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Nick Eetah

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Tout ce qui a été posté par Nick Eetah

  1. Robert Castel, dans son rôle récurrent des années 70 : le voisin de palier pied-noir casse-couille!
  2. A partir du jeudi 2 mars, et pendant quelques semaines, Arte va diffuser vers minuit des films assez disparates, mais plus ou moins orientés "bis". Un cycle nommé " cinéma trash " qui comportera entre autres : L'Attaque de la moussaka géante. Supervixens, de Russ Meyer. La Nuit des morts-vivants, de George Romero. Le Masque du démon, de Mario Bava. source :http://www.leblogcinenews.com C'est clair, Le Masque du démon et la Nuit des Morts-vivants, c'est vachement trash.
  3. On se demande où tu vas choper des images pareilles.
  4. Crotte, tu es sûr pour les plans de pipe? Il m'avait justement semblé que le nez de l'actrice était différent. (par contre, j'avais bien reconnu les traits partiellement visibles de Lina lors de la scène de cunnilingus) EDIT : ha ben tiens, tu avais raison, je viens de revoir les scènes et on reconnaît bien les petits plis caractéristiques au coin de sa bouche. Pour le nez, ça doit être l'angle de la caméra qui fait ça.
  5. Il s'agit bien sûr des amateurs de Jess Franco et non des admirateurs de la culture française (l'un n'empêchant cependant pas l'autre). J'ai vu "La Comtesse aux seins nus/ La Comtesse noire / Erotikiller / Les Avaleuses" en version hard (essentiellement des gros plans de fellations et autres actes sexuels insérés dans les scènes de cul) et une interrogation me vient : est-ce bien Lina Romay elle-même qui exécute les actes sexuels non simulés? Le visage de l'actrice est filmé de manière à ce que l'on n'en voie qu'une partie. Il m'a semblé que, lors de fellations, il s'agissait d'une doublure, mais je suis presque sûr que c'est Lina elle-même qui se livre à un intéressant broutage de moule sur sa partenaire blonde à gros seins. Quelqu'un a-t-il des lumières là-dessus?
  6. Je n'aurais pas eu cette impression si les actrices avaient été plus jeunes ou séduisantes, tout simplement parce que l'impression dominante de ce film est que Franco s'appesantit sur des images qui ne peuvent exciter que lui (d'où l'expression "films privés"). Qu'on ne se méprenne pas, je n'ai rien contre les femmes mûres, mais Lina Romay a tout simplement très mal vieilli. Quant au film lui-même, il n'est pas plus mal réalisé que d'autres films de Franco (il y a même quelques scènes tout à fait réussies)...si l'on excepte justement les - très longues - scènes "érotiques", que je trouve effectivement, pour la plupart, tournées n'importe comment.
  7. Je ne reproche pas du tout à Mme Romay de vieillir. De plus, le fait que ce ne soit plus un canon correspond bien au scénario, puisque Moira Frankenstein, fille du docteur, est une vieille fille aigrie et frustrée qui va trouver un instrument de pouvoir - et de plaisir sexuel - avec sa monstresse. Le problème, c'est que toutes les scènes de sexe avec elle - et il y en a, et elles durent LONGTEMPS - sont filmées par papy Franco exactement comme dans un film érotique (je précise : comme un vieux film érotique pourrave des années 70). Il y a donc un léger décalage, et on finit par avoir l'impression qu'il projette ses vidéos privées.
  8. Le meilleur film du monde. Rhaaaaa, Kim Jong-Il qui jette l'inspecteur de l'ONU aux requins..."How do you like that, cocksucker??"
  9. C'est du moins ce que nous apprend Jess Franco dans "Lust for Frankenstein" (production américaine de 1998) où la très fraiche (hum) Lina Romay - madame Franco à la ville - joue la fille de Frankenstein, qui découvre la créature de son père (Michelle Bauer). Monsieur Franco, je comprends que vous aimiez filmer votre femme à poil, et dans les années 70 ça pouvait le faire, mais là c'est plus possible!
  10. Le dictionnaire du bis italien de Marco Giusti reproduisait déjà des déclarations de lui où il se contredisait sur son degré de participation au film.
  11. Nick Eetah

