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Desperado

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Messages posté(e)s par Desperado

  1. (P-S : j'ai trouvé plus pertinent de regrouper toute la saga sous un seul thread plutôt que d'ouvrir potenciellement 20 sujets sur 20 films. J'ai aussi laissé de côté les deux derniers avec Daniel Craig parce-qu'ils ont déjà leur thread et qu'ils s'éloignent quand même pas mal du cahier des charges des James Bond d'antan).

    Mouais, je trouve justement qu'ignorer Daniel Craig dans ce récapitulatif est une erreur.

    D'abord parce qu'il est dans la continuité du Bond incarné par Dalton dans "Permis de Tuer". Et puis parce qu'il correspond beaucoup plus au canon du James Bond tel que créé par Ian Flemming: peu de gadgets, pas de blagues, un Bond avec des états d'âmes, c'est pas tout le temps glamour d'être un tueur au service de la Reine.

     

     

    Non mais j'ignore pas Craig mais comme ses films sont les seuls 007 (avec l'excellent Dangereusement Vôtre) sur ce site, autant aller en parler dans les threads appropriés non ? Après si ça choque tout le monde je peux rajouter sa photo ça me tuera pas .

     

    Bon sinon j'ai revu récemment quelques 007 (été oblige) et voilà mon avis :

     

    Dr No : le 1er film de la franchise. S'il manque Q et ses gadgets, il ne manque pas de nanas (Connery saute sur tout ce qui bouge, méchante comprise), de séquences d'anthologie (la scène de la migale, la poursuite en voiture, le fameux "Bond, James Bond", Ursula Andress en bikini) et d'un bon scénario. Le manque se scènes d'action peut cependant ennuyer le spectateur moderne ou ceux qui ont découvert les épisodes suivant de la saga.

     

    Au service secret de sa majesté : pareil, pas beaucoup de scènes d'action (deux dans tout le film, et même si elles sont assez monumentales, c'est pas assez pour un Bond). Heureusement, le scénario, excellent (quoique assez déroutant pour un Bond puisqu'il tombe amoureux, se marie et perd sa femme) ainsi qu'une réalisation maîtrisée de bout en bout compense cela. Et Lazenby, souvent critiqué, campe un Bond tout à fait crédible. 20 ans avant Dalton, il joue déjà un espion plus réaliste (un seul gadget dans tout le film pour ouvrir un coffre) et blague pas des masses.

     

    L'espion qui m'aimait : remake d'On ne vit que deux fois (on remplace le vol de navettes par un vol de sous-marins nucléaires). Le meilleur film de la période Moore : un torrent d'action, des scènes marquantes (la poursuite en Lotus, la poursuite en ski, la mutinerie, l'ascenseur, la base du méchant). Après deux épisodes un peu décevant, on revient aux fondamentaux qui font le succès de la saga depuis Goldfinger et ça marche.

     

    Rien que pour yeux : bon là on frole la cata. Si la première heure est sympa la seconde est chiante. La scène où Bond parvient à identifier un suspect en donnant des descriptions vagues à un ordinateur est juste , tout comme la fin où notre espion préféré, ne voulant pas discuter au téléphone avec Margaret Tchatcher, lui passe le perroquet de Carole Bouquet. Tiens Bouquet, sans contexte la pire James Bond girl avec... Sophie Marceau. Heureusement qu'il y a une poursuite en 2CV pour relever le niveau Vive la France !

     

    Goldeneye : explosions, poursuite de malade en tank en plein St-Pétersbourg, bon regard critique et comique sur le personnage (Monnypenny se plaint de harcèlement sexuel alors qu'avant c'était elle qui insistait pour flirter avec lui, M le traite de "relique de la guerre froide"), une méchante ultra-charismatique (Xénia), une séquence pré-générique d'anthologie. Le film (comme toute l'ère Brosnan d'ailleurs) est une sorte de best-of de tout ce qui a fait le succès de la saga aupravant. Définitivement mon Bond préféré.

  2. Daniel Craig parce-qu'ils ont déjà leur thread et qu'ils s'éloignent quand même pas mal du cahier des charges des James Bond d'antan

     

    Moi je trouve que la période Craig est la suite logique de la période Timothy Dalton, qui annonçait déjà un virage plus dark et réaliste.

     

     

     

    Entièrement d'accord, le Bond de Craig étant assez proche de celui de Dalton, parfois même plus violent que lui (Permis de Tuer c'est même plus un espion, juste un type qui veut se venger). Mais il y avait quand même certains éléments (Q et ses gadgets, les cascades de malade, le truc avec la cible au début de chaque film) caractéristiques de la saga et qui n'y sont plus aujourd'hui.

