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chatterie royale

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Messages posté(e)s par chatterie royale

  1. Je me refais la musique des Autres d'Amenabar et quand on sait que le film est quand même proche du chef d'oeuvre et que sa musique est pas loin derrière, je me dis qu'il y a eu très peu de coups de génie de la sorte depuis 20 ans au sein de nos chers films d'horreur/épouvante. Ou alors faut me guider vers un autre exemple, c'est avec un grand plaisir.

    s.

     

    Bon sinon personne a rebondi là dessus mais vous êtes d'accord pour dire que cette partition est une tuerie ou j'en fais des caisses ?

     

    perso elle ne m'avait pas spécialement marqué quand j'ai vu le film.

    et là en la réécoutant ça ne m'accroche pas plus l'oreille.

    disons que pour moi c'est typiquement une bande son "atmosphérique" classique qui sert à accompagner l'image, pas vraiment une mélodie que je mettrais sur ma playlist pour l'écouter indépendamment. ce qui n'est pas un jugement de valeur et ne répond donc pas vraiment à ta question

     

     

    sinon j'ai oublié de citer celle de Mosquito des Schänder qui n'a malheureusement jamais été éditée il me semble.

     

    et aussi

    Y-oB74ved_k

     

    icvpCYJmFw8

     

    j'en retrouverai peut-être d'autres plus tard

  2. je crois que je suis le seul teubé à ne pas avoir compris qu'on parle des meilleures musiques de tout l'étang

     

    ceci dit ça m'intéresserait davantage de découvrir les perles de ces 20 dernières années. très peu de thèmes marquants en ce qui me concerne, je suis certain d'être passé à côté de bons trucs.

     

    parmi les classiques qui n'ont pas encore été cités:

    - rosemarys' baby de komeda

    - cannibal holocaust et la longue nuit de l'exorcisme d'ortolani

    - phantasm de myrow et seagrave

     

    sinon d'autres thèmes que j'affectionne :

     

    dr1RX6lOelU

    ce petit style gamelan comme chez Akira

     

    8YFGcQaZs1c

     

    rbXQrJh7U7k

     

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    jgkPLNg-wwo

     

    Hjnp0G6Olc4

     

    EBxsRiG5eYU

     

    et puis aussi la meilleure musique de film d'horreur amateur que j'ai jamais entendu je crois :

    K9PtEKdiN6E

  3. ce film qui est au cinéma ce que le hard FM est à la musique

     

    cette formule imbattable

     

    vous savez, on a tous eu ce t-shirt qu'on n'assume pas et qu'on enfile seulement en dernier recours, sans sortir de chez soi, quand tout le reste est sale. moi c'était le t-shirt de the crow que des gens m'avaient offert

  4. Viral.jpg

     

    Une famille avec 2 ados commence à faire son trou dans la ville de californie où ils ont emménagé récemment. Une épidémie de vers parasites vient bouleverser leur quotidien et les 2 soeurs se retrouvent vite livrées à elles-mêmes dans leur maison en quarantaine.

     

    Petite prod blumhouse teen-horreur humble, carrée et solide, par les mecs qui ont fait Paranormal Activity 4, Nerve et Catfish.

    Ca ne révolutionne rien mais c'est bien écrit, correctement interprété, les personnages ne sont pas trop cons et stéréotypés, ça ne tire pas trop sur le pathos, les effets spéciaux sont relativement discrets mais de bonne qualité.

     

    Tout ce que j'attends d'une série B en fait

     

    et l'affiche est jolie en plus.

  5. Vu et je pense que les gens ici vont plutôt bien accueillir ce film. Y a de gros défauts :

     

    - une poursuite en moto au début aux trucages numériques défiants l'entendement (on dirait un jeu de moto-cross sur PS1), et globalement les trucs numériques sont plutôt moches.

     

    - le principe de base complètement pas original, pas forcément sublimé par un scénario plutôt très très léger.

     

    - il manque une grosse baston finale, un truc qui fait halluciner (du genre la scène du milieu dans ghost rider où il pète tout avec son gros engin de construction).

     

     

    Mais, si on prend le film pour ce qu'il est, c'est à dire une série b d'action ultra eighties, avec un Guy Pearce qui est là pour s'amuser et qui distribue les punchlines comme le père noël les cadeaux aux enfants sages et beaucoup de rythme (même si c'est dur de passer après the raid, toutes les bastons paraissent fades après). On s'amuse bien quoi, et c'est déjà pas mal.

     

    Approuvé, donc.

