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Steve

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Messages posté(e)s par Steve

  1. C'etait

     

    Nan mais c'etait un claquage de beignet visuellement mais le scenar est generique au possible. John C. Reilly amuse la galerie, Sam L. Jackson a ses punch lines, le reste du cast est tout naze. Mais Kong est beau, le reste du bestiaire poutre, et c'est un peu pour ca qu'on est venu quand meme. Mais je repete, visuellement ca claque un max !

  2. En effet, ca se regarde tranquille. Un peu comme la serie docu "Making A Murderer", on se prend non seulement au jeu de savoir si oui ou non OJ pourrait etre coupable, mais c'est surtout la description de l'enquete et du proces qui force le respect. Quand a l'impact de cette histoire sur la societe americaine, on la comprend un peu mieux de l'exterieur grace a la serie. Les acteurs qui jouent les avocats de l'accusation sont excellents. Leur role est plutot ingrat, mais ils transforment ca en atout.

     

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    Sud-Ouest de la France, hiver 2017.

    Un motard blessé quitte les lieux d’un carnage.

    Le mystérieux fugitif trouve refuge chez les Petit, une famille de fermiers qu’il prend en otage. À ses trousses : des barons de la drogue colombiens, le lieutenant colonel Massé du Réaux, et un tueur à gage d’élite, qui sont bien décidés à le neutraliser, par tous les moyens.

    L'homme a déclenché une vague de violence dont personne ne sortira indemne...

     

    C'est tres bien emballe, c'est propre, et y'a un vrai amour du genre mais c'est neanmoins un peu laborieux avec ces trois histoires qui se croisent pour justifier la partie western showdown du dernier acte. Je sais pas si ca vient du livre dont le film est l'adaptation, mais y'a pas mal d'invraisemblances qui demandent plus ou moins de clemence. Au final, un film qui flirte avec le neo noir et le neo western et qui fait belle figure dans la production francaise.

     

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  4. Le nouveau film de la real de A Girl Walks Home Alone At Night

     

    Apres un petit extrait diffuse lors de la selection du film a Venise

     

    [vimeo]181609389[/vimeo]

     

    Voici le teaser trailer

     

    A post-apocalyptic story set in a Texas wasteland populated by a motley assortment of rugged folks, including cannibals.

     

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  5. Toi ca n'a pas du te choquer car c'est toujours tres fort dans les salles ou tu vas. Mais je sais pas ce qu'ils ont reussi a faire au mixage, mais ca m'a explose les tympans alors que la salle ou je suis alle ne m'a jamais donne cette impression.

     

    J'ai trouve ca parfaitement debile, quelques scenes sympas en 3D (ma projo etait parfaitement calibree), 2 punch lines qui m'ont fait mourir de rire, une scene nanarlandesque (la reunion des elites ou ils preparent leur plan malefique), en fait je dois dire que j'ai passe un meilleur moment que xXX 3. Au moins Milla à 41 ans fait bonne figure à peter la gueule a la terre entiere, beaucoup plus appreciable que la demonstration pseudo virile de Vin Diesel.

  6. Voila, donc moi j'ai vraiment deteste. Je ne trouve pas que ce soit un bon film, ni meme une bonne comedie musicale. On peut parler du fait qu'il n'y a aucun semblant de dramaturgie jusqu'a ce que Gosling rate son soufflé au fromage a la 90eme minute ? On parle du fait que Chazelle se la raconte dans les dialogues de Goslin genre "le jazz, cet art noble, personnel, salutaire, imprevisible", et son perso ne trouve moyen que de faire de la soupe, se plaindre et ouvrir son jazz bar a hipsters tandis que John Legend lui experimente mais se retrouve finalement l'antagoniste du film ? On parle du fait qu'il n'y a qu'un seul morceau musical a ensemble, la pub Gap / Coca Cola du debut ? Le reste c'est juste Goslin et Stone qui dansent et chantent mal. On parle des persos qui sont introduits et dont on entend plus parler ensuite genre la soeur de Gosling ? On parlera alors peut-etre du fait que la romance elle-meme tombe a l'eau. Au bout du compte ils ne sont pas capables de survivre au desagrements d'une vie d'artiste, mais c'est une engueulade et un lapin pose qui en viennent a bout. D'accord. M'enfin ils n'ont pas 17 ans quand meme. Meme High School Musical reussissait mieux a faire passer le meme message.

