Oli

merci pour toutes ces vidéos je vois tout ça en retard en raison de mon expatriation mais je le déteste de moins en moins ce bonhomme, il est ce qu'il est (très con, manipulé par une boite de prod, alien ou je ne sais quoi d'autre encore) mais quand il se fait incendier sur des plateaux télé il claque de belles vérités parfois (notamment dans les vidéos de Cauet et Morandini) -bon ok ce serait mieux sans les fautes de français après son passage dans une émission ringarde, il n'en ressort pas grandi bien au contraire, mais au final ils sont TOUS ridiculisés (animateur, co-animatrice, public...) j'aime !

c'est un vrai Resident Evil like le sauvetage en intro est énormissime, le final dans le complex ultra moderne est apocalyptique, les scènes d'action sont monstrueuses, techniquement y'a encore des petits défauts (les gestes, le mouvement des lèvres presque toujours ratés) mais à part ça c'est du très haut de gamer j'ai posté un avis avec photos sur mon blog ciné j'ai a-do-ré ! PS : ma femme qui ne connait rien aux jeux a aussi beaucoup aimé !

une pure tuerie tout simplement hallucinant par moment dommage que le film ne sorte pas sur grand écran en dehors du Japon car en salle c'était DANTESQUE (remarquez que même ici, il n'est sorti que dans trois ciné...) foncez quand le dvd sera dispo !

la grand-mère se déchaine ! site off : http://www.shaolinbaba.jp/index2.html Shaolin BA-ba : http://www.shaolinbaba.jp/trailer.html sortie en dvd le 7 novembre 2008 au Japon

ce n'est donc pas un remake mais une OAV de 4 épisodes une série devrait bientôt voir le jour, ainsi qu'une autre OAV l'OAV THE PSYCHOGUN est donc sortie il y a quelques jours, et il n'y a qu'un épisode sur le dvd (30min + making of intéressant d'une heure) le prochain sortira dans 2 mois c'est sympa mais j'en attendais plus. Techniquement c'est pas non plus à tomber par terre (quelques effets 3D font un peu tâche) PS : sinon vous pouvez effacer mon doublon dans la partie ASIE, puisque je n'avais pas fait de recherches dans la partie TV du forum, THE PSYCHOGUN n'étant pas diffusé à la télé mais sous format OAV, soit sorti directement en dvd

Les nouvelles aventures animées de l'une des plus grandes séries du petit écran ont débarqué au Pays du Soleil Levant le 28 aout dernier en DVD (le prochain épisode sortira dans deux mois, tandis qu'une série télé de 13 épisodes serait aussi en préparation) site officiel avec toutes les infos (dont les visuels) : http://www.cobra30th-anime.com/index2.html on retrouve bien évidemment Nozawa Nachi pour doubler Cobra (il doit avoir pas loin de 70 ans le bougre) l'OAV THE PSYCHOGUN est donc prévue en 4 épisodes. Quid de ce volume 1 ? pour résumer sèchement mon impression : c'est très sympa mais peut mieux faire. La magie me semble avoir un peu disparu (la faute sans doute aux nouvelles musique assez quelconques à mon gout). Techniquement c'est pas non plus extraordinaire (quelques effets 3D beurk...). D'un autre coté ça fait quand même rudement plaisir de retrouver ce bon vieux cabotin de Cobra, Armanoid, les jolies filles et les pirates de l'Espace (l'Homme de Verre devrait faire son retour dans l'épisode 2). Cobra dans l'espace ou... la fesse cachée de la lune

sorti il y a deux jours chez moi alors j'ai trouvé le film phénoménal, sombre et d'une profondeur rare (voire presque jamais vue) pour un "film d'action", qui plus est un film de "super héros" ça rattrape le 1er épisode de Nolan que je trouve un peu bancal... (en plus il y a une actrice que je nommerai pas parce que j'ai oublié son nom et qui n'a pas été renouvelée pour l'épisode 2, OUF) le scénario est énorme et intelligent et les dialogues sont à tomber (les punch lines sont parfaitement à leur place et marchent très bien par exemple) et puis le coup du crayon merde !!

il me tente vachement celui là, la BA est top ! dispo en location ? je vais chercher ça cette semaine...

