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Agent Destructeur - Damian Lee - 2001


Lord Ruthven

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Prisonniers de terroristes Russes à bord d'un sous-marin, le capitaine Matt Hendricks et le Dr. Linda Christian vont tout tenter pour les empêcher de répandre un virus mortel sur le sol américain.

 

Tout commence dans un complexe militaire quelconque où Dolph et une poignée de bidasses sont chargés de récupérés un avion furtif. Dolph flingue une tripotée de gusses, s'empart de l'appareil et s'en va, tout va bien. Pour le récompenser de cette glorieuse mission, son chef l'envoi en vacance en Russie servir d'escorte à un sous-marin transportant un virus extrèmement nocif, au taux de mortalités de 100% : l'agent rouge. Après un retard d'avion et un trajet de taxi -conduit par un sosie de Popeck -, Dolph arrive sur place et tente de se rabibocher avec son ex, biologiste de la mission. Ce qui nous vaut d'irresistibles scènes où notre ami Dolph, inexpressif comme toujours, cours après une brune aux gros seins, une bague de fiancaille à la main.

 

L'agent rouge, arme chimique fabriquée par les Américains puis chippée par les Russe est désormais remises aux Yankees par ces mêmes Russes, inquiet quand à la sécurité toute relative entourant cet amas de microbe. Hors, un commando Russe décide de profiter du transfert pour s'emparer de l'Agent Rouge, la finalité étant de bombarder New York et Moscou, afin de manifester leurs désaccord quand aux armes de destruction massive. Sitot dit, sitot fait, le sous-marin est investi, l'equipage mort, Dolph est assommée par un Russes plus costaud que les autres et la jolie biologiste capturée. Mais Dolph se réveille, s'énerve et après avoir rossé quelques Russes, récupère sa dulcinée. Celle ci s'inquiète : que faire pour empêcher la catastrophe, demande-t-elle à Dolph. L'intéressé a un plan tout prêt : "nous allons tous les tuer et balancer le virus dans un tube lance torpille". Yeah, ça c'est envoyé, bien joué Dolph ! Et oui, Dolph Lundgren c'est pour ça qu'on l'aime, il sait nous parler, sait ce qu'on attend et surtout, il ne prend pas de pincette.

 

La suite du film est une sorte de Piège en Haute Mer mâtiné de Rock, où Dolph flingue et tabasse tranquillement sans qu'un rictus de compassion n'envahisse son visage.

 

Un telefilm d'action efficace, quelques sautes de rythmes, mais très distrayant. Merci NT1.

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