     

    J'ai meme trouve le film deplaisant au niveau visuel je vais vous dire. Entre le coups des lumieres qui se tamisent a chaque fois qu'on entre dans un numero musical, ou les mouvements secs de camera, le montage cut qui empechent de comprendre quoique ce soit a la choregraphie et a la geographie des lieux. Ca se regarde filmer et c'est super lourd a la longue.

     

    Ensuite oui ca se regarde generalement le nombril de bout en bout. Non seulement le concept de base est pas brillant, mais c'est plein de caricatures louuuuurdes aux lieux, aux films, a ces individus en quete de reves. Punaise le pire c'est quand meme la piece de theatre d'Emma Stone dans le film. C'est le Inception de la suffisance... Hail Cesar pouvait faire la meme chose sans tourner en rond de meme. Et je ne parle meme pas de Showgirls

     

    Et en bonus, ouais je suis d'accord avec pas mal de gens qui y voit un films de blancos, ou aucun personnage noir / latino / asiat n'a une influence positive sur l'univers decrit par le film. Le Amelie Poulain U.S.

     

    Le film de millennials par excellence.

  7. ça me fait plaisir de voir que ce thread sert à mettre en avant des critiques argumentées et constructives

     

    (d'ailleurs, dans 8ans quand on rouvrira ce thread à l'occasion d'un up impromptu, on se dira avec émotion, "tiens quand même qu'est ce qu'on était con avec ce truc de supprime quand même")

     

    Tu as raison, mais il faudra qu'on se rappelle de La La Land du cul aussi du coup.

  8. Je viens de le revoir ce soir, mais en salles cette fois-ci. Et ca claque encore plus. Pour moi les deux niveaux de lecture fonctionnent aussi bien l'un que l'autre. La partie purement fantastique repose sur des ficelles certes connues mais toujours efficaces. Quant à l'allégorie sur les dessous de l'oppression d'un Iran post-Revolution, c'est assez remarquable. Ca reussit a ne presque jamais etre lourd (okay on pourrait chipoter sur quelques raccourcis scenaristiques un poil demonstratifs).

     

    Je trouve que le film trouve sa place dans le cinema de genre actuel, une sorte d'"Echine du diable" mis en scene par une version perse de Polanski.

     

    On verra si Anvari transformera l'essai.

  9. Jamais reussi a finir Creed. Par contre j'aime bien Fruitvale Station. Comme tu le dis ca a le merite d'etre court et de mettre Jordan en lumiere. Et meme si le sujet est convenu, ca fout quand meme les boules. Maintenant c'est vrai que si à chaque faits divers, on se mettait à faire des films sur la vie des victimes, on serait pas sorti.

  10. Top

     

    Arrival

    Swiss Army Man

    The Witch

    Der Nachtmahr

    Son of Saul

    Elle

    The Handmaiden

    Embrace of the Serpent

    45 Years

    Under The Shadow

    Don't Breathe

    Shin Godzilla

    The 13th

    The Big Short

    Midnight Special

    Keanu

    Loving

    Hell Or High Water

    Divines

    Donald Trump's The Art of the Deal

     

    Flop

     

    Bad Moms

    The Girl on the Train

    Ghostbusters

    Independence Day: Resurgence

    Where to Invade Next?