    Janine Reynaud

    Niçaise Jean-Louis. Par ailleurs, j'ai ouï dire que Janine et Michel étaient un joli couple de partouzeurs. Ils jouent d'ailleurs à peu de chose près ce rôle dans "Je suis une nymphomane" de Max Pécas. La scène où la méchante Janine séduit l'héroïne m'a valu quelques émois un dimanche soir sur M6!
  12. A mon avis Lamberto Bava doit souvent changer de version - ou alors, il boit - car moi, il m'a expliqué qu'il n'avait qu'écrit le scénario et réalisé quelques scènes de seconde équipe, et que le film était bien une oeuvre de son père. Personnellement, je suis peut-être malade, mais je trouve le film remarquable!
  13. Nick Eetah

    Fatal Frames

    C'est mon dernier "coup de coeur" en date. Je me permets de copier-coller ici la chronique que j'ai faite pour nanarland : FATAL FRAMES (Fotogrammi mortali) Un choc esthétique, une richesse conceptuelle peu commune : «Fatal frames », c’est du costaud, du nanar de luxe. Mais c’est pourtant un effort artistique courageux, de la part d’un réalisateur sincère : un casting trois étoiles, un scénario ambitieux, des efforts techniques considérables, pour aboutir à une authentique apothéose de mauvais goût. Autant dire que malgré l’intense plaisir kitsch que l’on peut prendre à la vision de ce film, un petit remord étreint le chroniqueur nanar au moment d’attaquer la dissection de ce chef-d’œuvre naufragé. Car si un film mérita le qualificatif de film maudit, c’est bien ce «Fatal Frames» qui ambitionnait de relancer le thriller italien de la grande époque. Al Festa, réalisateur de clips, avait pour but de se positionner en nouveau Dario Argento, avec ce giallo à grand spectacle, bénéficiant d’un casting international : parmi les comédiens, on comptait quelques pointures comme Donald Pleasence, dans le rôle d’un profiler du FBI, et Rossano Brazzi, vétéran du cinéma italien. Le film devait en outre mettre sur orbite la carrière de Stefania Stella, la femme d’Al Festa, chanteuse et comédienne de son état. Mais nous reparlerons d’elle plus loin…Le tournage commença en 1993, mais s’interrompit au bout de quelques semaines, deux coproducteurs ayant pris le maquis : le film resta au point mort pendant deux ans, jusqu’à ce que Mediaset (Silvio Berlusconi) apporte une manne financière providentielle. Mais entretemps, catastrophe : Pleasence et Brazzi avaient tous deux cassé leur pipe ! Pour ne rien arranger, Ugo Pagliai, interprète du commissaire de police, refusait de reprendre son rôle. Qu’à cela ne tienne, scénario et montage sont rafistolés pour intégrer vaille que vaille les scènes déjà tournées, on appelle David Warbeck (vu dans «L’Au-delà » de Lucio Fulci, et plein de bis italiens) pour interpréter un autre flic greffé au scénario, on colle les morceaux et on prie pour que les rustines tiennent ! C’est parti pour ressusciter le film d’horreur italien, les gars ! Fatal plan touristique! Hélas…après un passage dans divers festivals de films fantastiques, le grand œuvre d’Al Festa ne connut qu’une exploitation très limitée dans les salles italiennes. Il devait se rattraper plus tard sur le marché vidéo international, où il a gagné une sorte de statut de culte. Enfin…culte, c’est beaucoup dire, car il est réservé aux amateurs de bizarreries jusqu’au-boutistes. Car «Fatal frames » a tout de l’opération-suicide, tant le cinéma d’horreur italien en sort totalement meurtri, passé à la moulinette par un Al Festa qui n’en a retenu que les poncifs. Mise en scène tape-à-l’œil et couleurs plus flashy que dans un téléfilm érotique aboutissent à une véritable hystérie visuelle qui laisse le spectateur complètement pantelant. La genèse difficile du film a pour résultat un scénario assez alambiqué : le rythme de narration est le premier à en souffrir, les personnages apparaissant et disparaissant au gré de la disponibilité des acteurs (morts, en grève ou en fuite). Fatale casquette ! L’action commence à New York : Alex Ritt, un réalisateur de vidéo-clips, a du mal à se remettre de la mort de son épouse, assassinée par un serial killer connu sous le surnom de «Video Killer », car il filme le corps de ses victimes avant d’en envoyer une cassette à la police. Tellement marqué qu’il n’a même pas nettoyé la moquette de l’appartement (véridique), Alex se laisse pourtant convaincre par un ami italien de se rendre à Rome pour réaliser le clip de Stefania Stella, la nouvelle chanteuse pop à la mode en Italie. Alex accepte le job pour se changer les idées et rencontre l’idole à Rome. Et là, c’est le drame. Car Stefania Stella (qui joue donc son propre rôle, à ceci près qu’elle n’a jamais eu de vraie notoriété comme chanteuse)…hé ben, c’est pas n’importe qui ! Fatal décolleté! Rappelons qu’outre la femme du réalisateur, elle est également la productrice du film (sous son vrai nom, la coquine !) Ceci explique cela car le physique tout simplement unique de la dame laisse perplexe quant à ses qualifications pour tenir le rôle principal d’un film où sa beauté devrait faire l’unanimité. Dotée à la base d’une sorte de charme vulgaire pas forcément déplaisant, Stefania Stella est sans doute l’actrice la moins distinguée à avoir jamais orné de sa présence un film bis italien. Les lèvres hypertrophiées, les seins enflés comme des outres et rigides comme des pastèques, arborant des coiffures parfaitement inqualifiables, Stefania devait être l’attraction principale du film : elle l’est, mais dans le mauvais sens du terme ! Fatale pouffe! Fatal silicone ! Fatal collagène ! Pour ne rien gâcher, ajoutons qu’elle joue comme une savate et qu’elle nous inflige trois fois au cours du film une chanson indigne des pires soupes disco, interprétée dans un anglais yaourt tout à fait criminel pour les tympans («There’s a magic in the air» devient ainsi, par la magie de l’accent de Stefania, «There’s a magic in the hair» !) On me souffle que le réalisateur, Al Festa, est aussi le compositeur de la musique du film. Et en plus, il a l’air d’en être fier, le bougre ! (Il faut dire qu'il avait également composé celle de "Robowar") La vision de Stefania Stella, exposée en long, en large et en travers sur toute la durée du film (et dont le physique semble évoluer d’une scène à l’autre, sans doute au gré des interruptions du tournage), finit par avoir un effet totalement perturbant, au point que l’on ne sait plus si notre héroïne est un poisson des profondeurs déguisé en femme ou la plus belle bombe sexuelle de la création ! Al Festa a dû rajouter des ondes hypnotiques dans la bande-son du film… Sortez couverts : gardez vos strings pour faire l’amour ! Pour revenir à l’action du film, disons simplement que le «Video Killer » se met soudain à frapper à Rome. Témoin de l’un de ses crimes, Alex se trouve sur la liste des suspects, sa profession de réalisateur vidéo mettant la puce à l’oreille de la police. Notre héros parviendra-t-il à démasquer le vrai tueur ? La police italienne se montrera-t-elle pour une fois efficace ? Stefania Stella va-t-elle arrêter de chanter ? Al Festa va-t-il arrêter de croire qu’il réalise un clip des années 80 ? Comme il a été dit plus haut, l’interruption du tournage et l’indisponibilité de plusieurs comédiens ont rendu la narration quelque peu hachée. Le spectateur a ainsi l’impression que deux équipes de la police travaillent sur la même affaire, comme dans un 2 en 1 de Godfrey Ho : d’un côté le premier commissaire (Ugo Pagliai), un scientifique de la police italienne (Rossano Brazzi) et un expert américain dépêché par le FBI (Donald Pleasence) ; de l’autre, le deuxième commissaire (David Warbeck). Fatal cacheton ! Rossano Brazzi, vieux routier du cinéma et habitué des panouilles (On frappe fort avec “La Comtesse au pieds nus”, on continue avec "Le Château de l’horreur"). Ugo Pagliai. David Warbeck. Fort heureusement, c’est le même acteur qui joue l’inspecteur assistant les deux commissaires, ce qui permet de donner un peu de cohérence à tout ça. David Warbeck recolle parfois les bouts en donnant des coups de téléphone à droite et à gauche. Quant à Donald Pleasence, Al Festa fait des efforts héroïques pour utiliser le plus possible de scènes tournées avec lui et les coller ici et là dans le scénario. Son personnage est finalement évacué du récit au moyen d’un gag référentiel qui pèse son poids : un figurant, maquillé pour ressembler à Pleasence et caché derrière la vitre fumée d’une cabine téléphonique, annonce que sa présence est requise aux USA car «un vieux dossier vient d’être rouvert». Suit la musique de «Halloween». Mouaff, ouaff ! Fatale doublure! Pleasence n’étant pas disponible pour le final, un nouveau personnage, joué par Geoffrey Copleston (un anglais vétéran du cinéma italien, qu'on voit entre autres dans "Superargo contre Diabolikus" et "L'Homme Puma"), est introduit vaille que vaille pour interpréter les scènes manquantes à sa place. Mais dites donc, allez-vous me dire ? C’est méchant de se moquer d’un film uniquement parce qu’il a eu un tournage difficile ! Oui, certes, mais il faut voir le résultat final. Vous avez vu les films de Mario Bava, Dario Argento, Brian De Palma ? Ca tombe bien, Al Festa aussi les a vus. Et il essaie de faire pareil, mais sans aucune mesure. La caméra fait des tours à 360° au point qu’on en attrape mal au ventre, les couleurs flashent dans tous les sens, Rome est noyée sous les filtres ! «Fatal Frames», le film qui tue les yeux ! Fatals filtres! Pour ne rien gâcher, la direction d’acteurs est totalement inexistante, Festa laissant ses comédiens en faire des tonnes selon leur bon vouloir. Si Pleasence garde sa