  3. Qui dit été dit rediffusions de 007 en pagaille, et cette année ne fait pas exception à la règle. Il y en a un toutes les semaines environ à la TV. Et on se rend compte qu'il en a fait du chemin le 007. De la petite série B produite pour moins d'un million de dollars aux gros blockbusters des années 90, la licence n'a eu de cesse d'évoluer, traversant plus ou moins bien les modes et les époques. Perso, de tous les interprètes, c'est Pierce Brosnan que je préfère, déjà parce-que le rôle lui va comme un gant, mais aussi et surtout parce-que Goldeneye est le premier film que j'ai vu en VHS (hors dessin animé). J'avais 6 ans et mes rétines ne s'en sont toujours pas remises (en plus j'avais le jeu sur N64 que je galèrais à finir).

     

     

    Alors vous, vous êtes plutôt Sean Connery

     

    "Bond, James Bond"

     

     

     

    Georges Lazenby

     

     

     

     

     

    Roger Moore

     

     

     

     

     

    ou encore Timothy Dalton

     

     

     

     

     

    (P-S : j'ai trouvé plus pertinent de regrouper toute la saga sous un seul thread plutôt que d'ouvrir potenciellement 20 sujets sur 20 films. J'ai aussi laissé de côté les deux derniers avec Daniel Craig parce-qu'ils ont déjà leur thread et qu'ils s'éloignent quand même pas mal du cahier des charges des James Bond d'antan).

  4. J'adore ce film : le meilleur Blier selon moi avec Buffet Froid.

     

    "On est pas bien là, à la fraîche, décontracté du gland, et on banderra quand on aura envie de bander

     

    La scène de de Miou Miou est longtemps restée ma scène de cul préférée. On a du la voir 20 fois d'affilée avec un pote, on était écroulé de rire par terre à chaque fois. C'est aussi mon premier film érotique

  5. J'adore, comme les deux autres volets de la trilogie, même si ma préférence va au 2nd, que j'ai du voir 121000000 fois depuis l'âge de 7 ans. Je vais me les refaire avant la rentrée tiens.

     

    Sinon, dans cet opus, la scène la plus marquante est pour moi celles dans les égouts de Venise suivie d'une superbe poursuite en bateau dans les rues de la ville. L'évasion de la prison nazie et le final sont bien trippants également. Non y a rien à jeter dans ce film en fait.

     

    Et la méchante est juste

     

     

    Edit : ça y est enfin revu. Ben mon souvenir en ressort conforté : c'est pas mon épisode préféré mais ça reste du high level quand même. Je suis d'accord avec Natale : c'est dommage que le souffle épique soit quelque peu sacrifié au profit de la comédie. Mais bon je dis ça c'est vraiment pour chipotter car j'ai pris mon pied quand même. Les passes d'armes entre H. Ford et S. Connery valent leur pesant de cacahuètes, c'est bien rythmé et la scène d'ouverture est aussi marquante que celle du premier opus. Vraiment un divertissement quatre étoiles comme j'aimerais en voir plus souvent.

  6. Je l'ai vu hier et je suis déjà en train de l'oublier.

     

    Ca se veut méchant mais c'est assez moraliste finalement, avec une fin qui ferait déprimer SWS.

     

    C'est pas faux, les 5 dernières minutes sont un peu gentilles. Faut aussi avouer que le film se calme un peu niveau vanne dans la dernière demi-heure. Mais je n'oublierai jamais Cameron Diaz en laveuse de voiture :

     

     

     

  7.  

    Synopsis

    Elizabeth a un rêve: subir une augmentation mammaire afin de séduire un homme riche. En attendant d'amasser assez d'argent, elle enseigne dans une école primaire de l'Illinois. Mais elle n'est pas une professeure comme les autres. Au lieu de prendre soin de ses élèves, elle les traite avec indifférence. Lorsqu'elle apprend qu'une récompense monétaire sera attribuée à la meilleure éducatrice, elle décide de se prendre en main, à la grande surprise de sa collègue Amy qui essaie de la dénoncer auprès du directeur. Elizabeth fera tout pour conquérir un nouveau remplaçant charmant et aisé monétairement, fuyant du même coup les avances d'un collègue, un professeur de gymnastique insistant.

     

     

     

     

    Une comédie américaine bien grasse et bien débile. Ca vole pas haut, c'est sans trop de surprise mais on passe un très bon moment, notamment grâce à Cameron Diaz, absolument hilarante en prof je-m'en-foutiste, garce, légèrement droguée et obsédée par sa poitrine. Le personnage du prof de sport est pas mal non plus et Justin Timberlake est toujours parfait lorsqu'il joue une tête à claque . Bref un film parfait pour pas se prendre la tête pendant les vacances ou après une journée de boulot.

