other sites

Vite vu, vite oublié et très soft dans mon souvenir.

C'est justement son coté assez "réaliste" qui le rend plus malsain que les autres.

 

Il n'a pas le coté exubérant et "cartonnesque", si on peut dire, des autres films, comme les très bariolés "SS girls" et "La dernière orgie du 3ème reich".

 

Par contre, un qui va parfois très loin, c'est SS camp 5, ou on voit il me semble dans une scène, un groupe de femme nues, dont une enceinte (c'est surtout ça qui m'a marqué et que pour le coup je trouve vraiment déplacée) brulées vives dans un four crématoire. Sans compter des scènes de tortures assez crades.

Link to comment
Share on other sites

Cela fait un bon moment que je n'ai plus regardé de WIP et la mémoire les confond un peu d'autant plus qu'un même film comporte souvent plusieurs titres.

 

Certains m'ont laissé de bons souvenirs (Ilsa ultimes perversions, destin de femme...), d'autres bof car très fades malgré leur titre prometteur (les déportées de la section spéciale SS, les nuits chaudes de la gestapo...).

 

SS camp 5 c'est celui de Mattéi (l'un des meilleurs dans mon souvenir)?

Link to comment
Share on other sites

Cela fait un bon moment que je n'ai plus regardé de WIP et la mémoire les confond un peu d'autant plus qu'un même film comporte souvent plusieurs titres.

 

Certains m'ont laissé de bons souvenirs (Ilsa ultimes perversions, destin de femme...), d'autres bof car très fades malgré leur titre prometteur (les déportées de la section spéciale SS, les nuits chaudes de la gestapo...).

 

SS camp 5 c'est celui de Mattéi (l'un des meilleurs dans mon souvenir)?

 

SS camp 5 est de Sergio Garrone. Dossier très complet sur le réalisateur dans le Charognard 4 (quelques exemplaires encore dispo )

Link to comment
Share on other sites

  • 13 years later...
×
×
  • Create New...