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chatterie royale

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Messages posté(e)s par chatterie royale

  1. en l'occurrence pour l'ecsta tu peux y trouver un peu tout et n'importe quoi.

     

    C'est bien le problème de la chose.

    Prendez du MDMA, c'est meilleur

    Et on a les mâchoires qui ramassent beaucoup moins....

    ce que je voulais dire c'est que cachet d'ecsta ou cachet de mdma c'est exactement pareil : il y a théoriquement des molécules de mdma (= molécules d'ecstasy) mais c'est pas garanti + plein potentiellement plein d'autres trucs plus ou moins souhaitables

  2. c'est strictement la même chose, c'est bien le principe actif.

    néanmoins un cachet, comme ceux des médicaments, n'est pas constitué à 100% de la molécule du principe actif, il y a aussi des excipients, ne serait-ce que pour donner la texture, la conservation, la couleur, le poids, le goût.... en l'occurrence pour l'ecsta tu peux y trouver un peu tout et n'importe quoi.

     

    et l'album de madonna ? je m'en cale.

  3. a priori je dirais qu'il a été diffusé ailleurs que sur canal + parce que je n'avais pas cette chaine et me souviens très bien de l'avoir vu à la téloche (je penche pour une rediff sur RTL9)

     

    j'avais vraiment adoré et je crève d'envie de le revoir

  4. je ne vais pas me substituer à DPG pour poursuivre le débat avec toi.

    J'ai lu attentivement toutes tes réponses, j'ai bien compris ton point de vue.

    le problème c'est qu'il repose sur un malentendu : tu as filtré et interprété les intentions de la réalisatrice comme ça t'arrangeait, notamment parce que tu n'as pas vu le résultat. tu prétends qu'elle a agi par je m'en foutisme et fainéantise, alors qu'elle s'est imposé des contraintes techniques strictes en tant que procédé réfléchi dans le but d'atteindre un objectif précis et elle l'explique très clairement dans son interview.

    elle veut faire du vrai, du tendu, de l'urgent pas un space opéra épique avec des dinosaures en 3D : objectif différent, procédé différent.

  5. j'y suis allé à réculons, n'ayant absolument rien suivi de la promo du film et n'ayant jamais vu un film de maïwenn et, pour tout dire, j'ignorais totalement qui elle était (je croyais que les gens qui n'avaient qu'un prénom venaient tous de la téléréalité )

     

    une très belle surprise. un film parfaitement maitrisé, dynamique, avec des acteurs à peu près tous exceptionnels, un putain de réalisme bien renseigné etvraiment touchant, un ton toujours juste, peu importe l'émotion impliquée.

     

    je lis tout l'argumentaire d'alfie et je le trouve complètement hors-sujet. sérieusement, vois le film au lieu de te braquer sur un bout de citation de son auteur, tu comprendras mieux ce qu'elle voulait dire

    elle n'utilise simplement à peu près aucun des artifices habituels dans le but d'obtenir un rendu "reportage" qui plonge le spectateur dans le quotidien du commissariat. ça m'a rappelé dans un sens le premier Tropa de Elite (la violence en moins). ah si les julie lescaut ressemblaient à ça,...

     

    après ce n'est pas parfait non plus. les situations sont intelligemment évoquées, en évitant assez habilement la démagogie, mais ça finit par tourner un peu au catalogue. par ailleurs, je n'ai vraiment pas saisi l'intérêt du personnage de melissa et son histoire d'amour à la con. c'était un peu la seule figure imposée artificielle.

  6. je m'attendais à un truc nullissime et c'est fut donc plutôt une bonne surprise.

    le casting est sympa, personne ne m'a tapé sur le système, il y a même des idées marrantes (la 4L tuning, boon qui essaie de se faire passer pour un belge, le syndicaliste français,...). c'est triste à dire, mais je n'en attendais pas tant d'une comédie grand public à gros succès

     

    de coup j'envisage peut-être même un jour de regarder les chtis.

    si ça repasse à la télé.

     

    et qu'il n'y a rien d'autre.

  7. L'image du Blu-ray est a tomber par terre et rend hommage au chef op et à Refn.

    Par contre le contenu du BR est a chier par la pine, une itw de Refn et une compil de spots internet sans interet

    oui mais s'ils balancent du contenu maintenant, ils vont mettre quoi dans leur édition "collector" qui sortira dans environ 6 mois ?

    le "director's cut" ?

    non ça c'est prévu pour dans 1 an.