    Sausage Party

    BvS

    Suicide Squad

    Neon Demon

    Train to Busan (et The Whailing est pas loin)

     

    Pour le reste, tout est la :

    http://letterboxd.com/movierev/year/2016/

  11. J'ai bouffe la saison 1 en un weekend et j'ai adore, mais par contre ca part dans quelque chose de vraiment imprevisible, et qui ne brosse pas les spectateurs dans le sens du poil. Pour le coup on est plus dans un trip a la Sense 8 que Stranger Things, voire un remake non officiel de Martyrs J'attends ton retour quand t'auras fini.

  12. Alors moi aussi j'ai plutot aime. Kurzel est loin d'etre un manche, son equipe non plus, la photo comme la musique deboitent carrement. Niveau scenar c'est un peu la deconvenue attendue, on sent qu'Ubi est derriere pour limiter les degats mais devoir expliquer l'origine de la mythologie Templier/Abstergo tout ca, c'est ce qui plantait les premiers jeux. On pouvait difficilement s'en passer en meme temps, je comprends. Mais du coup les sequences memoires sont uniquement des sequences d'action (bien torchees et 100% en espagnol, ce qui est couillu), alors qu'on verrait bien Fassbender prendre un peu de temps a decouvrir l'Espagne et l'Inquisition. La, on aurait pu mettre n'importe quelle epoque, ca changeait rien. Rumeur est que le film a ete ampute d'une demie-heure a la derniere minute.

     

    J'espere juste qu'on aura une suite

  13. Bon je remonte un topic parti grave en couilles, mais le film est distribué par Netflix internationalement (comme quoi il pouvait pas mieux s'exporter celui-là).

     

    Et c'est pas mal. On pense effectivement beaucoup à Bande de filles, que j'ai quand même préféré. On a presque la même mise en place, les mêmes persos, la même palette de couleurs. Mais le film de Benyamina pousse peut-être le bouchon un peu loin : le bidonville (je suis peut-être un peu éloigné de Paris, mais est-ce réaliste que Dounia sorte d'un bidonville pareil ?), la romance avec le danseur, et le climax (limite impardonnable). Sinon Oulaya Amara est magnifique et transperce l'écran, et même si dans deux ou trois scènes, ses partenaires à l'écran sont plus limites, elle porte vraiment le film sur ses épaules.

  14.  

    Lorsque de mystérieux vaisseaux venus du fond de l’espace surgissent un peu partout sur Terre, une équipe d’experts est rassemblée sous la direction de la linguiste Louise Banks afin de tenter de comprendre leurs intentions.

     

    Un bon gros

     

     

    On pense à Contact de Zemeckis et Rencontres du 3ème Type (mais en plus clinique), Solaris aussi et un poil d'Interstellar (le côté pseudo-intelligent en moins). Mais c'est brillamment construit et très fluide, même le côté pathos n'est pas en trop car ça s'inscrit vraiment dans la logique du film. Ouais, du concept de base jusqu'au design en passant par le rythme du film et le message positif du film, c'est du tout bon.

     

    Denis Villeneuve Président !

     

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  15. Pour le coup, j'ai trouve la suite bien plus reussie. Ca detourne non seulement quelques codes du premier film qui etaient justement lourds, mais voir meme le message du film, qui se teinte de feminisme et de LGBTQ-isme. Pas sur que ceux qui ont adore le film original ne trouvent leur compte du coup.

  16. Heu alors oui y'a plein de trucs qui deboitent, principalement Hugo Weaving dans la premiere partie et les batailles de la deuxieme partie, mais faut noter quand meme que le film baigne dans la metaphore religieuse tout le long. Et autant jusqu'au moment des sauvetages, le perso reste assez ancré dans l'humain, sa transformation par la souffrance en martyr dans la dernière scene, j'ai pas trouve ca digeste personnellement. Ca m'a un peu gache le film qui est assez recommandable sinon sur l'aspect purement technique.

  17.  

    Rachel prend tous les jours le même train et passe tous les jours devant la même maison. Dévastée par son divorce, elle fantasme sur le couple qui y vit et leur imagine une vie parfaite… jusqu’au jour où elle est le témoin d’un événement extrêmement choquant et se retrouve malgré elle étroitement mêlée à un angoissant mystère.

