Enfin ! Le film puant ? Je ne sais pas si l'on peut voir la chose comme ça, je dirais juste qu'il surfe sur un certain sensationnalisme propre au polar italien, un côté borderline qui, pour ma part, donne tout l'intérêt de ce genre de prods. Alors bien sûr certaines livraisons de l'époque témoignaient vraiment d'un certain malaise urbain ambiant (je pense à la trilogie de Castellari, hors Action immédiate et Cobra donc, voire à certains films de Carlo Lizzani), et Lenzi de poursuivre lui aussi dans la brèche avec cette perle brutale. Pour ma part, je jubile !