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tomtom

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Tout ce qui a été posté par tomtom

  1. il y a deux version de PAINKILLER je crois j'en ai un e(la première ?) pis j'en ai vu une autre intitulée BLACK edition;; savez ce que c'est ? Car je crois que Battle est une extention non ?
  2. tomtom

    Flightplan - Robert Schwentke - 2005

    ha bon ? Moi, à cahque fois que je prend l'avion... ca n'arrive pas.... dans le film, la fillette a au moins 10 ou 11 ans hein... enfin je crois.
  3. tomtom

    Hostel - Eli Roth (2005)

    ne t'avance pas trop Joe ??? des positions inédites ?
  4. ai caheté (sur les conseils de je ne sais plus qui) PAINKILLER et j'ia vachement aimé j'ai terminé le jeu en une journée (oui en mode facile.oh ca va hein ) bref, j'aime bien... autre chose dans le même genre ? j'ai tenté Far Cry et je n'ai pas aimé du totu
  5. tomtom

    Flightplan - Robert Schwentke - 2005

    bah non, sinon y aurait pas d'histoire
  6. tomtom

    Hostel - Eli Roth (2005)

    moi je rigole pas mal en fait, j'ai l'impression de me revoir a travers Tomtom. Un conseil amical, laisse tomber et respire un grand coup c'est que me disais Wonley également.. bon, dans dix minutes je me tire en week-end. ca passera. c'est chiant de pas se faire comprendre... Mais je vais chasser des oeufs avec les loulous, ca va calmer..
  7. tomtom

    Flightplan - Robert Schwentke - 2005

    ce qui m'a gêné dans le film (que j'ai trouvé diverstissant au demeurant), c'est l'incohérence totale. On fait passer Jodie et sa fille en premier dans l'avion qui est vide - pirouette pratique car comme ça, personne ne peut prétendre avoir vu l'enfant. Les femmes et les enfants d'abord dans un avion, cela n'existe pas dans la réalité...
  8. tomtom

    Hostel - Eli Roth (2005)

    bon allez basta.. pffffff c'est chiant, tu réponds en rien à ce que je dis... j'ai juste dit que je comprend pas ton acharnement. Que je souhaitais plus de choses solides que "beurk caca, salaud de Roth".. mais bon;
  9. tomtom

    Hostel - Eli Roth (2005)

    je ne t'ai jamais insulté !!!!!! t'es débile ou quoi ? en quoi je t'ai insulté... t'es pas bien comme type toi ! j'ai tenté d'expliquer ma pensé de manière encore plus courtoise et tu me chie encore dans les bottes ?!
  10. tomtom

    Hostel - Eli Roth (2005)