     

    kevo a parfaitement résumé le truc.

     

    j'insiste quand même sur la poursuite à moto du début qui est vraiment indigne d'un sharknado. je ne comprends pas comment les mecs ont pu garder ça au montage. juste parce qu'ils avaient filé un petit chèque à un studio de merde et que ça leur faisait mal au cul de tout foutre à la benne ?

     

    sinon c'est vraiment un exercice de décalcomanie des films d'actions 80-90 et ça passe avec le cerveau débranché. les 3 points positifs :

    - les méchants taulards ont vraiment des gueules pas possibles

    - le matraquage de punchlines qui sont parfois franchement drôles ...quand elles n'ont pas été volées ailleurs.

    - la fin qui est légèrement moins éculée que le reste du film

     

    pour info :

    Le réalisateur américain John Carpenter a assigné EuropaCorp estimant que le film est un plagiat de son film New York 1997.

     

    Le 7 mai 2015, le tribunal de grande instance de Paris a condamné EuropaCorp à verser 20 000 euros à John Carpenter, 10 000 euros au scénariste original, et 50 000 euros à la société gérant les droits d’exploitation de New York 1997 ; EuropaCorp a indiqué avoir fait appel de cette décision1.

     

    Le 29 juillet 2016, la cour d'appel a condamné EuropaCorp, le producteur Luc Besson ainsi que les coscénaristes et coréalisateurs James Mather et Stephen Saint-Léger à verser 100 000 euros de dommages et intérêts à John Carpenter, 40 000 euros à Nick Castle et 300 000 euros à Studiocanal2,9.

  6. moi je n'ai rien de particulier à lui reprocher.

    c'est pareil avec tous les acteurs qui ont construit leur carrière en s'enfermant dans un seul personnage. il peut arriver que ça fonctionne selon le contexte, mais c'est pas garanti et il n'est pas de bon concept qui ne saurait s'émousser à la longue.

     

    j'ai découvert l'existence du film "a very murray christmas" de sofia coppola sur netflix et je me suis dit que l'enfer devait ressembler à une soirée lose sur netflix à regarder sofia coppola qui se regarde en train de filmer bill murray qui fait du bill murray dans le rôle de bill murray

  7. mais qui n'est pas fan de Bill murray bordel??!!

    Coucou

     

    NAZI!!!

     

    Moi non plus je l'aime pas.

    Il y a une vingtaine d'années (peut-être plus), un article dans Mad le surnomait le "comique pas drôle".

    J'avais trouvé cela particulièrement juste.... Si juste que je n'ai jamais pu l'oublier.

    NAZI TOI AUSSI !!!

  8. Ayant quitté leur maison du quartier, Le jeune adolescent Logan, traumatisé par la mort accidentelle de son père lors des provisions en pleine soirée, et sa mère Naomi, à court d’argent, arrivent en pleine nuit dans une gigantesque maison de vacances appartenant à la famille, celle de la soeur maternelle. Le lendemain matin, dimanche, c’est la journée des portes ouvertes, ce qui les oblige à sortir en ville. Au retour, des bruits inquiétants apparaissent depuis le sous-sol et qui recommencent toutes les nuits : ils ont l’impression de ne pas être les seuls à y habiter…

     

    Alors chez netflix ils ont un système de notation nord-coréen très intéressant : à chaque fois qu'une production est estampillée "original netflix", ce ne sont pas moins de 4,5 étoiles sur 5 qui y sont accolées.

    "FAKE NEWS !" semble vouloir crier internet :

    - 1,2/5 allociné

    - 3,4/10 imdb

    - 2,5/10 senscritique

    De toute évidence, il y a anguille sous roche et elle ne saute pas aux yeux immédiatement.

     

    Ca respecte le cahier des charges du film de maison hantée/squattée à la lettre sans nous épargner la moindre ficelle. A défaut d'avoir une once d'originalité, le procédé a au moins le mérite de livrer un divertissement pop-corn efficace, malgré quelques lourdeurs et on se laisse aller à spéculer sur la chute à venir.

    Et c'est justement dans les dernières minutes que le film décide afin de se distinguer ...et qu'il laisse le spectateur sur un plantage calamiteux

    C'est pas que le final soit culotté ou bouleversant, non juste un peu plus nul et insipide que tout autre thriller vu auparavant

     

    Parfois il faut savoir assumer son statut de copieur sans ambition et s'en tenir là.

  9. vous vous souvenez du volant de la wii en plastique qui vous pénalisait à mario kart et que vous avez vite rangé au fond du placard ?

    voici le volant de la switch en carton à plier soi-même. il est un peu plus cher, mais quand on aime...