sinon oui le film est très bon quand il sortira en salles foncez, sur grand écran avec un son fabuleux, c'est mons-trueux

PREY (aka DEATH SAFARI -titre locatif japonais) Année : 2007 Genre : Death Safarire Réalisation : Darrell Roodt Avec : Peter Weller, Bridget Moynahan et des gamins dont je préfère ne pas citer les noms tellement je les hais Alors qu'ils sont en train de faire un petit safari photos (accompagnés par un professionnel), une femme et deux enfants vont se retrouver perdus en pleine savane. Pourquoi ? Parce que tout d'abord le professionnel a décidé de sortir des pistes. Ensuite parce que le gamin a profité de ce moment précis pour dire qu'il avait envie de faire caca mais absolument tout de suite, hein. Enfin parce que ledit gamin ira déféquer à plus de cent mètres de la jeep au lieu de faire juste derrière, malgré la présence -connue- de fauves assoiffées de sang frais. Résultat le professionnel va se faire croquer, et la petite famille se retrouvera isolée dans une jeep au milieu de nulle part. Vous me direz qu'il suffira de mettre la main sur les clefs de la voiture pour sortir de ce guêpier ? Oui mais non, parce que lorsque la mère parviendra à retrouver lesdites clefs, elle mettra en marche la jeep en oubliant que la pédale de frein existe. Je vous laisse imaginer la suite... Visiblement film a bénéficié de certains moyens, y'a de l'argent, oui c'est une série B afrique (donc le réal est impardonnable), c'est tourné en décors naturels (c'est assez joliment léché) et il y a une star (enfin, presque : Peter Weller). Le gros problème c'est que contrairement aux films que je loue habituellement à la jaquette, celui-ci est énervant tellement il est con. Y'a qu'à lire mon court résumé pour s'en persuader (scénario inspiré d'une histoire vraie, ah ah ah) : le gamin fait chier tout le monde pour poser son étron, finalement à cause de lui un dur à cuir (mais pas à mâcher) se fait dévorer vivant, toute sa famille se fait coincer dans une jeep et ensuite... comme par hasard il n'a plus envie de faire ses besoins jusqu'à la fin du film (soit presque 24h après...oui il est con ce type hey !). Gamin absolument insupportable tout comme la sœur, usine à recevoir les baffes dans la tête s'il en est... Je vous passe sous silence la morale à deux balles sur la famille, le parti pris gerbant de favoriser outrageusement les sales petites têtes blondes californiennes par rapport aux individus locaux plus facilement sacrifiables pour un public américain (comme par hasard les deux seuls personnages de couleur du film passent à la trappe - le lion est maure ce soir...), enfin bref, j'arrête là car ces quelques mots, safarire personne... Ci-dessus : vue à partir d'une caméra embarquée dans les yeux d'un lion ! Et oui en plus c'est vrai.

nul mais rigolo y'a quand même Charlton Heston (le pauvre... quelle sortie...) et une des plus belles femmes du monde (on a de la chance dans son contrat il devait être signifié qu'elle n'avait pas le droit de fermer plus de quatre boutons de ses chemises !) et le coup du pet et le clin d'oeil de Van Damme à l'un de ses acteurs préférés, De Funès, avec RABBI JACOB

en fait il me semble que LE GRAND SILENCE est sorti un an avant (après faudrait vérifier quel projet a été écrit en premier) en réalité, je ne sais pas trop quoi penser. S'agit-il d'une coïncidence ? J'en sais rien... extrait d'un truc que j'avais écrit y'a un moment : "deux trames assez semblables naviguant dans un pessimisme profond, un héros visiblement torturé, des plans neigeux infinis dont la blancheur est ponctuellement souillés par le sang d’innocents, des assassinats de masse, des meurtriers agissant sous le couvert de la « Loi » (chasseurs de primes mandatés par l’Etat de l’Utah dans le GRAND SILENCE, clan de samouraïs complotant pour sa propre survie et persuadé d’œuvrer pour le meilleur dans GOYOKIN). Vers la fin du film de Gosha Hideo on retrouve même cet évident parallélisme avec le western de Corbucci, puisqu’à la manière de Jean-Louis Trintignant blessé aux mains et ne pouvant plus tenir son arme, Nakadai va avoir toutes les peines du monde pour se battre efficacement et brandir son sabre avec ses doigts gelés. De plus, GOYOKIN est peuplé de plans très westerniens..." enfin bon de toutes les manières ça reste deux super films, hein...