    vous n'avez pas compris en fait, du coup vous tirez sur des cadavres j'ai pris la défense du film pour deux raisons. La première, j'aime le film car il correspondait à mes attentes et je n'en attendais plus, ni moins. Faut dire aussi que je n'avais pas lu de previews ni rien. la seconde, j'ai pas compris l'acharnement sur le réal. Un truc d'une telle ampleur (concernant les mots limites insultants sur le mec) m'a complètement sidéré. j'avais pas lu, avant de voir le film, la totalité des 20 pages. Les 5 premières m'ont largement suffit. Le film n'étais pas encore sorti en France qu'il était déjà conspué comme la pire des oeuvres. Je conçois que l'on n'aime pas HOSTEL (durant le film, les autres gens de la prod avec qui j'étais n'ont pas aimé non plus, je suis le seul). Ce n'est pas ça que je conteste je ne conteste pas les goûts. Car c'est impossible et c'est un discours caduque de toute façon. ce que je conteste, c'est la manière dont Roth est traité. Moi, désolé de faire mon papy comme vous dites, mais balancer autant de haine sur un type, ca me dépasse. On dirait qu'il a commis le pire des crimes !! Moi, je reste persuadé qu'il a fait le film le plus honnête possible (selon lui je veux dire), sauf que la survente de l'oeuvre a joué en sa défaveur... voilà ce que je contestais. le fait qu'on lâche son fiel comme j'ai jamais vu. Je le répète, j'ai jaamis vu ça ! Jamais vu autant de hargne sur quelqu'un du cinéma !!!!!!!!!! moi, ca me dérange. C'est pas ma mentalité. je ne chie pas sur les gens. Ne serait-ce que parce que je sais (et les gens du métier comme Movierev ou Joe, dans un autre registre, ne diront pas le contraire), faire un film est un travail très difficile, exténuant souvent. ceux qui ont déjà réaliser qq chopse ici le savent bien. De ce constat, je respecte un cinéaste qui cherche à faire un film différents (j'entand, sans céder à la standardisation et le mainstream). Même si son film n'est pas un chef d'oeuvre, je ne vois pas de quel droit on lui chie dessus.. C'st dans ce sens que ma phrase va lorsque je dis : "Faites pareil et on en reparle". Je veux dire, le type y a cru à son film, il y a mis de l'énergie, du temps, il a bosser pour offrir un spectacle peu coutumier quand même... A l'instar de tous les gens qui bossent, un réal, quelqu'il soit, mérite un peu de respect pour son taf.... Si je n'aime pas le taf de Cyril sur son forum, je lui dirais. Ton forum est pas beau je trouve... etc. mais jamais je le traiterai de merde pour ça.. voilà, j'espère avoir été plus clair.. cela dit, dragonball (et consorts) arrête d'être agressif contre moi. Tu laisses ton agressivité au placard, tu seras gentil. TOUT ce que j'ai dit, c'est que j'ai lu les 20 pages. Et que je n'ai trouvé rien de ta part sur le film. Hormis les ""merde", "beauf", "foutage de gueule", etc... j'aurais juste voulu quelque chose de plus consistant pour étayer tes dires. Vous critiquer le film sur la base du "j'aime pas, ca marche pas avec moi". Perso, je trouve ça léger pour des fans de cinoche et des connaisseurs. La seule critique valable que j'ai lu (même si je ne suis pas d'accord), c'est celle de Draven. Elle est argumentée et ne se restreint poas au "j'aime pas"... ... voilà, c'est tout..
  11. une sacré surprise pour moi lorsque je l'ai découvert en salle.. ce générique ! Le regard du serveur alien alors que le titre du film arrive pour mémoire Vers la fin des années 80, un gigantesque vaisseau spatial s’échoue dans le désert du Mojave, aux Etats-Unis. À son bord, plusieurs centaines de milliers d’extraterrestres possédant un patrimoine génétique qui leur permet d’effectuer les travaux les plus pénibles. Des années plus tard, les extraterrestres vivent dans des ghettos et sont victimes du racisme « ordinaire » des humains. Soudain, une vague de meurtres s’abat sur la communauté des aliens. Pour résoudre l’affaire, le flic Matthew Sykes va devoir faire équipe avec un inspecteur extraterrestre et percer à jour une affaire criminelle de grande ampleur. Le réalisateur Graham Baker est un habitué du cinéma fantastique. À son actif le dernier volet de la trilogie de LA MALÉDICTION (pas si mauvais qu'on a bien voulu le dire), IMPULSE (pas vu) et le film d’action horrifique BEOWULF (riez !!!!!!). Avec FUTUR IMMEDIAT, Baker met en scène un thriller de science-fiction dont le concept repose sur une idée aussi originale que malheureusement peu exploitée au cinéma : la difficile cohabitation quotidienne entre les humains et les extraterrestres. Comprendre le buddy-movie à la sauce alien. Menée par James Caan et Terence Stamp (fulgurant dans le film), l’intrigue privilégie aussi bien les scènes d’action et les poursuites endiablées que l’étude sociologique des rapports douloureux qu’entretiennent les deux civilisations. Baker n’hésite pas à pointer du doigt les tendances racistes de l’être humain, à l’instar de l’incontournable DANS LA CHALEUR DE LA NUIT (de Norman Jewison) dont FUTUR IMMÉDIAT pourrait être le penchant futuriste. FUTUR IMMEDIAT est produit par Gale Anne Hurd et servit par des maquillages de Stan Winston et Zoltan Elek. Il a été sélectionné au Festival d’Avoriaz 1989. j'ai pas vu les films suivants, ni la série TV. j'ai voulu rester sur une bonne note en fait ! j'ai pas osé "gâ^cher" mon impression du premier film..
  12. yep, malheureusement décédé sans avoir pu voir le film..
