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chatterie royale

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Messages posté(e)s par chatterie royale

  1. C'est l'été, il fait chaud et j'ai envie de me caler devant des teen comedies avec un pulco bien frais et une tranche de pastèque.

     

    Faites péter le soleil, les nanas, les puceaux nerds, les bals de promo, les hormones et les casiers du lycée !

    Les réflexions pertinentes sur cette période complexe qu'est l'adolescence, comme les blagues à base de slip rentré dans la raie sont les bienvenues.

  2. je n'ai pas non plus trop compris l'insistance sur la vie quotidienne du flic mexicain

     

    la coutume veut qu'un personnage montré par intermittence joue un rôle charnière dans l'histoire ou son dénouement, là c'est juste un sous-fifre qui sert de chauffeur quelques minutes. c'était sans doute pour créer une fausse piste et déjouer les attentes du spectateur je suppose,

    mais ça participe à ce sentiment de "tout ça pour ça".

  3. j'avais lu il y a des mois un de ces articles écrits par d'éminents spécialistes du cinéma de genre qui affirmait avec modération et recul que netflix diffusait un film tellement flippant que les spectateurs n'allaient pas jusqu'au bout et donc j'ai décidé de le lancer hier soir, ayant oublié entre temps le nom du réal et le thème du film.

     

    eh bien croyez le ou pas, il existe un autre film hispanophone de 2017 intitulé Veronica sur netflix dans la catégorie épouvante/thriller et c'est celui-là que j'ai maté par erreur

    un petit thriller mexicain minimaliste en noir et blanc, bien interprêté, intelligent et qui joue tout sur son atmosphère saphique mystérieuse.

    https://www.imdb.com/title/tt3183402/?ref_=fn_tt_tt_3

    excellente erreur

     

    et maintenant que je lis vos commentaire, je n'ai plus du tout envie de voir le Plaza...

  4. revu l'autre jour.

    pas emballé à l'époque, notamment en raison de tous les petits effets de mise en scène "trop cools" (nom et prix des meubles ikea, inserts de tyler, aparté pour t'expliquer l'incendie de l'appartement...) et toujours pas emballé aujourd'hui.

    il n'en reste pas moins des scènes marquantes, brad au sommet (quand je pense que la dernière fois que je l'ai vu c'était dans War Machine de netflix que j'ai arrêté au bout de 20 minutes ) et surtout le style palahniuk, bizarre, sale et décousu, avec ses digressions misanthropes.

  5. Oui c'est sur, le sujet était quelque peu banal et famille pour "la main sur le berceau" mais le suspense sacrément bien entretenu... du coup dans le flot de thrillers, il se détachait à l'aise Blaise.

    La séquence ou Annabella Sciorra fait sa crise d'asthme, provoquée par cette salope de Rebecca, était très éprouvante!! Quoi de plus banal qu'une crise d'asthme pourtant?

     

    "banal" n'était sans doute pas le meilleur mot, je change pour "classique".

    c'est un modèle du genre pour les 90s, il se distingue certes par sa qualité, mais pas par son originalité.

  6. Revu le mois dernier, marrant ça!

    J'aime bien! Bon thriller sur les eaux, Streep dans un rôle d'action à contre emploi, appréciable, des prises de vue de dingue pour la partie rafting qui claquent méchamment sur les percussions de Jerry Goldsmith. Suspense bien aménagé, qui ne révolutionne rien mais film carré qui délivre le produit vendu, ni plus, ni moins.

    "Bad influence", " faux temoin", "la main sur le berceau", mine de rien Curtis Hanson était un petit faiseur de thriller solide des années 90 avant l'explosion " L.A. confidential"

     

    La Main sur le Berceau c'était genre limite mon film préféré à 12 ans, j'avais envie de le montrer à tout le monde, je trouvais le film machiavélique. Comme quoi on est vachement impressionnable à cet âge.

     

    pareil, j'ai fait un blocage dessus aux prémisses de l'adolescence, je trouvais ce film génial et j'avais craqué sur rebecca de mornay

    revu à l'âge adulte, ce fut la douche froide : un thriller carré ...mais terriblement banal

     

    je ne me souviens plus trop de la rivière sauvage, pour moi c'était le cliffhanger du rafting.

  7. Le Tombeau des Lucioles :

    Cacher son visage, respirer calmement et essayer de rester digne en sortant de la salle.

    Et surtout savourer le silence de mort et la mine déconfite du public de gros pédants du pseudo cinéma d'art et essai (le seul de ma ville à diffuser des animés) qui m'avait gâché les séances de perfect blue et ghost in the shell avec leurs remarques de connards tellement au-dessus des "japoniaiseries".

