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Peur[s] du Noir - Etienne Robial (2007)


Benj

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Le frôlement rapide de pattes d’araignées sur une peau nue…

Des bruits inexplicables que l’on entend la nuit, enfant, dans une chambre close…

Une grande maison vide dans laquelle on devine une présence…

L’aiguille d’une seringue qui se rapproche inexorablement…

Une chose morte emprisonnée dans un bocal de formol…

Le regard fixe d’un grand chien qui montre les dents…

 

Autant de frissons que nous avons éprouvés, un jour ou l’autre, comme les auteurs de ce voyage qui nous mène d’un trait au pays de l’angoisse.

 

Six grands auteurs graphiques et créateurs de bande dessinée ont animé leurs cauchemars, griffant le papier de leurs crayons affûtés comme des scalpels, gommant les couleurs pour ne garder que l’âpreté de la lumière et le noir d’encre de l’ombre.

Leurs récits entrelacés composent une fresque unique, où phobies, répulsions et rêves prennent vie, montrant la Peur sous son visage le plus noir…

Peurs blanches et humour noir pour les salles obscures…

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en dvd le 21 Aout

 

Le film sera présenté dans son format 1.85 (16/9 compatible 4/3) avec deux pistes audio en VF, une en Dolby Stéréo, l'autre en Dolby Digital 5.1. Outre l'habituel chapitrage (encore plus nécessaire pour ce genre de programme), les suppléments tourneront autour de commentaires audio d'Etienne Robial (directeur artistique) et de Christophe Jankovic (producteur) et d'une visite guidée de l'exposition Peur(s) du noir à Angoulême, par Etienne Robial. S'ajoutent quelques modules tels que le segment inédit de Pierre Di Sciullo, les vidéos et dessins des internautes autour du film, les bandes-annonces et les biographies des auteurs.

 

AWESOMESQUE!

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  • 3 months later...

bon c'est sympa, mais bon, je m'attendais à plus de flippe et d'ambition.

 

les segments sont entrecoupés de monologue relou branle cerveau du genre "j'ai peur du vide donc du néant si j'ai peur du néant j'ai peur du vide...." le tout avec des animations toute pourrie style art contemporains ultra minimaliste.

Perso les épisodes que j'ai apprecié sont ceux de Charles Burns, Richard McGuire et Marie Caillou.

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Assez inégale.

 

Dans l'ensemble, j'ai quand même trouvé ça bien chiant !

 

Le dernier segments, le plus en rapport avec le titre du "film", est relève tout de même le niveau.

 

Le premier aussi est pas mal (De même que les apparitions du mecs avec les chiens) mais bon, bof bof quand même quoi .....

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