  8. Si moi j'aime bien mais pas au point de lui vouer un culte comme beaucoup. Je préfère les Bronzés font du ski. Le gros problème du film c'est selon moi qu'il commence sur les chapeau de roues mais qu'il y a une sacré baisse de régime dans la seconde moitié. En tout cas chez moi la 1ere partie est beaucoup mieux passée que la 2nd. Faudrait que je le revois à l'occaze tiens.

  9.  

    Jules, un jeune postier, est fasciné par Cynthia Hawkins, une célèbre diva qui n'a jamais consenti à faire enregistrer sa voix. Lors d'un concert à Paris au théâtre des Bouffes du Nord, Jules enregistre clandestinement son récital, discrètement observé par deux taïwanais. Après avoir reçu un autographe de la diva, il dérobe sa robe en coulisses puis s'enfuit.

     

    Sans le savoir, Jules est également en possession d'un autre enregistrement, celui de Nadia Kalensky, une ancienne prostituée. Elle révèle sur une cassette audio son ancienne liaison avec Jean Saporta, commissaire-divisionnaire à la criminelle soupçonné de diriger un important réseau de prostitution avec l'aide de son second, "l'Antillais". Au cours d'une poursuite, Nadia dépose la cassette dans la sacoche de la mobylette de Jules qui ne remarque rien. Quelques instants plus tard, Nadia est tuée d'un poinçon dans le dos.

     

     

     

     

    Un film génial, qui fait entrer de plein pied le cinéma français dans l'esthétique clipesque des années 80. Délaissant l'histoire au profit des personnages et surtout de l'esthétique, totalement surréaliste (certains la qualifie de néo-baroque) et préfigurant les films de Besson, Jean-Jacques Beineix réalise une véritable bombe cinématrographique. Boudé par la critique et le public, le film sera réabilité un an plus tard après avoir triomphé aux Etats-Unis (je reste persuadé que ça les a inspiré au niveau esthétique pour des films comme Flashdance ou Cocktail par exemple).

    Ah oui et dans ce film Richard Bohringer (que j'aime pas trop d'habitude) est Dieu.

  10.  

    Ce film américain de 1986 avec Arielle Dombasle est tombé totalement dans l'oubli (si tant est qu'il est été connu un jour). Dombasle joue la femme d'un grand patron qui ne pense qu'à s'envoyer en l'air avec un employé de son mari (Daniel Stern) lors d'un séminaire. Bref une curiosité que cette comédie dont les américains ont le secret et qu'ils ont produit par wagon durant les années 80. Ca casse pas trois pattes à un canard, ça s'oublie vite (hormis le gag de la douche et quelques images j'en ai plus aucun souvenir un an après son visionnage) mais c'est sympa à regarder.

  11. Le meilleur remake de Psychose (va te rhabiller Gus Van Sant). J'adore De Palma, n'importe lequel de ses films me captive de bout en bout (sauf peut-être Scarface), et les années 80 sont sa période bénite. OK souvent après coup je me rends compte que c'est un peu tiré par les cheveux, mais alors au moment où je visionne le film, rien à faire, je suis totalement happé par ce qui se passe à l'écran. Et ce Pulsions ne fait pas exception : servi par de nombreux moments de tension (le musée, le meurtre dans l'ascenseur, le métro...) et pleins de fausses pistes, on ne s'ennuie pas. Et la fin m'a glacée le sang (ce qui arrive rarement). Et Nancy Allen est juste Bref en résumé :

    Brian, sort de ta retraite et revient nous faire un thriller avec une belle blondasse qui joue une stipteaseuse ou une star du X

  12. Vu il y a deux semaines environ et j'ai pris mon pied comme rarement. J'ai été totalement captivé par ce buddy movie réalisé entre 48h et l'Arme Fatale, et assez peu connu. L'originalité du machin, c'est que pour une fois, on a pas deux tempéraments totalement opposés qui doivent faire équipe le temps d'une enquête mais deux types qui s'entendent super bien et qui font leur boulot dans une bonne humeur et une décontraction communicative. Le scénar part dans tous les sens (on a plus l'impression d'une mise bout à bout de scènes dont le point commun est l'arrestation d'un mafioso cubain super méchant) mais on s'en fout c'est bien quand même. Et la fin m'a grave rappelée Rush Hour

  13. Vu hier soir et je sais pas ce que je dois en penser. Giraudeau en playboy salaud ça le fait pas ça c'est sur. La voix off monotone qui tombe comme un cheveux sur la soupe 3 pu 4 fois pendant le film non plus. Reste des dialogues bien vulgaires, de belles images, des nanas à poil. Je le reverrai sans doute à l'occasion...

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