chatterie royale
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Vous trouvez que "L'amour est dans le pré" va parfois trop loin dans l'exhibition de "phénomènes" ?
The Undateables repousse les limites en exposant les tentatives de trouver l'amour de (jeunes) adultes plus ou moins lourdement handicapés. Leurs rencontres se font généralement au travers d'agences matrimoniales spécialisées, ce qui donne parfois lieu à des "speed-datings" assez spéciaux.
La série avait apparemment soulevé un tollé outre-manche avant sa diffusion, mais les critiques se sont calmées face au ton plutôt respectueux, pédagogue et plus gnangnan que voyeuriste. Il n'en reste pas moins que certains participants ont des apparences physiques assez impressionnantes
J'ai regardé les 2 premières saisons pour le moment et ça me rappelle le documentaire "Being Different" dans cette démarche équilibriste entre l'exploitation et la normalisation du handicap.
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on dirait Saez qui tente un virage PNL
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l'impression de lire un compte-rendu de la tournée "Stars 90"
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Z0DO0XyS8Ko
edit: quel problème ?
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d'autant plus que l'édition wild side est passée à 24,90€ sur amazon (livraison gratuite dès 25 € d'achat )
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il y a effectivement des scènes qui sont censées être super glauques, notamment les flashbacks en début d'épisodes, mais c'est balancé tellement à l'arrache et ils ont de telles gueules d'ahuris que ça ne fonctionne pas du tout
et puis la mère qui renie sa fille au téléphone parce qu'elle a été très déçue de regarder la video de son viol collectif, même dans plus belle la vie ils n'ont pas osé
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Encore une prequel qui n'apporte rien si ce n'est de la confusion, en se demandant à quel moment Ridley va se décider à boucler la boucle. Pense-t-il vivre éternellement pour continuer à faire des films avec la promesse d'expliquer les mystères du prochain mais en fait non ?
à mon avis le père scott il s'en bat la nouille de boucler quoi que ce soit avant sa mort et je suppose qu'il avait au contraire pour mission de laisser des portes ouvertes car :
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Série scandinave de sf-postapo exclusivité netflix, The Rain nous raconte qu'un beau jour une pluie chargée d'un virus mortel ultra-efficace s'abat sur les terres d'ikea. Une famille réussit à se mettre à l'abri dans un bunker secret high-tech qui n'est pas sans rappeler Fallout car le père travaille pour une organisation secrète high tech qui mène des expériences cheloues et n'est pas sans rappeler Vault-Tech.
Les 2 enfants du couple (dont un gamin qui bat tous les records du morveux tête à claque ) se retrouvent livrés à eux-mêmes plusieurs années jusqu'à ce qu'ils se décident à mettre le nez dehors. Ils tombent sur un groupe de survivants et c'est parti pour nous faire du fear the walking dead, avec des gouttelettes à la place des zombies.
ceux qui n'en peuvent plus de WD et son spin-off y retrouveront tout ce qu'ils détestent, en version nordique
je ne sais pas comment ils ont fait leur casting mais tous les personnages principaux ont des tronches bizarres, voire moches
mais comme les scénaristes balancent de nouvelles idées bien bis à chaque épisode
drones à caméra thermique, secte cannibale, méchants masqués qui bredouillent du slave,...
je suis tenté de rempiler pour la 2e saison.
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un film de sf qui fait le boulot en créant un univers imaginaire cohérent.
la point positif c'est que le réal arrive à insérer quelques pointes de poésie, de violence et de bizarreries dans ce qui aurait pu être un petit film d'action formaté vu mille fois.
un peu comme alien 4 mais en moins raté
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j'ai jamais vu de mandico et je pense que je dois corriger cette lacune
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j'ai profité de l'embouteillage ce matin pour me commander
je te dénonce aux gendarmes pour manipulation de smartphone au volant d'un véhicule, ton compte est bon mon gaillard !
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Après l'apogée de désespoir que représente le 2e opus, ce New Frontier m'a paru bien insipide.