avec beaucoup de points communs (étranges) avec LE GRAND SILENCE... (points communs qui vont plus loin que les simples inspirations croisées entre le chambara et le western spaghetti)

ATTACK OF THE GRYPHON (aka DUNGEON AND GRYPHON -titre japonais) Réalisation (enfin si on peut dire) : Andrew Prowse Année : 2007 Genre : cananard Avec : Jonathan LaPaglia, Larry Drake, Amber Benson, Andrew Pleavin, Douglas Roberts, Ashley Artus, Sarah Douglas, Amy Gillespie, Simone Levin trailer visible sur cette page : http://movies.nytimes.com/movie/385656/Attack-of-the-Gryphon/trailers Pour se défaire d'un envahisseur trop pressant, un seigneur demande à son sorcier de rappeler à la vie un griffon mythique, ancien gardien de la famille. Le sorcier, oiseau de mauvaise augure, prend bientôt le contrôle total de l'animal et commence à faire régner la terreur dans la région. Les deux familles qu'autrefois tout opposait, sont désormais obligées d'oublier leurs prises de bec pour mettre fin à la malédiction volatile du méchant sorcier... Dans cette toute petite production Nu Image, on se dit qu'en raison des manques de moyen le réalisateur va user de toute sa ruse pour ne pas montrer qu'il était fauché (si vous entendez quelques personnages qui ont un accent bizarre c'est normal, le film a été tourné en Bulgarie). Et bien en fait, pas du tout ! Le griffon, absolument ignoblement modélisé (et incrusté), est ici montré sous toutes les coutures. Jacques Tourneur avait fait preuve d'intelligence dans LA FELINE, Andrew Prowse, lui, fonce tête baissée dans le mur numérique des effets spéciaux ratés. La grande question du film est d'ailleurs la suivante : le griffon en image de synthèse est-il plutôt digne d'une PS3, d'une PS2 ou bien d'une PS1 ? A dire vrai, je crois qu'on est (hélas) encore plus proche d'une WII... Si l'histoire ne rattrape pas la forme (on pouvait pas y échapper, le scénario a été griffonné à la va-vite), il faut par contre bien avouer que les acteurs ont (dans l'ensemble) plutôt la gueule de l'emploi, que le rythme est correct et que... heu en fait c'est tout. Même le sang est totalement absent du métrage (on aperçoit une tête coupée dès le début du film comme pour nous faire saliver, puis après plus rien...). Ah oui j'oubliais : y'a aussi une super statue vivante, incarnée par un acteur simplement recouvert de fond de teint gris. Enorme. Maintenant, et je ne saurai expliquer pourquoi, je dois bien avouer que j'ai trouvé ça plutôt sympa et rigolo. Je pars de suite consulter mon médecin. Question à deux balles : comment faire pour appeler un griffon à son secours ? Il suffit de crier "A l'aigle ! A l'aigle !"

ah ah mais bien évidemment sinon concernant les Itami Juzo, je pense que les dvd japonais ont des sous titres anglais. A préférer aux zones 1 -car ceux-ci sont (corses), parait-il, de mauvaise qualité

oui visiblement ZOMBLIEN c'est uniquement le titre pour la distribution au Japon (mais quel coup de maitre de la part des distributeurs )

je sais pas si on peut vraiment dire que le film rend hommage à l'aspect Pulp cher à Howard (gloire à lui) au final, je trouve ce film plus proche des Comics que des romans. Si le coté "monstres" "personnages hauts en couleurs" "péripéties fantastiques" lorgne bien du coté d'Howard, il manque quand même cette gravité certaine dans le personnage principal et dans les personnages secondaires qui fait tout le charme des bouquins (j'ai tout lu, je suis archi fan). Dans le film tout est pris à la rigolade (le pire étant le sort -normal pour un sorcier me direz-vous) réservé au personnage incarné par Mako génial dans le premier opus, c'est devenu un bouffon dans le second... le thème principal de la BO est quand même sublime

