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MartinG

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Messages posté(e)s par MartinG

  1. ah ouais effectivement, ça confirme ce qu'il me semblait, les gens n'aiment pas ce film!

     

    Moi je l'ai trouvé excellent quoi qu'un peu old school pour son époque. Pour une raison que j'ignore j'étais persuadé qu'il datait de la fin/mileu des années 90.

     

    A part la conclusion de l'histoire un peu laborieuse, j'ai aimé: c'est sale et pervers: un grand pouvoir qui ici n'implique aucune responsabilité, Kevin Bacon fout vraiment les boules avec son personnage "je suis super balèze et invisible et je vous emmerde". Les SFX sont plutôt bien, surtout dans leur utilisation (surtout toutes les scènes avec de la vapeur ou de l'eau).

     

    Après la trashitude supposée je sais pas trop, je sais pas si le film était vendu pour ça, mais ya quand même un peu de sesque, SPOIL un chien qui se fait éclater contre un mur, du sang (et pas que balancé partout)..bien que la scène du viol ait été coupée.

     

    Bon bref pas Paulo à son meilleur, mais quand même du lourd pour moi!

  2. Je suis en train de mater le premier, et c'est vraiment très très con! Surtout maintenant avec 30 ans de recul. C'est beaucoup de trucs qu'on a vu et revu 50 fois depuis à la TV, et surtout sur internet. MAis j'imagine qu'à l'époque ça pouvait avoir un minimum plus d'impact.

     

    C'est je pense à 90% fake, et c'est souvent un cumul d'idées stupides (les gens qui mangent des vers de terre, les narutistes qui se marient en parachute, les car-wash avec des laveuses de voiture topless). Bon mais globalement c'est bon enfant alors ça va, ça se regarde dans la bonne humeur!

  3. Ayyé a vu, bon... faut quand même être bien indulgent!

     

    Déjà on a une VF sur-réaliste, m'enfin ça c'est quand même pas la faute du réal! Bon pour le reste, ya une vraie ambiance, mais c'est un film très très ancré dans son époque qui mal vieilli: Mise en scène plan-plan, longs passages de discussions pas super intéressants, protagonistes très très cons qui semblent systématiquement faire le plus mauvais choix etc.

     

    Bon après reste cette ambiance plutôt sympa et pas mal foutue de psychose et paranoia ambiante, et quelques bonnes gueules dont Jack Palance. Et aussi David Caruso tout jeunot en short ras les burnes

     

    Le film qui aurait donc inspiré Predator. Possible, le pitch est ressemblant, et Kevin Peter Hall est dans les 2 costumes, mais ça va pas beaucoup plus loin. Disons que faut pas le regarder en se disant "chouette, c'est le prequel de Predator" Mais ça on s'en doutait!

  4. BOX-OFFICE

    "Avatar" détrône "Titanic" et devient numéro un mondial

     

     

    C'est fait, James Cameron est bel et bien "the king of the world". Sa fable de science-fiction, Avatar, s'octroie le titre du plus important succès commercial de l'histoire du 7e art, devant Titanic , ont annoncé les studios Fox.

     

    Les chiffres définitifs du 25 janvier ne seront connus que ce mardi 26 janvier au soir (heure française). Malgré cela, il est d'ores et déjà acquis que James Cameron est parvenu à ravir sa propre place au sommet du box-office mondial historique. Dimanche 24 janvier, le long-métrage futuriste a généré 1,838 milliard de dollars, à quelques longueurs de Titanic et de ses 1,842 milliard de dollars de recettes mondiales. Selon les estimations de Twentieth Century Fox, Avatar aurait rapporté 15 millions de dollars sur le seul sol nord-américain le 25 janvier. Hors des États-Unis et du Canada, le film a enregistré 1,292 milliard de dollars, faisant tomber le record de Titanic, fixé depuis 12 ans, à 1,242 milliard. En Amérique du Nord, Avatar trône en deuxième position du box-office avec un total de 551,7 millions de dollars. Les experts donnent deux semaines au long-métrage pour surclasser les 600,8 millions de dollars de Titanic

     

    Pourtant le film est moins bien que Starship troopers! Comme quoi hein...