  13. Sans aucun doute un des meilleurs films d'anticipation de tous le temps. Un des plus pessimiste aussi. « Ils nous élèveront bientôt, et ils nous abattront comme des bêtes de boucherie » Œuvre prophétique pour certains, chef d’œuvre de science-fiction pour d’autres, SOLEIL VERT est un sommet du cinéma d’anticipation couronné du Grand Prix au Festival d’Avoriaz du Film Fantastique en 1974. Après VINGT MILLE LIEUES SOUS LES MERS et le célèbre VOYAGE FANTASTIQUE, le réalisateur Richard Fleischer apporte, avec SOLEIL VERT, une nouvelle pierre au cinéma fantastique. Versant « adulte » et pessimiste du cinéma de science-fiction, SOLEIL VERT est une adaptation du roman « Make Room ! Make Room ! » de l’écrivain anglais Harry Harrison. Après un générique présentant les avancées technologiques du 20e siècle – et ses effets dévastateurs – le film présente un monde futur où la nature, les arbres et les animaux, ont disparu de la surface du globe. Où les grandes mégapoles suffoquent sous le poids de la surpopulation et de la pollution. Et où, à elle seule, la ville de New York héberge 40 millions d’habitants, dont la plupart se nourrissent d’aliments industriels à base de plancton, fabriqués par la société « Soylent ». C’est donc dans cet univers de chaos ambiant et de misère profonde que Richard Fleischer met en scène l’enquête que mène le détective Robert Thorn (Charlton Heston) afin de faire la lumière sur un meurtre d’apparence crapuleuse. Une investigation qui va le confronter à l’innommable, à l'impensable… Culte parmi les cultes, il s’est imposé comme un vrai brûlot politique teinté de pessimisme. Car, soyons honnêtes, sous couvert d’une enquête policière à suspens, le film de Fleischer brille surtout par sa mise en garde sévère à l’encontre de la modernité, et de la voracité que l’Homme exerce sur sa planète. Ainsi, à grands renforts de décors saisissants et d’une photographie ingénieuse (les couleurs des villes sont étonnamment « passées »), SOLEIL VERT s’attarde à décrire les conséquences du réchauffement de la planète et son interaction sur la faune et la flore : ces dernières ayant quasiment disparu de la terre. Idem en ce qui concerne la pollution, New York étant constamment noyée dans une brume aux reflets verdâtre et jaune dans laquelle se débat une démographie devenue incontrôlable. Une surpopulation dont la majorité vit dans une pauvreté inouïe (la scène des corps dormants dans les couloirs des immeubles fait vraiment froid dans le dos) et se nourrit exclusivement d’aliments synthétiques appelés « Soleil rouge », « Soleil jaune » et « Soleil vert ». À ce tableau noir, Fleischer y ajoute une réflexion sur la condition des femmes, celles-ci étant, dans le film, du simple « mobilier ». Fleischer est l’un des rares réalisateurs hollywoodiens dont la filmographie suffit à imposer le respect. Ainsi, bien avant d’envoyer Charlton Heston dans le futur glauque de SOLEIL VERT, Fleischer se fait un nom en signant la très célèbre adaptation du pavé de Jules Vernes, 20 000 LIEUES SOUS LES MERS avec Kirk Douglas. Au milieu des années 60, sa maîtrise filmique et la rigueur de sa mise en scène, font de Richard Fleischer un des cinéastes les plus couru d’Hollywood. À son actif, le cultissime VOYAGE FANTASTIQUE dans lequel une équipe de scientifiques est miniaturisée puis envoyée dans le corps d’un être humain, DOCTEUR DOOLITLE, qui inspira les récents remakes avec Eddie Murphy, L’ÉTRANGLEUR DE BOSTON et L’ÉTRANGLEUR DE RILLINGTON PLACE, deux thrillers d’une rare intensité, LES FLICS NE DORMENT PAS LA NUIT, chronique caustique sur le métier de flic et enfin CONAN LE DESTRUCTEUR et KALIDOR. Deux fleurons du cinéma d’héroïc-fantasy. Avec SOLEIL VERT, qu’il réalise en 1973, Fleischer remporte le grand prix du Festival D’Avoriaz en 1974. On ne présente plus Charlton Heston. Ses rôles dans les superproductions hollywoodiennes des années 50 et 60 que sont BEN-HUR, LES DIXCOMMANDEMENTS, LES BOUCANIERS ou encore LE CID, l’ont placé au pinacle de la gloire. Dans les années 60, il continue son ascension avec LES 55 JOURS DE PEKIN et le western de Sam Peckimpah MAJOR DUNDEE. Mais c’est en 1968 que Charlton Heston montre son amour du cinéma de genre, notamment de science-fiction, en acceptant le rôle de l’astronaute Taylor dans le célèbre LA PLANÈTE DES SINGES. En 1971, il renoue avec le cinéma fantastique en interprétant le rôle-titre du film LE SURVIVANT. Deux ans plus tard, il secoue le public grâce à son interprétation du policier Robert Thorn dans SOLEIL VERT. Un inspecteur de police qui tente de survivre dans un monde en pleine déliquescence. À ses côtés, le vieux Sol Roth, ex-bibliothécaire et mémoire vivante de « l’ancien monde ». ce personnage, à qui le réalisateur Richard Fleischer réserve l’une des plus belles scènes du film (celle de l’euthanasie), est interprété par l’immense acteur hollywoodien Edward G. Robinson. Lequel, qui signe ici son 101 film, est malheureusement décédé d’un cancer avant la projection du film au public. Au-delà de sa vision alarmiste (quoique…) de notre futur, SOLEIL VERT est aussi un formidable thriller. Une enquête palpitante dont les multiples rebondissements sont autant de révélations qui mènent vers un final époustouflant d’angoisse. Fleischer dose son film de quelques séquences anthologiques. Qui peut oublier la brutalité des pelleteuses ramassant des émeutiers ? Ou encore la mort volontaire de Sol Roth au « foyer » sur fond de musique classique et d’images d’une nature longtemps disparue ? Sans parler de l’horrible découverte de Thorn, lorsqu’il arrive à l’usine « Soylent ». Autant de séquences chocs qui sont inscrites depuis longtemps dans les annales du Septième Art.
  14. tomtom