     

    Existenz :

    Dernier rang, en train de galocher et tripoter la voisine. Le sentiment d'avoir coché une case dans la vie d'un homme ce jour là. Ceci dit c'était sans doute pas le bon film, le trip organique bizarre de cronenberg m'a fait me sentir un peu sale.

     

    REC :

    Avec un pote que je ne soupçonnais pas d'être aussi bon public. Il a passé son temps à sursauter, c'était 2 spectacles pour la prix d'un. Un habile malandrin en a même profité pour lui subtiliser son portefeuille sans qu'on s'en rende compte.

  8. Bon alors sur la forme, c'est juste orgasmique de la première à la dernière seconde.

     

    Mais le fond bordel

    C'est littéralement le Doutage, en version méta-hardcore ++

    "Le dialogue est tout à fait terrifié, je dirais même bouleversif et, au risque d'être pédant, je trouve ça bouleversant."

     

    Mandico avait les cartes en main pour être le Sayadian ( ) de sa génération, mais a priori il vise tout autre chose, je n'ai pas trouvé quoi au juste.

  9. 025a1d9d167211ba9f107ef77fcb111c.jpg

     

    Après qu'une épidémie se soit répandue dans toute l’Australie et la perte de sa femme suite à une morsure d’un zombie, un père (Martin Freeman) cherche une bonne personne prête à garder sa fille Rosie.

     

    Pourquoi à chaque fois que netflix m'agite un film de zombard sous le nez, il faut que je morde à l'hameçon ?

     

    Je vais la faire courte : Cargo c'est un peu The Dead en Australie, avec un message "les aborigènes y sont écolos, sages et gentils" pour flatter le client hippie-citoyen-du-monde.

    Sinon il n'est jamais question d'un quelconque cargo et le héros n'envisage même pas de s'armer d'un bâton pour faire face aux morts-vivants qui veulent bouffer son bébé

  10. je vais de moins en moins au cinoche

     

    1) Shimkent Hotel

    La quintessence du film français intello-zédard imbitable qui pète stratosphériquement plus haut que son cul. c'est même pas un mauvais souvenir tellement on en rit encore avec mes potes.

     

    2) Le Ciel, les Oiseux et Ta Mère

    On s'était donné rdv avec des "amis" pour la séance, je suis arrivé légèrement à la bourre, je les ai pas trouvé, je me suis assis dans un coin, je me suis fait chier comme un rat mort. en fait ces connards n'étaient pas venus et ne m'avaient pas prévenu

     

    3) Mortal Kombat

    j'avais 13 ans et j'ai eu honte d'avoir demandé de l'argent à mes parents pour aller voir cette merde.

     

    sinon ma pire séance c'est sans doute Sphère : un groupe de racailles qui s'étaient incrusté dans la salle sans payer a commencé à faire chier tout le monde. ils m'ont particulièrement pris à partie parce que je devais avoir l'air d'une victime à tenter de faire comme si de rien n'était la sécurité a fini par les dégager mais j'ai passé le reste du film à me demander s'ils m'attendaient à la sortie comme ils l'avaient promis

     

     

    edit : j'ai aussi une pensée émue pour L'Adversaire avec Auteuil : un film sur un mec qui fait semblant d'aller bosser en restant toute la journée dans sa bagnole garée sous la pluie à manger des biscuits. en plus j'avais amené une meuf dans l'espoir de la serrer et je me suis fait friendzoner

  11. J'ai juste vu celui sur les légos et je suis un peu déçus, quasi rien sur la gamme Technics

     

    il est bizarre cet épisode. j'ai eu l'impression que le dir com de lego avait tenu la plume des auteurs tout du long.

    j'avais vu un reportage de Capital (du grand journalisme d'investigation ) qui racontait à peu près l'inverse, mis à part le retour aux basiques et la chasse aux coûts actuelle.

    ils insistent lourdement sur la gamme mindstorm alors que c'est une micro-niche.

  12. j'ai attaqué la 2e saison et j'ai bien aimé l'épisode star trek ...justement parce que je n'y connais rien, je ne sais même pas si j'ai vu un épisode de la série initiale en entier.

     

    en revanche je savais déjà à peu près tout sur les transformers.

    j'aurais bien aimé une présentation un peu plus poussée des gobots plutôt qu'une simple vanne pour dire que c'était cheap et pourrito. ils pourraient y dédier tout un épisode, rien que pour leur ligne dérivée somptueusement débile des Rock Lords et leurs narlies dégueulasses

     

     

    qu'est-ce que j'ai pu jouer avec mes rockasaurs

     

    au milieu des années 80 les robots qui se transformaient étaient partout, même dans le happy meal :

    35foQBb.jpg

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