     

    Oui bon blague à part, j'ai du mal à comprendre l'engouement, mais tant mieux pour James! Il a gagné son pari, c'est bien! Je préfère le succès des Na'vis que celui des Ch'tis!

     

    Bon puis en plus le film a soulevé quelques polémiques à deux balles, c'est toujours marrant:

     

    Des polémiques

     

    Les entrées 3D, majorées par rapport aux séances traditionnelles, ont largement contribué aux recettes records d' Avatar . Néanmoins, il est intéressant de préciser qu' Avatar a atteint le score de Titanic en 5 semaines, alors que ce dernier avait mis 10 mois pour parvenir à de tels chiffres. Dans tous les cas, James Cameron a réalisé une performance encore inégalée. En 12 ans et 2 films, le cinéaste américain est devenu le réalisateur le plus rentable de toute l'histoire du cinéma.

     

    Outre ces chiffres mirobolants, l'effet Avatar a également soulevé les contestations. En effet, aux États-Unis, les attaques se multiplient. Rien n'a été épargné. Les ligues antitabac y dénoncent l'usage de la cigarette à cause d'une Sigourney Weaver qui fume comme un pompier et dans des lieux non-fumeurs qui plus est. Du côté des nationalistes et des néoconversateurs, ce sont le discours du colonel et la sauvagerie de ses bombardements qui n'ont pas du tout été appréciés. Le motif ? Ils paraissent justifier la violence infligée aux États-Unis lors du 11-Septembre. Autre attaque : des blogs accusent le film de véhiculer des images racistes, et plus particulièrement de colonialisme. Cerise sur le gâteau, Anne Thompson, grande prêtresse du magazine Variety, accuse James Cameron de plagiat. Mais une fois n'est pas coutume pour le réalisateur américain : lors de la sortie de Titanic , le Tout-Hollywood lui était déjà tombé dessus... Cela ne l'a pas empêché de faire de ces deux films les monstres du cinéma mondial ( lire notre article "Avatar, la polémique ").

  5.  

    Certains sans-papiers sont là depuis des semaines. Des mois. Bilal, lui, vient d'arriver à Calais, venu de son Kurdistan irakien. Avec la fougue de ses 17 ans, il s'imagine que rallier l'Angleterre - où l'attend celle qu'il aime - sera facile. Nettement plus que ce qu'il a déjà subi. De fait, trouver des passeurs, ce n'est pas très dur, à condition d'être plusieurs et de payer 500 euros par tête de pipe. Dissimulé dans un camion, Bilal ne se doute pas qu'il devra, à certains moments, s'enfouir la tête dans un sac en plastique pour éviter les flics, les chiens et leur petite tête chercheuse, cette « espionne du CO2 » qui détecte le moindre souffle suspect...

     

    Il y a un autre moyen, encore plus fou : l'eau. La Manche. Nager des kilomètres dans le froid, en dépit des courants et des bateaux qui patrouillent toutes les dix minutes... A la piscine où il s'est naïvement inscrit pour prendre des cours, Bilal rencontre Simon, l'un des maîtres-nageurs. Pourquoi ce type comme les autres, ni meilleur ni pire, se décide-t-il, soudain, à l'aider ? Par fatigue, peut-être, d'être devenu ce qu'il est - à savoir pas grand-chose. Par regret, aussi, de n'avoir pas été, aux yeux de sa femme, aimante mais partie, celui qu'il aurait pu être. « Il a fait 4 000 kilomètres pour rejoindre celle qu'il aime et moi je n'ai pas été fichu de traverser la rue pour te retenir », dit Vincent Lindon, tout en émotion rentrée, à Audrey Dana, qui, elle, n'est que sensibilité...