Pour dire les choses simplement, j'ai eu l'impression de me taper une saison de la série télé Walking Dead : des histoires de famille, des histoires de coucheries, des histoires de pouvoir politique, des personnages qui réagissent n'importe comment, des mécaniques de jeux qui puent la redite (et le retour du point n click du pauvre )... Comment se sentir dévasté à l'idée d'achever un proche si on a envie de le claquer depuis déjà quelques heures ?
Sinon les graphismes sont meilleurs mais je m'en fous royalement.
Je suis frustré de la tristesse et j'envisage d'attaquer To the Moon pour compenser
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en VO
dans Death Records
zXt56MB-3vc
BeJ55sUacPM
déjà reprise en version reggae/ska dès 1969
PNgzk0TvJJI
ZBfSu4nGDfk
GvDZ8U-7A1A
A noter que Paris Hilton s'est pris un procès pour plagiat avec ce titre
icpqB22c4G8
la version originale était tellement peu connue qu'une partie de la presse a commenté qu'UB40 l'avait attaquée en justice...
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J'aurai mis la tagline en sens inverse. Là on a la chaîne alimentaire qui monte et l'écriture qui descend, mes neurones font un grand 8.
TNAEGNAM NE
TNEIV
TITEPPA'L
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du coup t'as sali combien de sièges au final ?
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Adjugé au monsieur du fond.
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3 lettres. Qui dit mieux ?
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t'aurais pu être sympa et mettre le minutage
J'ai essaye tu penses bien. Mystérieusement, la balise youtube refusait de reconnaître le code avec le minutage...
les hackeurs russes protègent daniil
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Dans un petit village reculé de l'ouest du Québec, les choses ont changé. Les habitants ne sont plus les mêmes - leurs corps tombent en lambeaux et certains se retournent contre leurs proches pour les tuer. Quelques rescapés se cachent dans les bois et se mettent en quête de retrouver d'autres survivants comme eux.
Un n-ième film de zombies qui ne brille par son originalité donc.
Mais ce qui est bien, c'est qu'il en est parfaitement conscient et ne se lance pas dans de laborieuses explications mille fois entendues.
Pas vraiment d'exposition, conversations type "tranche de vie", caméra souvent posée qui filme plus l'ambiance que l'action (même s'il y en a). En fait j'ai parfois eu l'impression d'être chez Bruno Dumont (le Bruno Dumont des bons jours ) en version zombard.
Au début les maquillages un peu limite, le côté "auteur", les pointes d'humour bancal et l'accumulation d'"ostie de tabarnak" laissent envisager le pire, mais plus on avance, plus ça part dans l'abstrait/la suggestion et plus le charme s'opère.
Mention spéciale pour la bande-son qui évolue vers l'atmosphérique, toujours moins de dialogue et davantage de cris de ces affamés qui ne sont d'ailleurs pas sans rappeler les Profanateurs de Sépultures.
PS : surtout que 2 jours avant j'ai maté "Day of the Dead Bloodline", toujours sur Netflix et bon sang le contraste est redoutable
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il fut un temps où je me gavais d'idm et de breakcore et j'en suis arrivé à saturation. j'ai beaucoup de mal à en écouter encore.
squarepusher je préférais ses albums plus "jazzy".
et puis surtout ça :
VVLgGTqAo0M
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intéressant, merci
et hors suisse romande ?
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t'aurais pu être sympa et mettre le minutage
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Franchement de tête j’arrive pas à trouver un actioner français aussi stylé produit ces 10 dernières années.
je n'en attendais rien et j'en était ressorti en me faisant un peu la même réflexion.
du pur divertissement qui ne se la raconte pas, c'est assez rare dans le cinéma français, sorti des comédies.
le seul gros point noir c'était les quelques minutes de présence de naceri
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j'ai écouté un peu ton peter kernel par curiosité et je ne vois pas du tout le "pop art punk".
de la pop légèrement rock, pas spécialement déplaisante si on aime le genre.
ça m'inspire une question : ça donne quoi le rap suisse ?
tu connais des groupes intéressants (même si j'ai bien compris que c'est pas ton rayon) ?
The Toys that made us - Netflix - 2017
dans L'œil du cyclone
Posté(e)
ils ont même piqué Nothing's Gonna Stand in Our Way de la BO des Rues de l'Enfer, la marque du bon goût