classe naturelle, David Warbeck se laisse aller plus d’une fois à des outrances dignes d’une parodie de polar par les Inconnus ! Fatal cabotinage ! Pas grand-chose à dire sur l’interprète d’Alex, Rick Gianasi, surtout connu pour avoir été le «Sergent Kabukiman » du film de la Troma : il n’est ni très bon ni très mauvais, malgré une allure de surfeur sur le retour et une petite tendance à surjouer. Mais les acteurs de second rôle ont une fâcheuse habitude, soit de faire n’importe quoi comme des comédiens mal payés qui se vengent en sabotant leur scène (ce qu’ils sont peut-être), soit de ressembler à des mannequins débutants échappés des pages de «Playgirl». A noter que le film nous offre une fabuleuse galerie de guest-stars : Ciccio Ingrassia, survivant du duo comique Franco et Ciccio (voir la chronique de «Deux bidasses et le général»). Linnea Quigley, vedette de nombreux films d’horreur américains de série B et Z. Angus Scrimm, connu pour son rôle dans les «Phantasm» Alida Valli, grande dame du cinéma, qui joua dans «Le Troisième homme », mais aussi dans «Suspiria». Bref, des hommages en pagaille à tout et à n’importe quoi, au cinéma d’horreur sous toutes ses coutures (Dario Argento, John Carpenter…) mais aussi au comique troupier italien. On en attrape le tournis devant une telle cascade de cameos plus ou moins utiles. Film monstrueux, aussi démesuré que le physique hors normes de son actrice principale, «Fatal frames » croule sous le référentiel, mais aussi sous un mauvais goût visuel totalement hypnotisant, mais au final parfaitement jouissif. La réalisation est digne de ce que l’audiovisuel italien peut nous offrir de plus kitsch, mais finit par être complètement fascinante par son côté assumé. Fatal raccord ! Dans cette scène de dialogue, Stefania met dix minutes à découper une pizza. Le film souffre malheureusement d’un petit problème de rythme : le scénario ayant été rafistolé pour les besoins du tournage, les 2h10 du film finissent par être un peu indigestes ; une bonne vingtaine de minutes aurait pu sauter sans problème. Tiens, on aurait pu commencer par enlever les chansons de Stefania, mais on me signale que la productrice n’aurait pas été d’accord. Précisons que ce film ne fut pas le dernier de Donald Pleasence, qui eût le temps de tourner «Halloween VI» juste après. Le film de Festa sortit néanmoins par la suite. Par contre, ce fut le dernier film de Ciccio Ingrassia, et David Warbeck mourut l’année suivante. De là à dire que ce film porte la poisse à tout le monde… Fatale fin de carrière ! Film porté par un amour que l’on devine sincère pour le cinéma de genre, «Fatal frames » est si chargé en mauvais goût et en n’importe quoi qu’il finit par donner autant le vertige qu’un Ed Wood friqué, doté de surcroît d’une tendance typiquement italienne au kitsch hallucinatoire. Quoi que l’on pense des ambitions d’Al Festa, son œuvre est complètement hors normes, une sorte de météore unique dans le cinéma italien des années 1990. Si l’on aurait bien voulu voir son entreprise de résurrection du giallo couronnée de succès, l’échec artistique de «Fatal frames » nous aura valu une vraie hallucination, comme le cinéma en offre assez peu ! Depuis, Al Festa (avec Stefania comme productrice) a tourné un film documentaire…sur la vie de Padre Pio ! Espérons que le moine aux stigmates n’y coupait pas les têtes à la machette ! FATAL FRAMES Année : 1996 Pays : Italie Réalisateur : Al Festa Genre :Giallo tombé à l’eau Catégorie : Crimes et délits Avec : Stefania Stella, Rick Gianasi, David Warbeck, Donald Pleasence, Ugo Pagliai, Linnea Quigley, Geoffrey Copleston, Angus Scrimm, Rossano Brazzi, Alida Valli, Ciccio Ingrassia Nikita : 3 Cote de rareté : exotique Jamais sorti en France, le film a fait l’objet d’une bonne distribution DVD dans d’autres pays : Etats-Unis, Italie, Allemagne…On peut même acheter en ligne une édition collector avec making-of et commentaire audio du réalisateur et de sa star. La classe !
  14. Est-ce que Macaulay Culkin est convaincant? J'ai eu des échos contrastés à ce sujet.
  15. Est-ce qu'il y a du broute-minou? Parce que sinon, j'irai pas.
  16. Le partenariat nanarland/cinémathèque française continue. Après le succès de la première édition, ce sera le samedi 18 février à la nouvelle cinémathèque de Bercy! La programmation suivra sous peu. Viendez nombreux.
  17. Comme je suis une ordure fascisante, j'aime bien.
  18. Dans certains films, ils écrivent bel et bien Thomas, mais il ne me semble pas que ce soit le cas ici.
  19. Assez bon film, dans la lignée du polar italien seventies, tendance "mort à la vermine délinquante". On le trouve parfois sous la jaquette de "L'Au-delà" , vendu comme...un film d'horreur de Lucio Fulci!! Y'en a qui n'ont honte de rien.
  20. Nick Eetah