  8. revu récemment, c'est toujours aussi fabuleusement vulgos et c'est ça qui est bon

     

    au départ on se dit que la berkeley est une faute de goût du casting avec son regard bovin et son look de morue...et puis au bout d'une heure a barboter dans le kitsch obscene, on finit par trouver son petit minois gracieux et angélique

     

    verhoeven estransforme tout ce qu'il touche en or.

     

    au passage, j'ai eu une révélation :

     

     

    +

     

     

    =

     

  9. pour être chiant, qu'est-ce que c'est chiant.

     

    les 20 premières minutes sont pourtant magnifiques : scènes évocatrices, symboliques, surréalistes, parfaitement accompagnées par l'ouverture de Tristan et Isolde. c'est bien, on se croirait au MoMA dans une expo Matthew Barney.

     

    puis 50 minutes de Festen où on a envie de mettre des claques à tout ce casting très "croisette" (mention spéciale à la Rampling qui a définitivement pour moi une gueule de vendeuse d'assurances) avec un peu d'ouverture de Tristan et Isolde pour varier les plaisirs.

     

    puis 50 minutes de vide, type "cinéma d'auteur" casse-pieds, avec de l'ouverture de Tristan et Isolde à tire-larigot, où rien ne se dessine, ni intrigue, ni personnage, ni message, ni esthétique renversante. pour tuer l'ennui on finit mécaniquement par jouer au jeu des 7 différences entre les plans du début et ceux pendant le film, à analyser les variations de taille de la poitrine de la mère Dunst (un sacré mystère en effet), on comprend enfin d'où viennent les voitures de golf dans les films post-apo. allez encore 10 minutes, tu peux le faire, ne lâche pas maintenant, putain ils construisent un tipi sur du Wagner, mais qu'est-ce que c'est chiant. boum! fin.

     

    je ne peux m'en prendre qu'à moi-même, à chaque fois que je me frotte à Von Trier j'ai envie de m'ouvrir les veines tellement je trouve ça pénible.

  10. alors ici pour enfoncer schoendoerfereefcher c'est open-bar ?

     

    pour moi c'est loin d'être si nul et si ridicule que kevo, fabrice et l'express le disent.

    c'est clairement pas un chef d'oeuvre, mais il faut savoir aussi raison garder.

     

    niveau scénario, quand on dit que c'est grangé qui s'y colle, on a déjà tout dit. néanmoins c'est quand même bien moins con que les rivières pourpres, pour donner un ordre d'idée (oui, je parle du 1er)

    après il y a effectivement quelques répliques bien tartes (les sushis c'est la palme, ça sort vraiment de nulle part ) mais le tout fonctionne et reste cohérent. à titre d'exemple, pour ceux qui s'étonnent de voir la mère et la fille se servir de flingues, on nous explique quand même que le hobby familial c'est de vider des chargeurs le dimanche.

     

    pour les acteurs, cantona et l'héroïne s'en sortent bien, les seconds rôles sont plus aléatoires. pour leur défense, ils sont pour la plupart censés jouer des personnages qui jouent eux-même un rôle.

    les vrais coups durs se sont le frère nullard de schoendoerffer qui n'apparait heureusement que l'espace de 2 mini-scènes et recoing, comme le signale l'express. enfin ce que l'express se cache bien de signaler c'est qu'il était déjà bidon dans la horde...

     

    dans l'ensemble on se dit que ça fait plus téléfilm de luxe à tendance bisseuse que cinoche "respectable". en tout cas ça se laisse suivre sans déplaisir et j'en demande pas plus à ce genre de film.

  11. pas mauvais, pour un alodovar.

    après une introduction pénible (ça fait 30 ans qu'il nous pond des scènes comme celle du Tigre et sa mère, de grâce, change un peu de registre Pedro!), l'histoire démarre vraiment avec les flash-backs, tout en éventant directement la fin du récit.

    je ne parlerai même pas de "twist" comme Ouine à ce sujet, tellement c'est annoncé longtemps à l'avance.

     

    en bref almodovar sort timidement de la routine, mais il ne fait qu'un film assez moyen, malgré un excellent sujet. heureusement qu'il reste elena anaya à reluquer sous toutes les coutures....