  10. revu hier à l'occasion de sa diffusion sur france 2 qui n'était, me semble-t-il, même pas mise en avant.

     

    j'ai mieux apprécié qu'au cinéma : en connaissance du sujet, je me suis moins laissé parasiter par le surdécoupage.

    enfin la scène d'action finale reste quand même abusée à ce niveau là, c'est limite illisible et c'est ce qui m'avait laissé sur une impression mitigée la première fois.

     

    mais sinon c'est magnifique et ça transporte vraiment dans l'univers de la franchise.

  11. Je me suis demandé aussi si c'était le film crowdfundé mais ça n'a pas l'air d'être le cas.

     

    Je confirme, c'est bien du crowfunding. C'est un truc qui traîne depuis 2013 en mode "faisons un film avec le public". Faut croire que ça valait tellement le coup...

     

    je crois, messieurs, qu'il s'agit d'une succulente entourloupe

     

    michèle laroque a lancé un projet de crowdfunding en 2013 pour un espèce de thriller à portée sociale qu'elle vend comme un projet personnel qui se passe dans sa ville natale où on "fait participer le public au projet" (60 balles minimum pour voir son nom apparaitre dans le film, envoi de la scène par dvd si coupée au montage )

    http://www.touscoprod.com/michele-laroque

     

    déjà ça sent l'embrouille parce que des sociétés privées viennent glisser des gros chèques dans la cagnotte :

    https://beta.arretsurimages.net/articles/le-crowdfunding-dope-de-michele-laroque

     

    et hop 2 mois plus tard, le financement est bouclé, bravo michèle !

     

    en 2015 elle annonce à paris match que le scénar est prêt et qu'ils vont lancer le tournage. Grands seigneurs, ils vont même filer une partie des bénefs à des associations caritatives :

    http://www.parismatch.com/Culture/Cinema/Le-film-participatif-de-Michele-Laroque-sur-la-bonne-voie-le-scenario-est-pret-754342

     

    et début 2017, elle annonce de nouveau que son scénar est enfin prêt. Adieu le thriller social niçois à but caritatif, il s'agit désormais d'une comédie adaptée de sa pièce de théâtre Mon Brillantissme Divorce, un projet hautement personnel puisqu'il s'agit de l'adaptation d'une pièce anglaise. Et c'est bien ce film qui sort maintenant.

    http://www.monfilmavecmichele.com/la-grande-nouvelle/

     

    faire "crowdfunder" une comédie populaire à succès avec avec Michèle Laroque, Kad Merad, Darmon, F.Fabian, P.Elbé, Michael Youn, Rossy De Palma : l'everest du cynisme et du foutage du gueule ?

     

    franchement je suis admiratif.

    et un peu triste aussi pour le pigeons qui ont soutenu leur idole dans ce super projet personnel, social et caritatif.

    en même temps c'est bien fait pour leurs gueules à ces

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    La fin du monde vue par des bobos ricains.

     

    Un couple de néo-hippies invite leurs anciens amis bobos de la fac dans leur maison reculée à la campagne où ils vivent en autarcie pour passer un weekend à boire et fumer de la weed bio cultivée maison. Mais voilà qu'au même moment, en raison d'un virus informatique, toute la société s'effondre.

     

    J'ai trouvé ça super frustrant parce qu'il y a vraiment des bons points : l'esthétique est soignée et immersive, on voit que ça n'a pas été fait par des branquignoles et la montée progressive de tension de tous les côtés est réussie et rend le truc prenant. On sent la catastrophe arriver et on veut y assister.

    Le problème c'est que toute cette joyeuse bande de personnages sont plus cons et à l'ouest les uns que les autres, et surtout ils sont tellement "bobos" (ou prolos bouseux réacs connards, pour contraster) qu'on se croirait presque chez edgar wright, alors que le ton se veut sérieux : ce sont tous des génies qui ont fait de brillantes études, sont cultivés, activistes, non matérialistes, athées, startuppeurs, hackeurs, toxicos, mal dans leur peau sinon dans leur couple et surtout totalement déconnectés du monde réel.

