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Nicolas

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Messages posté(e)s par Nicolas

  1. faut que je me fasse un dvdr de toutes ces pubs

     

    Je suis également preneur pour ce type de DVD, à se diffuser juste avant un autre, avec les pubs nocturnes de TMC et NT1.....

     

    Ah, moi aussi. J'en rêve depuis longtemps !

     

    Enfin, plus précisement, depuis que j'ai vu une pub pour le ramonage de cheminées sur France 3 !

     

    Faut vous faire soigner les mecs franchement!

  2. voila ce que j'en disais ailleurs y 2 ans

    L'inspecteur Lucas McCarthy (Lance Henriksen) parvient à arrêter Max Jenke, un dangereux psychopathe. Le policier tient absolument à assister à son execution sur la chaise electrique, mais la mort de Jenke lui confère simplement un autre degrès d'existence qui va lui permettre d'hanter le domicile familiale de McCarthy.

     

    Vendu sous le titre HOUSE 3 pour permettre au film de mieux sortir du marché américain, ce film n'a evidemment strictement rien à voir avec la franchise inaugurée par Steve Miner mais par bien des aspects évoque l'infâme SHOCKER réalisée la même année par Wes Craven. Le point commun entre HOUSE et ce film, c'est le producteur Sean Cunningham.

     

    Prévisible dans son déroulé, téléfilmesque dans sa forme, assez limité dans l'écriture, un tout petit peu gore (SFX très corrects), il donne quand même l'occasion de se régaler de la confrontation Henriksen / Brion James, la trogne inoubliable de Leon dans BLADE RUNNER et de quantités de B Movies et malheureusement disparue recemment. Un des derniers rôles de David Oliver, ici en petit ami body buildé de service. C'est d'ailleurs à peu près tout de significatif dans cette production médiocre.

     

    Aux côtés de Leslie Bohem -scénariste de DAYLIGHT et du PIC DE DANTE ca déconne pas- on trouve Alan Smithee au scénario derrière lequel se cache en fait David Blyth, le réalisateur de DEATH WARMED UP (autre grand moment de n'importe quoi) qui avait d'ailleurs commencé à réaliser ce film avant d'être viré.

    James Isaac finalement en poste sur le film, signera 12 ans plus tard le rigolo et nawakesque + JASON X.

  3.  

    Une équipe de journalistes composée de trois hommes et une femme se rend dans la jungle amazonienne afin à la recherche de vrais cannibales. Bientôt, la troupe ne donne plus aucun signe de vie. Le gouvernement américain décide alors d'envoyer une équipe de secours sur place. Celle-ci retrouve, grâce à une tribu amazonienne, les cassettes vidéos de la première équipe, qui renferme le terrible secret de leur disparition...

    On oublie les évidences des fois m'enfin quand même!

     

    Je l'ai revu hier soir, ca reste un must. On a beau se fader tous les cannibales italiens c'est celui qui laisse une trace indélébile quoiqu'il arrive. ("Cannibal Ferox" appelle une grille de lecture bis plus traditionnelle je trouve, là on verse dans autre chose)

     

    Je trouve toujours aussi méprisable la mise à mort gratuite d'animaux pour les besoins d'un film, ca ca ne changera jamais d'un iota quoiqu'on pourra dire et je suis pas convaincu non plus du réel apport pour le film, si ce n'est l'aberration polie devant le truc... passé cela, il y a l'évidence tout de même d'une puisssante mise en scène, ou tout est maîtrisée, pensé, pour choquer mais pas seulement. Le film interroge de tout son long, sur le point de rupture entre réalité et fiction comme rarement. La charge anti-journalistes peut paraître lourde, mais finalement replacée dans un film qui vomie l'Humanité dans son entier, ca passe / ou son acceptation dans son entier, ca dépends comment l'on se place.

    Pensé comme film ultime du genre, faut reconnaître qu'il en est pas loin.

  4. Ceux qui disent que c'est sympa, ont raison.

    Film sans prétention, typiquement le genre de films qu'on aimait bien louer plus jeune. Pourquoi chier dessus comme certains le font aujourd'hui?

     

    Ah oui ! Pardon j'avais oublié c'est signé Craven. Voilà pourquoi. (hola Satan tu as commis Scream!! Tu as capté des millions de gens au genre, brulez-le c'est super grave)

  5. Oui le premier film... j'ai pas vu le second encore. D'ailleurs il n'y en a que deux ?

     

    Bon, ça a quand même pris un sacré coup de vieux dans l'aile, difficile de ne pas trouver longuet les combats définitivement trop statiques....

     

    Ca m'a pas dérangé, curieusement je m'attendais un peu ca, vu la réputation "prout prout" du film. Je trouve que ca donne de le chair aux combats qui sont pas ultra découpés non plus finalement.

     

    Alors oui, c'est les années 1960, Bruce Lee n'était pas encore passé par là, ce n'est pas comparrable aux standards actuels, ni même à ceux de 1970, il n'empêche que ça se traîne un peu à ce niveau.

     

    Encore une fois, j'ai plutôt apprécié le côté relaché justement. Au moins le film prends le temps de tisser des ambiances. Et putain oui quelle photo.

  6. La première fois que j'ai vu ce film, je n'étais pas préparé.

    Un copain l'avait ramené du video-club sans trop m'en dire, fin de soirée, on s'installe, il enclenche... et là... je crois que c'est la plus grosse crise de rire de ma vie devant un film. J'en suis ressorti exténué, les larmes aux yeux.

    Merci Bruno Mattei pour ces moments rares et précieux.

  7.  

    Lorsqu'un groupe de brigands, mené par le diabolique Tigre au visage de Jade, kidnappe le fils d'un officiel, le gouvernement réagit aussitôt en envoyant à la rescousse un de leurs meilleurs agents : l'Hirondelle d'Or. Désirant régler dès son arrivée la situation par la force, l'intrépide héroïne devra rapidement changer de tactique. Pour éviter les pièges de ses ennemis, elle fera notamment équipe avec un mendiant ivre, bien plus malin qu'il n'en a l'air...

     

    Découvert ce classique du wu xia pan, sur le disque Wild Side.

    Immédiatement été sous le charme de cette histoire somme toute très classique mais qui gagne ses galons d'oeuvre incontournable avec la qualité de sa réalisation, l'élégance de sa mise scène, sa jolie mythologie, sa beauté plastique, et son héroïne incarnée par la redoutable Cheng Pei-pei.

    De longs plans-séquences assurent un substitut imparable à un montage qui s'emporte, souvent de rigueur dans le genre. Le film y gagne en théatralité sans forcer.

    J'ai passé une très belle fin de soirée devant ce film.

    Vraiment un beau spectacle... ENCORE !

     

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