     

    Je tenais absolument à ouvrir un thread sur ce film, que j'ai vu hier au festival télérama, pour dire tout le mal que j'en ai pensé

     

    Après un début tout à fait correct, le film fait du sur place pendant 1h30 avant de conclure de façon abrupte le récit. Mais il aurait pu se finir de plein d'autres façons différentes, tant le film ne prend aucun risque dans l'histoire qu'il raconte, et tant on a du mal à marcher dans cette histoire qui ressemble plus à un reportage TV qu'autre chose. Sauf que maintenant dans les reportages Tv ils font des grosses efforts sur la musique. Là au bout de deux heures, j'avais un peu envie de me crever les tympans plutôt que d'entendre à nouveau la petite mélodie triste au piano répétée à tort et à travers (syndrome "lily" dans je vais bien ne t'en fait pas)

     

    Et comme c'est ni drôle, ni beau, à quelques plans prêt, vraiment difficile de rentrer dedans. Mais surtout le plus douloureux est la prise en otage infligée au spectateur, ou la facilité, je ne sais pas, mais qui se résume à "on parle de kurdes sans papiers qui veulent traverser la manche à la nage tellement c'est dur pour eux et qui sont oppressés par l'état policier français, alors vous public de gauche vous devez cautionner ce film pigé?" Pénible.

     

    Seul bon point du film, les comédiens, en particulier Vincent Lindon que j'ai trouvé ultra-convaincant. Pour le reste, heureusement que j'ai vu "à l'origine" la semaine dernière, sinon j'aurais perdu le peu de foi qu'il me reste pour le cinéma français.

  6. Le 1 chef d'oeuvre, le second pesance poutrancière, le 3 classe total, le 4 euh....

     

    Des références flagrantes (It, The thing, Dark Star et on en passe..) mais on s'en branle, Scott les explose tous sans pareil. Alien fait partit de cette rare catégorie de film "anti-âge" qui traverse le temps avec une force sans pareil. Un trip ténébreux et quasi-lovecraftien au fin fond de l'inconnu. Avant Le grand bleu, le grand noir quoi...

    Masterpiece !

     

    c'est vrai, mais j'ai trouvé que ça avait un peu vieilli quand même au niveau technique et mise en scène. Pas que c'est pas bien, mais disons que les codes du film d'action/SF ont tellement évolué depuis que je me dis que dans 10 ans, quand je montrerai ça à mon filleul ça lui fera le même effet que quand mon père me montrait des films de Gerard Phillippe. C'est chouette, c'est bien, mais c'est mou par rapport à ce qui se fait maintenant. Enfin ce que je dis est surtout valable pour la fin, qui vire plus "baston" que le reste du film dont la tension restera toujours aussi forte.

  7. Et ben je l'avais jamais vu, j'ai pris une presque-claque. Le seul reproche, c'est que finalement ça manque de loup-garou! Mais hormis ça, l'ambiance tragi-comique du film est hallucinante. 'tain le pré-final dans le ciné porno m'a soufflé! D'autant plus pour l'époque, ou j'ai pas l'impression que ce genre de décalage était très courant. Les discussions avec les "undead" sur comment David devrait se suicider sont énormes. Tout dans ce film est à double niveau, chaque dialogue, chaque scène comporte une part sombre et une part comique, c'est du grand art!

     

    et Jenny Agutter est

     

    Je doute fort que le film de loup garou avec Benicio Del Toro arrive à la cheville de celui là!

  8.  

    Je viens juste de le commencer et y a pas a chier c'est du grand art !

    Rien n'est laissé au hasard et c'est les milles et une trouvaille qui rende l'expérience hallucinante.

     

    Ah ouais? 'tain j'ai commencé la démo, j'ai arrêté au milieu du premier niveau, j'étais juste entrain d'appuyer comme un bourrin sur tous les boutons sans rien comprendre à ce qui se passait à l'écran. Le décor était chouette, mais on voyait strictement rien à ce qui se passait! c'est mieux après?

  9. non mais moi ce qui m'intéresse là dedans c'est de voir à quel point les codes sont repris à tort et à travers sans réfléchir et sans chercher à donner une âme ou une personnalité à l'affiche du film.

     

    En gros le message on sent que c'est "personnage comique sur fond bleu = vous allez vous marrer devant un film familial" et c'est le code prédominant dans les années 2000. Mais effectivement les affiches de ciné ont toujours beaucoup marché par identification (les affiches de films d'horreur / SF des 50/60s, les affiches d'hitchcock, ou les affiches de la shaw brothers par exemple qui se ressemblent quand même beaucoup).

     

    Un exemple interessant, c'est In Bruges. Visiblement les distributeurs se sont dit que ça marcherait mieux si ils le marketaient comme une comédie. Du coup qu'est-ce qu'ils ont fait? Une BA pseudo fun, avec un montage sans rapport avec le film et sur l'affiche...un ciel bleu:

     

     

    Alors que dans le film il fait moche tout le long, et pour cause, c'est super glauque comme ambiance et comme histoire!