    Des exemples nawaks parmi d'autres : il y a un couple qui arrive en moto, la fille (qui ne connait a priori pas les gens chez qui elle met les pieds) descend à peine de la bécane et se met à pisser par terre en arrière plan alors que tout le monde se salue, puis elle demande direct à tester la beuh et personne ne s'en étonne le moins du monde. A l'aise et ouverts, quoi

    A un autre moment on retrouve un personnage par terre au bord de la route, il est tombé dans les vapes parce qu'il a fait une crise de déshydratation (ou hypoglycémie, je sais plus trop) parce qu'il a trop marché. C'est pas comme s'il avait une mission vitale à remplir, qu'il s'était perdu ou avait un alzheimer, juste un gars qui se promène jusqu'à l'épuisement. Normal

    Je ne sais pas si le type qui a écrit ça est tellement à fond dans son trip que ses personnages lui sont apparus normaux ou s'il voue une haine farouche aux démocrates et voulait les faire passer pour des glands, mais les mecs sont tellement perchés qu'on a juste hâte de voir le boomerang de la vie leur revenir en pleine gueule

     

    j'ai passé tout le film à me demander qui allait finir par les massacrer entre les bikers, les militaires, les voisins ou eux même. et voilà qu'au final c'est personne. on est tellement dans le trip hippie qu'après un coup de feu et un bref discours émouvant, tout le monde décide de vivre en harmonie, dans la joie d'avoir laissé cette vilaine société moderne pour se consacrer aux plaisirs simples de la culture des courgettes et des grosses bulles de savon

     

  13. je me lance sur la 1ere saison.

    c'est très fidèle à mes souvenirs de evil dead : gore, fun, cartoon... mais aussi un peu léger, décousu et bourratif.

    je vais éviter d'enchainer les épisodes comme un bourrin, parce qu'au bout du 3e d'affilée, l'enthousiasme initial a laissé place au sentiment de tourner en rond.

     

    sinon c'est clairement le truc destiné à la diffusion télé le plus sanguinolent que j'ai vu.

  14. je ne m'étais jamais penché sur le monde du jouet et ces petits reportages sont plutôt bien foutus. écriture pour le moins décontractée et dynamique, c'est prenant.

    certaines remarques m'ont fait marrer, comme l'allusion à extensor. je l'avais et c'est vrai qu'il était pourri.

     

    Ce qui est grandiose, sinon, dans la genèse des Maîtres de l'univers, est l'impression de totale impro qui semble avoir présidé d'un bout à l'autre.

    - bon, ils nous faut des figurines pour concurrencer celles de Star Wars : on n'a qu'à, du coup, faire de l'heroic-fantasy, les gosses aiment ça...

    - bon, les personnages n'ont aucun background : on n'a qu'à, du coup, créer une bédé pour présenter l'univers...

    - bon, la plupart des mioches qui achèteront les jouets ne savent, en fait, pas encore lire : on n'a qu'à, du coup, faire un dessin animé...

    GÉNIE !

     

    pour avoir un peu bossé dans le marketing, il n'est pas rare que les lancements de produits ressemblent à ça.

    les jouets c'est un business comme un autre, tu pars d'un objectif commercial, tu t'appuies sur une tendance sociétale assez floue et intangible pour l'attaquer et tu rectifies 10.000 fois le projet au fil des réunions, panels consommateurs, etc. de sorte que le produit fini n'a plus grand chose à voir avec le proto initial. quand c'est un succès tout le monde se l'attribue, quand c'est un échec personne n'en parle.

     

    le seul reproche que je ferai à docu c'est d'être un peu trop centré sur les us. je pense que ce qui a précipité le déclin de franchises comme les maîtres de l'univers, c'est surtout l'arrivée de nouvelles franchises en provenance du japon.

  15. Metalhead : Ah ça fait plaisir de retrouver David Slade mais surtout sa hargne Un beau survival, âpre, très violent, flippant, même si finalement assez classique en soit. Du bel ouvrage.

    rien à ajouter. zéro fioriture, excellent.

     

    Black Museum : ça m'a fait penser aux Contes de la Crypte, pas déplaisant.

     

    au final, si on retire le pustule arkangel, voire crocodile, c'était bien cool. peut-être moins agréablement surpris que sur la saison 3 tout de même.

  16. pas spécialement d'affection pour l'original qui était une divertissement familial sans grande prétention, dans mon souvenir, plombé par des images de synthèses indécentes (les singes bordel ! )

     

    je ne me sens pas trop concerné par celui-ci, mais en ce qui me concerne le coup de faire du jeu vidéo en film, ça ne marche jamais.

    j'ai l'impression que c'est systématiquement ringard et caricatural. de même, dès qu'une cinématique dure un peu dans un jeu, ça me dérange pas mal, une sensation d'imitation de film un peu maladroite.

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