    Hostel - Eli Roth (2005)

    lol, le truc typique du mec imbu de lui même qui va boudé parce qu'il n'a pas réussit à éclairer le monde de son savoir ! WOOUUUAAAAA !!! A MOI CA NE M AURAI PAS PLU !!!! boaf tu sais... comme tu disais par msn... faut laisser couler...
  15. tomtom

    Hostel - Eli Roth (2005)

    ben justement non. t'as rien expliqué... mais bon.
  16. tomtom

    Hostel - Eli Roth (2005)

    j'édite dialogue de sourd
  17. tomtom

    Hostel - Eli Roth (2005)

    ben ouais, mais justement. ca c'est cool. un parti-pris comme unn autre. Une peinture de personnage comme un autre... non ?
  18. tomtom

    Hostel - Eli Roth (2005)

    Sur ce, je clot là la conversation, sinon elle ve tourner en rond et finir en cabale sur ma pomme...
  19. tomtom

    Hostel - Eli Roth (2005)

    c'est un plaisir de parler avec vous, c'est comme applaudir d'une seule main...Ma prochaine croisade : rester papy tomtom (car si mesurer sa bite, se taper sur les genoux quand on cause cul et déverser sa haine sur un réal, c'est jeune;... vive la vieillesse) je n'aime pas ceux qui déversent leur fiel inutilement sur un type (un réal) juste parce qu'il n'ont pas aimé le film... ma vision des choses est simple finalement. Un film, c'est le même principe qu'avec un livre. Soit la magie entre le réal et le spectateur fonctionne (donc on aime le film à des échelles plus ou moins grande), soit elle ne s'opère pas (donc on n'aime pas le film). Mais cracher sur l'auteur (ou le réal) juste parce qu'on n'a pas accrocher à son oeuvre, le traîner dans la boue et le traiter de merde, c'est un peu fort !! Merde, je trouve ca facile de chier sur un type et une oeuvre. Pour synthétiser, c'est toujours mieux un "j'aime pas parce que si ou parce que ça" que "c'est de la merde en barre, et gna gna gna, et pis le réal est un gros merdeux beaufisant, etc.." Moi, ce que je dis, c'est que Roth a eu les couilles de faire un film salement gonflé dans sa narration (scindé le film en deux), dans sa facture visuelle (pas trop gore, mais des scènes bien méchantes typiques des polar ritals des 70's et 80's), comme dans son concpet global (réac, raciste, pervers et sans concession..) je n'aime pas les films de Bava par exempel (Bava père je parle). Mais jamais je ne me permettrai de cracher à ce point sur l'homme.... A moins que je ne sois capable de tenir la dragée haute. Ce qui n'est pas le cas. Pour finir, ce qui me fait salement chier avec une partie d'entre vous (uniquement sur ce sujet hein). C'est que 1 - vous confondez l'homme et l'oeuvre (sujet de philo ça... et je vous vois venir d'ici ) 2 - Vous cracher sur un film alors que finalement, il a le mérite d'exister; Roth a le mérite de faire des films assez craspec. Et ils sont pas nombreux dans ce cas...On devrait encourager ce genre de films et ce genre d'envie... Cracher à ce point ne sert à rien je trouve;. voilà.
  20. tomtom