  10. En même temps, bon, le ciel, le bleu, c'est sa couleur aussi Ca se tient qu'il y ait bp de films avec un ciel bleu en fond ! Regardez vos photos de vacances, vous en aurez plein avec un ciel bleu en fond

     

    Ben oui mais pourquoi systématiquement des "photos" en extérieur avec le ciel derrière? ça peut pas être des arbres? Un mur? Un éléphant? un camion? une église? une montagne? un temps pourri? Un avion qui se crashe?

     

    non mais c'est l'association "comédie = ciel bleu en fond quelque soit le sujet" qui me fait marrer!

     

    EDIT: oui le renard et l'enfant c'est tout à fait diffèrent, encore que on sait jamais quelle logique ont voulu adopter les distributeurs du film.

  11. HS:

    ça m'a fait marrer cette histoire de ciel bleu, du coup j'ai lancé un thread sur nanarland, dont voici le premier post reprenant les première affiches postées:

     

    Suite à un topic du forum zonebis ou il a été justement observé que les films français visant un public populaire, et plus particulièrement les comédies, avaient toutes un ciel bleu en fond, je me suis dit que ça pourrait être marrant de les recenser !

     

    Et surtout ça nous permettra peut être de comprendre pourquoi faut-il toujours un ciel bleu en background ??

     

    Pour commencer:

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Hors concours mais quand même:

     

     

     

    A vous de compléter la collection

  12.  

    Philippe Miller est un escroc solitaire qui vit sur les routes.

    Un jour, il découvre par hasard un chantier d'autoroute abandonné, arrêté depuis des années par des écologistes qui voulaient sauver une colonie de scarabées.

    L'arrêt des travaux avait été une catastrophe économique pour les habitants de cette région.

    Philippe y voit la chance de réaliser sa plus belle escroquerie. Mais son mensonge va lui échapper.

     

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    Bon ben pour ma part je dirais que j'ai esquivé malgré moi la claque la faute à quelques minutes de trop, surtout au début du métrage (apparemment Xavier Giannoli a déjà coupé 20 minutes sur le montage final) mais à part ça, c'est grandiose. Tout sonne juste là dedans, dans une histoire pourtant absolument énorme et disons...extrapolée d'une histoire qui s'est réellement produite. En tout cas François Cluzet s'est fait mal pour donner une perf de haut vol, Emmanuelle Devos permet quand même au cahier des charges cinéma français en montrant un sein, et Depardiouw est de plus en plus gros et répugnant, ce qui va très bien à son personnage. Soko aussi m'a agréablement surpris, je la trouve plus convaincante que sur scène!

     

    Mais cette histoire hallucinante et son personnage central est prenante de bout en bout, et les comparaisons à Scorsese ou Mann (peut être plus pour les longueurs ) me paraissent justifiés. 'tain ça fait plaisir de voir qu'on arrive encore à faire des bons film autre que des drames sentimentaux ou de la intellodegaucheploitation en France! Pourvu que ça dure!

  13. Je pense qu'il est important de relancer le débat sur Predator 2. Oh oui c'est important, importantissime même!

     

    Oui bon on s'en fout, mais je voulais le revoir depuis super longtemps, c'est chose faite, et c'est quand même beaucoup moins bien que dans mon souvenir

     

    Bon OK c'est du predator, alors on est contant, et puis techniquement ça va (hormis la scène finale ou les incrustation des predators qui apparaissent dans le brouillard est ) mais c'est quand même pas terrible. Toute la violence est hors champ, on comprend rien à la logique de la bestiole et tout est quand même grossièrement amené sans trop de logique. Bon certes on s'en fout, c'est du bourrinage mais quand même, quand ça se voit trop c'est pénible.

     

    Toutes les scènes qui m'avaient impressionné étant plus jeune m'ont complètement blasé: la baston dans le métro ou on voit rien, le fight (qui n'en est pas un) entre le medium rasta et la bêêêête, la scène ou Gary Busey de fait trancher la gueule dans l'abbatoir (bon là encore ça va à peu près mais 'tain, on voit même pas le disque lui arriver dessus!)