ZOMBLIEN (aka DAYS OF DARKNESS) Réalisation : Jake Kennedy Année : 2007 Genre : zomblien, zomblien quoi ! Arrêtez un film qui s'appelle ZOMBLIEN vous êtes obligés de le mater c'est pas possible autrement ! Zomblien, moitié zombie moitié alien, c'est tout simplement trop énorme comme titre et comme idée : merci de respecter une minute de silence en hommage à ce grand pas en avant réalisé par l'industrie cinématographique mondiale depuis l'avènement de ZOMBLIEN Avec : Tom Eplin, Sabrina Gennarino, Travis Brorsen, Roshelle Pattison, John Lee Ames, Bryan Rasmussen, Eric Stuart, Chris Ivan Cevic, Marian Tomas Griffin, Ashley Elizabeth Pierce, William Cannon, et des zoOoOooOoombliens (yeeeeeeeeah !) Depuis qu'une météorite s'est écrasée aux Etats-Unis, la race humaine semble en proie à un mal étrange... les gens deviennent ainsi de véritables zombies avides de chair fraiche. Un groupe de survivants s'organise tant bien que mal et cherche une solution pour déjouer la menace zombie...sauf que patatras !! ce sont pas des zombies, ce sont des zombliens !! Franchement, je n'ai pas pu résister... un film qui s'appelle ZOMBLIEN (au Japon seulement, merci aux distributeurs intelligents pour une fois), c'était directe dans ma besace de vidéoclub. Je m'attends un peu au pire mais dès le départ j'ai su que j'avais fait une bonne pioche. Une ambiance de désastre bien rendue même si on ne voit rien (un seul décor par manque de moyen : un entrepôt) ; une image volontairement salie (pour masquer les faiblesses de réalisation ?) ; pas mal de sang ; des perso bien caricaturaux comme il faut je n'en attendais pas moins (le gros ricain accro à sa carabine ; l'actrice de films X aux punch lines de folie ; un fou de Dieu maniaco dépressif ; la jeune vierge effarouchée, etc). Je pensais ainsi tenir un honnête petit DTV lorsque tout à coup, le héros du film s'approche d'un zombie pour extraire quelque chose de son pantalon... Au début je ne comprends pas, et c'est ma voisine qui m'a éclairé (il a pris les couilles du zombie ! a-t-elle ainsi lâché en rigolant). Bien évidemment je ne la crois pas une seule seconde. Une dizaine de minutes plus tard le héros présente son butin (ouais allez, disons même ses bourses) sur la table : DES COUILLES ENORMES DE ZOMBIE Et alors là j'ai su, oui j'ai su que je tenais LA petite perle louée à la jaquette, de celle qu'on ne croise que 3 à 4 fois dans l'année ! ZOMBLIEN, un film pas si pourri que ça qui ose plein de trucs de folies. Pour résumer, ZOMBLIEN (mais bon dieu quel titre !), en gros c'est (rapport aux filles qui tombent enceintes à cause des monstres) : - des zombliens avec des couilles grosses comme des melons - un double effet kiss cool parce qu'il y a une petite surprise dans les couilles protubérantes - des scènes gores - une blonde avec de jolis seins - un pasteur pas catholique qui tue un homosexuel à coup de pelle (il lui en roule même une avant !) - un gros mec bodybuildé en tshirt rose - un dénouement pas franchement inoubliable mais presque bien trouvé, en tous les cas on a vu bien pire dans des productions qui se voulaient bien plus sérieuses l'objet du délit en photo : oui on peut dire que j'ai tiré le gros lot le trailer sur youtube : http://jp.youtube.com/watch?v=kkYwvpFckLc&feature=related

