Superwonderscope Posté(e) le 29 juillet 2005 Share Posté(e) le 29 juillet 2005 HEU-REUX! La fox s'est enfin décidée à sortir en DVD cette perle honteusment ignorée, réalisée par Roger Kay (l'illustre réalisateur de la Puce et le Privé en 1980 avec Catherine Alric ) en 1962.Reprenant le titre (mais pas l'intrigue) du film éponyme de 1919. Il est en Scope noir et blanc (le plus beau format du monde) et je vais enfin pouvoir laisser dormir tranquille ma copie VHS qui commençait à fatiguer. le film n'est pas un chef d'oeuvre mais j'adooooooore son ambiance de cauchemar éveillé Pas de visuel ou de spec à ma connaissance. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Superwonderscope Posté(e) le 1 août 2005 Auteur Share Posté(e) le 1 août 2005 le film, écrit par Robert Bloch, avec Glynis Johns et Dan O'Herlihy sera dispo en standard & widescreen. le prix sera visiblement riquiqui (envrion 10 à 12 $). la couverture du DVD: une jolie affiche française : Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bast Posté(e) le 1 août 2005 Share Posté(e) le 1 août 2005 Jamais entendu parler , tu peux detailler le sujet ?Pas un remake apparemment mais pourquoi reprendre le titre alors ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Superwonderscope Posté(e) le 1 août 2005 Auteur Share Posté(e) le 1 août 2005 Il s'agit plus d'un léger hommage qu'n remake du film allameand de 1919. Glynis Johns joue le role de Jane dont la voiture tombe en panne près d'une étrange maison tenue par le Dr Caligari (D.O'Herlihy). Elle va se trouver prise au piège par ce Dr qui semble la plonger dans un état de délire proche de la folie en lui montrant des photographies très suggestives...et personne, dans les personnes bizarres qui peuplent cette maison, ne semble pouvoir l'aider le film maintient un suspense sur les personnages et leurs motivations jusqu'au final. Une musique assez étrange, aussi, baigne le film. Il entre dans la lignée des thrillers psychologiques qui ont peuplé les années 60 mais la patte de Bloch donne un petit plus, tout comme le visuel du film. Sans reprendre les tics de l'expressionisme allemand (sauf peut une scène de cauchemar où l'architecture semble se distendre), il reussit à installer une atmopshère qui tranche avec ses confrères des années 60. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bast Posté(e) le 1 août 2005 Share Posté(e) le 1 août 2005 ok, merci, je pars a la chasse, ça a l'air pour moi Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Basculo Cui Cui Posté(e) le 26 août 2008 Share Posté(e) le 26 août 2008 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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