     

    Après le côté vintage marche bien, le personnage de Danny GLover est pas mal, ça fait toujours plaisir de voir un film de cette époque avec une VF blindée de punchlines qui tapent bien, mais si on compare au premier, à Aliens, à terminator II qui n'est pas si loin, bah c'est vraiment pas terrible

     

    C'est difficilement comparable parceque les enjeux n'étaient pas les mêmes, mais je me suis plus marré devant AVP requiem!

  14. Mon avis dont on se fout:

     

    j'ai été déception, mais je pense que c'est parceque j'avais trop envie d'aimer ce film! Ayant über kiffé dog soldiers et the descent, j'avais hâte de voir Neill Marshall mettre en scène des bastons avec des punks post nuke!

     

    Et au final ... je sais pas, peut être la partie médiévale, peut être un démarrage trop long, peut être un final un peu foiré (la poursuite est vraiment trop Z), peut être une trame de fond politico-pouet-pouet qui n'apporte rien...

     

    bon bah au final ya quand même des punks en 125, de la tête coupée, du cannibalisme et de la baston, alors forcément forte sympathie pour le film, mais disons que j'en attendais encore plus !

  15.  

    Wan Tin-Sau se dit acteur. En fait, il survit en faisant quelques apparitions dans des productions diverses et variées. Malgré les difficultés, il reste passionné par le cinéma et aime en parler pour partager son art. Il enseigne ainsi la comédie gratuitement, mais à part une ou deux personnes âgées et quelques enfants, personne n'est jamais venu lui demander conseil. Jusqu'au jour où des escort-girls viennent lui rendre visite afin qu'il leur explique comment mieux plaire à leurs clients. C'est ainsi qu’il fait la connaissance de la jolie Lau Piu-Piu.

     

    Une très bonne comédie douce-amère de Stefen Chow, qui vaut son pesant de cacahuète pour les scènes de parodies du ciné HK burné en général et des films de John Woo en particulier. D'autres gags très réussi, et comme d'habitude avec Stephen Chow un mélange d'humour régressif et de blagues plus référentielles et subtiles d'autre part.

     

    A noter que le scénar ressemble beaucoup à celui de la série "Extras" de Ricky Gervais, mais je pense que c'est une coïncidence!

  16. Enfin vu, enchainé avec le 1. J'ai trouvé que cette suite surpasse largement le premier qui était sympatoche sans plus et dont les SFX ont pris déjà un petit coup de vieux.

     

    Ya toujours peu de fond, mais ça envoie du bois: c'est généreux sur les monstres, notamment le passage au marché, ya des têtes coupées et des mecs qui se font boulotter, des blagues et situations pas mal, ça bastonne..un peu de mou aux 2/3, mais pour aboutir sur un final qui tient ses promesses (là ou la scène finale du 1 était expédiée en 2 secondes).

     

    Les choré à la lance du prince machin n'auraient pas dépareillé dans il était une fois en chine!

     

    Bref j'ai bien aimé, et ça m'a même réconcilié avec Del Toro dont le Labyrinthe de Pan m'avait laissé de marbre.

  17. un peu deçu par babel rising! sympatoche mais je trouve un peu dommage qu'il n'y ait que le scoring qui compte.

     

     

    Pour ma part le jeu que j'ai preferé jusqu'à présent c'est Mini squadron. 2,50€ mais bien bien rentabilisés! super addictif avec son gameplay super intuitif, son système de debloquage d'avions et de niveaux et ses petites musiques!

     

  18. J'ai trouvé ça plutôt efficace et pas mal mené et joué. Après je sais pas, j'étais peut être plein d'indulgence dans la mesure ou c'est un genre que je n'aime pas des masses (les film de tortures, séquestration tout ça). Mais j'ai trouvé qu'il y avait certaines idées sur la famille et l'éducation qui étaient pas mal fichues (le besoin de faire plaisir à papa-maman, l'autorité etc.)

  19. Ah bah quand même c'est une histoire 'achement puissante avec un sens plutôt intéressant: Ya pas de justice, pas de logique, juste de l'opportunisme, de la chance, et réussir à se regarder dans le mirroir.

     

    Hyper cynique, hyper marquant, et Scarlett Hyper craquante

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