The Hive (2007 - ou 2008 ? après tout qu'importe...) Réalisation : Peter Manus (jeux de mot interdits car trop faciles) Avec : Kal Weber, Tom Wopat (oui, le petit brun de SHERIFF FAIs MOI PEUR !), Jessica Reavis, Mark Ramsey Des tueurs de fourmis professionnels armés jusqu'aux dents de trucs qui ressemblent à des lasers débarquent en Asie du Sud-Est pour éradiquer une terrifiante invasion. Ils ignorent qu'ils vont devoir faire face à une race inédite de fourmis (tin tin tin)... On retrouve dans THE HIVE tout ce qui fait le charme des DTV improbables loués le plus souvent "à la jaquette". Un scénario improvisé par une bande d'ados lors d'une soirée Bis arrosée (Peter Manus crie, il aurait participé au script ), des effets spéciaux pourris, des acteurs en perdition et une absence chronique de fille véritablement canon qui aurait au moins permis la présence d'une scène de sexe correcte... Voilà j'ignore ce que peut devenir le réal aujourd'hui (il mendie, bulle... ?), et à dire vrai ça m'indiffère totalement tant son film ne fourmille d'aucune inventivité... l'acteur black qui, communément, décède en premier mais qui ici ne le sait pas encore il a quand même pris un sacré coup Tom Wopat depuis "Sheriff fais moi peur"

THE MEN WHO FELL (USA, 2007) Réalisation : William L. Stewart Avec : Brendan Guy Murphy, Aaron Stielstra, Kimberly Parmon, Ben Naasz, Sarah Kelly Stewart, Dennis Farris, Santiago Craig Pas trouvé de sujets à propos de cet improbable film, loué "à la jaquette" il y a quelques semaines : Deux hommes errent sur une planète désolée afin d'accomplir une mission dont le but leur échappe complètement... le trailer Ca commence très fort : le futur, des carcasses de vaisseaux échoués, une ambiance post-apo bien rendue, des nomades qui ressemblent plus ou moins à des mutants et qui surgissent d'on ne sait où, et deux hommes qui débarquent (d'on sait pas trop où non plus) afin de localiser un objet étrange, situé dans les bas-fonds de ce qui ressemble à une ancienne cité. J'ai carrément accroché à la première demi-heure du film, on navigue en plein flou, la sensation de vide est bien foutue (malgré un évident coté cheap)... mais sur la fin ça vire carrément au n'importe quoi (avec genre des armes limite en carton). Mention spéciale à la nénette qui arrive en plein milieu du film comme un cheveu sur la soupe, maquillée et manucurée alors qu'elle vit seule dans ce monde post-apo depuis des années . J'ai quand même pris un réel plaisir coupable devant ce MEN WHO FELL au scénar improbable !

TAMPOPO était passé sur Arte il y a... je sais plus du tout combien de temps... Il doit aussi exister un dvd zone 1, mais j'ai pas vérifié (je ne suis absolument pas l'actu dvd)

TAMPOPO, de Itami Juzo (1985) Avec Miyamoto Nobuko, Yamazaki Tsutomu, Watanabe Ken, Yakusho Koji, Yasuoka Rikiya, Okada Mariko Tampopo élève seule son enfant et doit dans le même temps faire tourner un petit restaurant de ramen. Elle y parvient tant bien que mal, jusqu'au jour où sa route croisera quelque peu par hasard celle de Goro et Gun, deux camionneurs au grand cœur. Avec leur aide, mais aussi la participation d'autres bonnes âmes, le restaurant, mais aussi Tampopo, vont bientôt connaitre une seconde jeunesse... TAMPOPO : un film culinaire sur l’amour, les ramen, l’amitié et la meilleure façon de faire jouir une femme avec du jaune d’œuf. Quelques images valent mieux qu'un long discours, je vais donc faire bref : TAMPOPO provoque des fous rires à répétition, distille une bonne humeur tellement évidente qu'elle en deviendrait presque palpable (comme la bonne chair). Le genre de film incroyable qui vous donnerait envie de verser une simple larme de bonheur. Et puis... ça vous dit pas de retrouver Watanabe Ken et Yakusho Koji tout jeunots sans presque aucun poils au menton ? A l'image du personnage incarné par Yakusho Koji, mais aussi du dernier plan du film (n'arrive-t-on pas au monde en tétant directement un sein ?), nous sommes tous des épicuriens. Quelques uns l'ont seulement oublié en chemin. Tant pis pour eux.