    Hostel - Eli Roth (2005)

    n'importe quoi... je répète, j'ai pas lu une suele critiques valables du film sur ce forum.. Et j'ai lu le topic.. J'ai surtout une haine débile de Roth. l'envie foudroyante de chier sur le mec;. de le mettre au pilori... de la flinguer parce que le môsiuer à OSE faire un film pas bon... tsss tss, c'est surtout ça qui me gêne. Je supporte pas qu'on chie sur les gens gratuitement. les défouloirs comme ça, accompagnés d'aucune cohérences critqiues, d'aucun avis développé (sauf Draven et Movie rev), c'est parler pour ne rien dire... mais bon. Avant que le film ne soit sorti en France, tu chier dessus. Tu jubilais à l'idée que le film se prenne une veste.. T'as sur ce quoi le fiel facile. c'est pas cool je trouve.. Roth t'a piqué ton scénar ou quoi ? rarement une haine comme ça sur un réal.. c'est un film bon dieu ; RIEN QU'UN FILM.. et, p Jentend des : "Eli Roth est un beauf"... ha bon ? je vois pas en quoi. Je comprend pasq en quoi il est beauf.. HOSTEL est de la merde !! ha bon ? développe, ça m'intéresse... non ? Bon tant pis. Roth est un roublard ! Ha bon ? il a donc menti ? trompé ? sur quoi ? Sur son film ? ha.. où ça. j'ai vu le film que je m'attendais à voir pour ma part. Faut dire que je ne me suis pas emballé outre mesure.. ca aide. Une vision de l'Europe qui prêt à rire ? ha.. vous vivez en Europe de l'Est ? cela dit, j'ai jamais entendu quelqu'un se plaindre de la vision grotesque que les films survival donnaient des redneck... Mais bon chacun voit midi à sa porte. Pour moi, ça sert surtout le concept à l'hsitoire.. ca ne me gêne pas... HOSTLE s'attarde sur des boites à strip tease : il ya deux scènes. Scènes logiques si l'on se met dans la peau des héros. Comédie pour voyeur joyeux... heu... j'ai pas du voir le même film... je vois pas en quoi c'est une comédie... il ya du cul ? ha oui, c'st vrai. donc c'est une comédie pour voyeur. que je susi con On s'attarde sur les seins ? Archi faux !! il n'y auacun plan de compromis sur les seins. Il ne sont jamais filmé en gros plans inutilmeent. Et one s'attarde jaamis dessus longuement. Vous retenez que ça du film vous ? Ls putes d'Amsterdam c'est chiant ? ben ouais mais c'est le but du film hein. Les gars cherchent à naviguer dans ce milieu. D'où acte. Draven dit : " Roth est un roublard et sait exactement à qui il destine son film: à un public typiquement adolescent ou un peu simple qui va s'extasier devant une paire de sein de chaude et une tronconneuse en action!" je ne suis pas d'accord du tout. le film est pas pour les ados je trouve... Il n'édulcore en rien son propos. Il ne montre pas tout ? Et alos ? S'il montre tout, on va le traiter de garnd guignol poussif. s'il ne montre rien, on le traite de couille molle... faut faire quoi ? un mixe. mais même un mixe ca plait pas. Draven se contredis juste après en disant que Roth verse dans la surenchère.. faut savoir !! Je susi d'accord avec d'Amato quand il dit "De toute façon tu n'aimes pas ce film pour d'autres raisons. Alors va voir un psy".. c'est louche de conspuer avec une telle hargne quelqu'un... quelqu'un qui t'a rien fait en plus ! en somme tous le monde à donné son avis, sauf toi. Tu chie sur le film et son réal, et t'as même pas pondu une critqiue qui tienne la route !!!!!!!!! (par contre, j'aime bien les réponses de Joe sur topic, quel tueur celui-là)
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