    La série des "Ator"

    Merci! En tout cas, "Ator le guerrier de fer", la "fausse suite" d'Alfonso Brescia, a bel et bien une VF, mais j'ignore s'il s'agit d'une VF québecoise, car le film semble avoir été exploité là-bas.
  21. Je cherche à en savoir plus sur la distribution des films de la série "Ator". Le premier, de Joe D'Amato avec Miles O'Keeffe, a été distribué en France sous le même titre, et le numéro 3 officiel (Ator 3 the hobgoblin) est sorti en vhs sous le titre "L'Epée du saint-graal". Par contre, j'ai quelques doutes sur "La Vendetta di Ator / Ator 2", toujours de D'Amato avec O'Keeffe, et sur "Ator il guerriero di ferro/Iron Warrior", qui semble être un numéro trois "pirate", toujours avec O'Keeffe, mais réalisé cette fois par Alfonso Brescia. Quelqu'un pourrait-il me dire si Ator 2 a été distribué en France de quelle manière que ce soit (et sous quel titre)? Quand à Ator il guerriero di ferro, il est passé sur le câble sous le titre "Ator le guerrier de fer", mais il semble avoir également "Iron Warrior" pour titre francophone (québecois?). Je n'ai pas trouvé de traces d'édition vidéo en France. Si quelqu'un peut m'en dire plus sur le sort qu'ont connu ces deux films (le deuxième et le troisième de la seule trilogie en quatre épisodes, donc), je lui en serai reconnaissant. Merci d'avance pour vos éventuels éclaircissements.
  22. Nick Eetah

    Sungharsh (2005)

    Vérifié. Il y est. Il y a d'ailleurs une petite boutique passage du Prado, qui est encore mieux fournie en DVD que Bollywood Paris, je crois que ça s'appelle "Prado musique". (se faire conseiller par le vendeur, car certains DVD sont un peu pourris : prendre ceux à 10€ les 3 plutôt que ceux à 10€ les 5)
  23. Personnellement, j'ai été déçu par ce film dont j'entendais monts et merveilles depuis des années. Je n'ai pas trouvé l'interprétation de Jeroen Krabbe très convaincante (il faut dire que je l'ai vu en VF) et le tout m'a laissé une impression franchement bof, bof. Au point que j'ai complètement oublié la fin, alors que je l'ai vu il y a un an seulement !
  24. Cathy et Evelyne, deux soeurs, appartiennent à une famille hantée par l'obscure malédiction de la "dame rouge" qui, tous les cent ans, frappe à nouveau en tuant sept personnes. Les deux jeunes femmes se détestent et Cathy tue accidentellement Evelyne. Mais voici que des meurtres z'horribles ont lieu autour de notre héroïne : la dame rouge est de retour Evelyne est-elle sortie de sa tombe? Excellent giallo d'exploitation, avec ce qu'il faut de sexe gratuit (on voit Sybil Danning à poil! ), de révélation invraisemblables et une musique qui tue sa race. Le réalisateur, Emilio Miraglia, joue assez efficacement les Dario Argento/Mario Bava du pauvre en multipliant les plans élégants, les couleurs vives et les coups de théâtre ringards. Un vrai petit plaisir d'époque! Avec Barbara Bouchet, Ugo Pagliai, Maria Pia Giancaro, Sybil Danning.
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