bon, pour mon premier post je me lance dans la rétro de drama horrifiques japonais réalisés pour téléphones portables, avec dans le rôle titre une ex-star du porno. Ca va ? SOUGIYA TSUKIKO, série produite par AU (2005) Avec Oikawa Nao Tsukiko travaille avec son père dans l'entreprise funéraire familiale. Crémation, accompagnements de clients en deuil et surveillance de cadavres, non la vie de Tsukiko ne parait pas forcément très intéressante et mouvementée. Et pourtant...depuis quelque temps, elle est le témoin de manifestations étranges... Très courts métrages (une poignée de petites minutes) réalisés pour être téléchargés à partir des téléphones de la compagnie japonaise AU, les épisodes formant la série SOUGIYA TSUKIKO m’ont tout d’abord interpelé parce qu’ils sont portés par les frêles (mais délicates !) épaules de Oikawa Nao. Jeune (24 ans) retraitée du monde merveilleux des AV, Oikawa Nao a déjà tourné dans plusieurs drama et participe même actuellement à un show télé hebdomadaire. Belle à en pleurer, Nao est ici affublée d’une longue perruque noire-corbeaux, dont la frange ne l’avantage pas particulièrement (Nao a un si joli...front !). L’actrice s’en sort très honorablement, surtout que de bons petits moyens ont été mis en œuvre pour faire de ces très courts métrages pour téléphone une réussite. Même s’il y a du déchet (1 épisode sur 3 –sur les 13- frise le très mauvais), la plupart du temps il y a de sacrés coups, dignes d’un bon film du même genre (l'infirmière qui se masse l'épaule, le yûrei qui pique un sprint (!!), etc.) . Ajoutez à cela une réalisation ingénieuse, des acteurs plutôt inspirés et un 13ème épisode en forme de comédie macabre, et vous obtenez un excellent divertissement horrifique. On ne voit pas l’heure passer. oh non c'est pas vrai, on parle de moi sur Zonebis maintenant ?! _____________________________________________________________________________________________________________________________ KANGOSHI TSUKIKO, Japon, 2006 Tsukiko est de retour dans son petit drama, mais cette fois-ci elle change de professe ion ! En effet elle ne s’occupe plus d’un centre funéraire mais endosse pour la cause le très saillant costume d’infirmière (l’actrice Oikawa Nao a déjà eu l’occasion de l’essayer à maintes reprises durant sa précédente carrière). Du tout bon, pense-t-on au début : un hôpital désuet et aux murs fissurés, des patients étranges, des ombres qui naviguent dans la nuit et Oikawa Nao habillée en infirmière (ça je l’ai déjà dit je crois…). On garde bien évidemment le même principe de base, à savoir 13 épisodes très courts (quelques petites minutes) parfois indépendants les uns des autres, mais qui se suivent aussi à plusieurs reprises. Là où le premier drama (SOUGIYA TSUKIKO) parvenait à surprendre en faisant preuve d’inventivité, la suite intitulée KANGOSHI TSUKIKO peine vraiment à intéresser (et puis on voit le micro du preneur son lors du premier épisode, suuuuuuper...). En gros, aucun épisode ne fait véritablement frissonner, quelques uns se rapprocheraient même du ridicule (le coup de l’adolescent-fantôme trop grand pour son vélo…). Et puis la petite Tsukiko, à force d’en voir des vertes et des pas mures (non ça n’a rien à voir avec sa carrière dans les AV !) et bien elle n’a plus vraiment peur (elle ne sursaute même plus quand un cadavre tend la main pour lui serrer le bras…). Et alors lorsque l’on sent qu’il ne peut rien arriver au personnage principal dans un film de fantômes, et bien ce dernier perd beaucoup d’intérêt. une nurse en peluche... Bon enfin, il reste quand même Oikawa Nao, mignonne comme tout. Surtout que son horrible perruque de la première saison a disparu. Elle spermait même d'être plutôt bonne (actrice). Dispo à la vente et à la location au Japon.

ah ah, merci mais tu places la barre très haut là... mais je savais qu'ici j'aurais droit à un ZoneBisutage ! merci pour l'accueil (je risque de surtout participer à la partie Asiatique...)

Salut à toutes et à tous ! c'est bien ici qu'il faut préalablement vouer allégeance à Cyril avant de pouvoir poster sur le forum ?