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Natale

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Messages posté(e)s par Natale

  1. Je n’ai pas vu le film, j'ai des craintes comme j'ai dit confirmées par ce qu'écrit Burallo. Le cinéma de genre existait avant Mad movies et le public du cinéma de genre est bien plus vaste que les lecteurs de Mad movies. Tant mieux si Dolan et son cinéma sont plus modeste que l'image qu'il donne dans les festivals !

  2. Bon, j'ai copieusement détesté.

     

    Presque sans surprise je dirais.

     

    Comme des films a la Talon Aiguille ou autre Lone Star, je peux pas encadre les films d'auteur qui disent faire du genre, alors que tout le film on se tape des histoires a la "le doutage" (et qui prennent vraiment le genre comme pretexte, et juste on sort un flingue dans les 10 dernieres minutes).

    Bref, je caricature (pas besoin de me dire, mais non, c'est pas l'intention de faire un Dirty Harry ou Cape Fear), mais vous voyez ou je veux en venir.

     

    Et j'aime pas le cote "je fais ma victime" de Dolan et "la société est trop degueulasse" comme quand on était en seconde.

     

    Bye bye pour de bon Xavier!

    Tu confirmes mes craintes et comme toi je déteste l'auteur "j'utilise le genre parce pour capter l'attention de ces cons de spectateurs mais le genre c'est beauf et je vaux mieux que ça"

  3. Je trouve pas le film si pétaradant, les scènes de mitraille sont vite expédiées vus que les marines se font laminer en un éclair. Le film gagne sur le terrain de l'ambiance oppressante de ces survivants perdus sur une base hostile sur le traain du suspens très efficace. la scène de Newt et Ripley enfermées avec le parasite est un sommet.

  4. [attachment=0]lf.jpg[/attachment]

    Dans les années 70, la guerre des gangs dévaste New York. Big Eddie et Oncle Frank, deux mafieux et éternels rivaux, s'affrontent pour le contrôle de la ville. Afin de régler définitivement leurs différents, chacun engage un tueurs à gages. Frank fait appel à Harry Crown, honnête et plutôt sympathique, tandis que Eddie contacte Marvin Zuckerman, un cinglé qui se sert de son moignon pour y brancher toutes sortes d'armes mortelles. Le ballet de la tuerie peut commencer !

     

    Polar très curieux avec le cul entre 2 chaises: on passe d'une scène parodique avec les kaboom façon Batman à une scène 1er degré avec des femmes brutalisées, une habitude Robert Dillon l'auteur de prime cut . Richard Harris a la classe en tueur à gages flanqué d'une énorme paire de lunettes. Chuck Connors et son moignon couteau suisse est malheureusement sous exploité mais dynamite l'écran à chaque apparition. Super score rythmé de Mancini qui lorgne du côté de Lalo Schiffrin.

  5. Très grande réussite de Bernard Rose. Dommage qu'on ne retienne de lui que Candyman. Le film baigne en effet dans une ambiance de cauchemar qui rappel les griffes de la nuit avec le père dans le rôle de croquemitaine mais le film se démarque clairement par une une émotion et une poésie qui vous touche en plein coeur. Le score magnifique est signé Zimmer mais surtout Stanley Myers d'après le générique.

    A montrer à vos enfants dès que vous estimerez qu'ils ont l'âge !

  6. Ce topic devient d'utilité publique en cette période de confinement. A mesure que passent les jours, je peine à trouver des films de leur âge. Je leur ai même montré paperhouse. Avant que je leur diffuse la collection René Chateau des classiques de l'horreur et de l'épouvante, si vous avez des idées de films pour mon fils de 6 ans je suis preneur !

  7. J'ai appris récemment que le film est produit et co-écrit par..

    Claude Zidi !

    qui a pris un pseudo pour que la meute des critiques ne lui tombe pas dessus. Connaissant son gout pour filmer les machines et autres instruments, je l'imagine bien à l'origine des accidents domestiques. Il avait rencontré Leroi lors d'un festival d'Avoriaz et ont écrit ensemble le film. Dommage qu'ils n'aient pas collaboré à nouveau.

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