Aller au contenu

Sins of Sister Lucia - Koyu Ohara (1978)


johell

Messages recommandés

SINS OF SISTER LUCIA (Sudojo Lucia: Kegasu) de Koyu Ohara (1978)

 

Un "roman porno" de la Nikktasu. Ce "nunsploitation" japonais raconte l'histoire de Rumiko, une jeune fille pas très sage, qui après avoir séduit son professeur d'anglais et attenté à la vie d'un homme de main de son père est envoyée dans un couvent pour la remettre sur le droit chemin. Le problème, c'est que le dit couvent s'avère être un lieu de débauche où les nonnes épanchent leur soif de perversion entre elles...

 

Fessées, étranges jeux de bondages, lesbianisme, triolisme, séances de sexe avec le curé et la Mère Supérieure... C'est un véritable étalage de perversités. Et cela ne s'arrange pas car arrive bientôt deux hommes évadés de prison qui trouvent refuge dans le couvent et ne tarde pas à s'envoyer en l'air avec Rumiko (rebaptisé "Lucia" par la Mère Supérieure!) qui se trouvait justement en "Salle de Correction" pour mauvais comportement! Mais après avoir été violée, un sourire de satisfaction sur son visage, la voilà prête à tout mettre en oeuvre pour faciliter la tâche des "prisonniers" pour satisfaire leurs envies de luxure et prendre sa revanche sur les bonnes soeurs.

 

Koyu Ohara, déjà auteur des films controversés comme WET ROPE CONFESSION et FAIRY IN A CAGE (mais comme les titres donnent envie!), réalise ce petit "classique" de la nunsploitation. Si ce film n'atteint pas le niveau de dépravité du chef-d'oeuvre du genre LE COUVENT DE LA BÊTE SACREE , il reste tout de même une oeuvre sulfureuse aux images souvent blasphématoires (La nonne nue attaché à une Croix dans la petite chapelle du couvent!). Tout les personnages sont des assoifées de sexe et ne rêvent que de fornications. Cela devient presque un rêve pour ces servantes de Dieu hypocrites qui prônent la répression sexuelle alors qu'en douce (que ce soit dans les dortoirs du couvent ou carrément dans le bureau de la Directrice), les nonnes s'épanchent de leurs pensées lubriques entre elles ou, encore mieux, le font directement avec leur curé lors de chacune de ses visites.

 

SINS OF SISTER LUCIA contentera aisément les fans de "nunsploitation"!

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 1 year later...

Mais que voila un bel ouvrage!

Si le scénario est un peu mince, on se rattrape avec une quasi constance de scènes de baise. Qu'elles soient entre la mère sup' et un curé, entre des nonnes frustrées ou entre des prisonniers évadés et les mêmes nonnes cochonnes, ça se tripote, ça se touche, ça se viole, et ce du début jusqu'à la fin. Le réalisateur prend un malin plaisir à détourner l'image ecclésiastique de la nonne en élément fétichiste ultime allant jusqu'à faire crucifier la mère supérieure à moitié nue. La photo en scope est superbe, les actrices à croquer, bref, à moins de ne pas aimer les nonnes à poil ou de regarder le "jour du seigneur" sur France 2, il n'y a aucune raison de ne pas y trouver son compte.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

×
×
  • Créer...