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Nicolas

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Messages posté(e)s par Nicolas

  1. Johnny a quelques punchline bien senties..

     

    Anéfé!

    J'ai particulièrement gouté lorsque son perso claque à Fabian qu'elle est desséchée.

    Globalement, Hallyday est plutôt bien d'ailleurs dans le film (quel beau gosse, en passant, à l'époque), dans un registre mono expressif post-Eastwood. La copie de TF1 Studio fait la part belle à son regard bleu acier qui fait bien le job dans cet univers.

    Dommage que le film soit si mal rythmé...

  2. 47415080.jpg

     

    Étant un grand fan du "grand silence" et n'ayant jamais vu cet opus spag, realisé juste aprés, je me suis rué sur le blu-ray sorti ce mois ci chez TF1 Studio. Mal m'en a pris.

    Le film est brouillon, mou, assez peu incarné sur un sujet qui annonce finalement "l'homme des hautes plaines" au niveau de réussite incomparable.

    Ici l'intrigue se traine, les séquences brouillonnes s'enchaînent, Johnny Hallyday a une présence pas si mal, en tous cas plus convaincante que la désolante Françoise Fabian, hors sujet... Corbucci se révèle ici d'une paresse problématique.

    Ne pas attendre de fulgurance ici, il n'y en a pas.

  3. Taxi driver, première fois que je voyais le film... dans un vieux cinéma fatigué et fermé depuis et point d'orgue d'une nuit Martin Scorsese à l'occasion de la sortie de Casino. Séance à 5h du matin... café et croissants à la sortie sur le trottoir et sonné par une sacrée claque.

     

    E.T. en 82, mon premier film live au cinéma, dans une salle à balcon remplie. Le film m'avait à la fois effrayé et ému. Un everest d'émotions dans une caboche de 5 ans.

  4. Les amants du nouveau monde (Roland Joffe, 1995) Grosse croute sirupeuse, aux scènes érotiques destinées à affoler les grabataires fragiles. Sorti avant la fin.

    Fog (Rupert Wainwright, 2005) Pathétique spectacle. Glaviot sur big screen. Séance douleur à Gérardmer. Sorti avant la fin.

    Un vampire à Brooklyn (Wes Craven, 1995) La tristesse. Mais resté jusqu'au bout.

     

    Il y en plein d'autres mais ces trois la s'imposent assez rapidement dans mon esprit.

  5. Pouah vous êtes durs les gars

    J'ai souvenir d'une projection nocturne en 35mm à Gérardmer il y a quelques années, qui était totalement magique (j'avais vu le film dans les années 80 sur RTL jusqu'alors, et je m'en souvenais curieusement très bien). Une intro particulièrement belle dans sa noirceur, une ambiance poisseuse et marécageuse, des meurtres d'une brutalité impressionnante... et surtout une ampleur visuelle qui prend tout son sens sur grand écran.

    Pour moi un indéboulonable du genre.

  6. J'ai toujours bcp aimé ce film, revu il y a quelques mois (en version courte) et j'ai repris un plaisir intact devant cette grande histoire d'amour. Plaisir des acteurs, plaisir des yeux (il y a vraiment chez Beinex une jubilation communicative à composer des cadres marquants, en gros à faire du cinema), le pittoresque des situations qui entoure le drame central donne un corps très particulier au film... cette profusion de vie autour de la maladie mentale et de la mort qui s'annonce, pour nous mener à cette image finale de l'écrivain seul avec son chat. Magnifique.

  7. On rêve la souvenir assez pitoyable, c'était atrocement mal filmé, doté d'un humour bien rotage bavarois, avec un choix du format scope pas vraiment maitrisé... et la fin post jurassic park, entérinait Emmerich comme Spielberg du pauvre. A revoir vraiment?

    La dernière variation hollywoodienne lui fait beaucoup de mal, alors qu'il n'en n'avait pas besoin.

  8. Le film est clairement trop long, y a bien 20 minutes de trop, il n'empêche qu'il est parsemée de séquences grisantes déjà citées maintes fois... la plus dingue c'est quand même celle de Shining, qui m'a fait un effet saisissant à la vision du hall de l'overlook, une sensation vraiment bluffante...

    Il y a des choses aussi émouvantes dedans sur le rapport à sa propre enfance, mais ca, on n'en attendait pas moins de Spielberg...

     

    Ça reste un divertissement de haute tenue avec les limites de ce cadre, mais je ne sais pas si c'est un roman très intéressant à la base, je ne l'ai pas lu. Et à vrai dire, je m'en fous un peu.

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