     

     

    Ca sent vraiment le truc qui veut surfer sur Gone Girl. Mais quelle grosse daube. J'ai souffert du début à la fin.

     

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    L'histoire vraie de la tentative d'assassinat de l'Opération Anthropoid destinée à éliminer le général SS Reinhard Heydrich, le "Boucher de Prague" et le principal architecte de la Solution Finale et le troisième homme du Reich derrière Hitler et Himmler.

     

    Un Sean Ellis un peu mineur, en tout cas sur une grosse partie du film. C'est très lent à se mettre en place tout ça, le film s'intéresse à montrer l'organisation la cellule de résistance sans pas montrer grand chose du contexte autour. Tout le monde s'essaie à un accent tchèque approximatif, y'a une romance qui plombe le deuxième acte, puis vient enfin la tentative d'assassinat en elle-même, suivi du siège de l'église qui sauvent heureusement le film en offrant une belle claque. Belle reconstitution de Prague sous l'occupation nazie. Le film a reçu énormément d'assistance du fond national de la cinématographie, et autres institutions nationales et locales, et heureusement le résultat est loin d'être une daube comme Child 44. Reste à voir maintenant l'adaptation française par Cédric Jimenez, HHhH, tournée en même temps à Prague également.

     

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  19.  

    D’après l’incroyable histoire vraie de la plus grande catastrophe pétrolière de l’histoire.

    La plateforme Deepwater Horizon tourne non-stop pour tirer profit des 800 millions de litres de pétrole présents dans les profondeurs du golfe du Mexique. Mike Williams, électricien sur la plateforme et père de famille, connaît les risques de son métier mais fait confiance au professionnalisme de son patron Jimmy Harrell. En revanche, tous se méfient de la société locataire de la plateforme dirigée par Donald Vidrine, qui ne pense qu’à son bénéfice. Lorsque cette société décide contre l’avis des techniciens de la déplacer trop rapidement, il sont loin de se douter que les 5 millions de barils sous leurs pieds sont prêts à exploser... Le seul courage de Mike et ses collègues suffira-t-il à limiter les dégâts et sauver ce qui peut encore l’être ?

     

    Fallait quand même oser Bon c'est du pur Peter Berg, ça se veut un poil plus consciencieux que du Michael Bay, mais je pense pas que ce fut l'homme idéal pour s'attaquer au sujet. Au menu, 1h d'exposition technique sur comment fonctionne une plateforme pétrolière, filmée à la shaky cam. C'est imbitable déjà à cause de l'accent du sud de tout le cast, Mark Walhberg et Kurt Russell en premier. Malkovich se tape le rôle du salaud de BP, c'est plus ou moins sur lui que repose la responsabilité de toute la cata du point de vue du film. On se fait assez chier, à vrai dire jusqu'à que ça pète, et là ça envoie grave. Pour les nostalgiques de Backdraft, on retrouve Russell face aux flammes comme au bon vieux temps. En 4Dx, ça déboite. Par contre, le film s'arrête net après le sauvetage sur une musique de Steve Jablonsky, et ne s'attarde pas sur les conséquences écologiques, ce qui fait un peu vomir.

     

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  20. Alors apres en avoir entendu de tres mauvaises choses de partout, je me suis personnellement pris un gros coup dans la tronche. J'apprehendais vachement le gimmick visuel, mais j'ai jamais eu le probleme de trouver ca trop lourd a la longue. Maintenant j'ai vu ca sur petit ecran et peut-etre que ca joue vu que les gros plans ca a un effet tout a fait different un ecran de cinema (et je suis de ceux qui n'apprecie pas leur usage contre-productif au cinema). Mais donc là je n'ai pas laché le film des yeux une seule seconde. L'acteur est monstreux, et son personnage comme le dis Cyril, est completement anti-heroique, fait supremement rare dans ce type de film. Ca m'a foutu les boules pendant un moment.

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