  12. je viens de me taper (en diagonale, faut pas pousser non plus) les 21 pages de ce thread et il faut savoir qu'elles ne contiennent pas plus de 6 ou 7 avis sur le film, le reste étant essentiellement dédié à débattre autour du paragraphe de compte-rendu de SWS sur la projo de Gérardmerde

     

    pour ma part je n'étais pas en france au moment de sa sortie et j'ignorais tout de la promo tapageuse et des éventuels débats qu'il avait pu engendrer.

    comme beaucoup de monde ici (enfin les 6 ou 7 avis ), l'ouverture avec les gros mouloud en t-shirt kourtrajmé qui mixe du TTC sur un vinyle étiqueté "Sheitan" m'a fait froid dans le dos. et puis rapidement le film installe son rythme de croisière, fait de rebondissements, changements abrupts de ton, digressions et coq-à-l'âne. tout peut se renverser d'une scène à l'autre, on se laisse surprendre et on se plait à suivre ce petit groupe de merdeux en route vers une mort certaine au milieu des dégénérés.

    la 2e frayeur vient de l'entrée en scène de cassel, mais finalement on se rend compte que, pour une fois, il joue un personnage assez différent de son sempiternel répertoire et c'est pas désagréable.

    ça ne se prend jamais vraiment au sérieux, ça ne choisit jamais son genre, ça papillonne entre différentes influences et c'est ce qui en fait un ovni bancal mais unique et surtout franchement loin d'être simplement "nul" ou "drôle au second degré" (même si le personnage d'Eve est un gros point faible du scénario)

    message social ? je crois que chapiron s'en contrefout, sa thématique de prédilection (comme mentionné dans un bout d'interview perdu quelque part entre les pages 2 et 17 ) c'est le désir et la frustration. tout le monde drague, allume, caresse, tripote et léchouille son voisin, mais l'acte est systématiquement interrompu.

    hétéro, homo, trio, gogo, inceste, viol, zoo, coussin du canapé... tout y passe, rien n'aboutit. ça donne vraiment une atmosphère étrange.

     

    en fait je crois que j'ai bien aimé et que je vais me taper l'autre long-métrage de chapiron

     

    sinon c'était marrant de voir que la mère bekhti, la nouvelle coqueluche du cinéma français qu'on voit partout, a commencé dans ce truc.

  13. vraiment étrange ce truc.

    je ne dirais pas que je déteste car Moix a au moins essayé de faire un truc original dans la forme, un authentique pot-pourri tant cinématographique que musical (et je m'étonne que personne n'ait souligné ce dernier point), où se mêlent parfois à un rythme effréné parodie de mauvais goût et stock-shots sur fond de yodel, king crimson, capdevielle ou rachmaninov indépendamment du contexte. on ne peut pas nier qu'il y a quelques séquences (souvent les plus anecdotiques) réussies et quelque part ça aurait pu être un gros délire conceptuel, à l'instar de lycée Alfred Jarry où chaque plan contient un portrait de l'auteur ou une statue d'Ubu sans qu'on sache trop pourquoi.

    le problème c'est que dans "pot-pourri", il n'y a pas que "pot" et le gros échec de ce film (outre des faiblesses techniques évidentes dont je me cale un peu) c'est son argument comique effroyable.

    dubosc fait du dubosc, pef fait du pef, richard fait du richard, galabru fait du galabru, gordon fait du siclay, personne n'est drôle, tout le monde semble rester dans sa bulle et avoir écrit ses dialogues tout seul dans son coin. en ce sens, je ne vois pas du tout en quoi la présence de poelvoorde au casting aurait changé la donne : il aurait fait du poelvoorde, comme dans tous ses films (et comme dans Podium qui à mon humble avis n'en est pas moins une comédie merdique). ça pourrait être lui, djamel, eric et ramzy, dany boon ou gad elmaleh que ça ne changerait rien. la recette des comédies françaises est de demander à des comiques de rejouer leur personnage, ça ne date pas d'hier, mais là on touche le fond.

     

    vulgaire, criard et embarrassant certes, mais indéniablement plus original (sur la forme, j'insiste) que l'immense majorité des grosses prods françaises.

  14.  

    ouvrir un topic musical de jeremie, c'est comme de zapper accidentellement sur E!

    mon cerveau n'arrive jamais à faire la liaison entre le sujet traité et le commentaire élogieux qui l'accompagne

    "diva"

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