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Tomfincher

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Messages posté(e)s par Tomfincher

  1. D'habitude, les films avec Gégé Butler, c'est non. Mais celui-ci, la bande-annonce m'a titillé. En plus, c'est Jean-François Richet derrière la cam qui n'est pas un manche, et puis y'a Mike Coltrane que j'avais bien aimé dans les Luke Cage / Jessica Jones. 

     

     

  2. Résumé

    Un homme se réveille amnésique. Guidé par une mystérieuse voix provenant d'un dispositif placé dans son oreille, il entreprend une mission risquée de sauvetage d'otage.

     

    Sinon, y'a d'autres trucs dans le script, avec des histoires de Corée du Nord et du Sud, de trahison, etc, et puis des infectés comme des zombies. J'ai pas tout compris. J'avais surement trop mal au crane devant cette bouillie numérique. 

    Le film est vendu comme un film en plan séquence incroyable... Alors je veux bien que de nos jours, ce soit moins la peine de se prendre la tête à préparer un plan de 2h, grâce aux raccords numériques. Mais en fait, Carter n'est qu'un film normal, en réalité blindé de coupes et de raccords numériques dégueulasses dans tous les sens qui tuent tout l'intérêt du plan séquence. Ce n'est finalement qu'un sous Michael Bay, épileptique, mais sans la réflexion d'un mec derrière (Michael Bay donc) qui va penser le placement de la caméra, etc. Non, là, c'est du pilotage automatique. Les raccords se font au choix sur un blouson noir, le flash d'un éclair, une explosion, j'en passe... 

    Quelques plans impressionnants noyés au milieu d'une masse immonde numérique, avec les plus laides courses poursuites (tout y passe, voiture, moto, train et même hélico) au cinéma depuis celle de Lock Out (le plagiat de New York 1997 produit par Luc Besson). C'est peu dire !

    A la poubelle !

  3. Le pitch Et si le Superman bébé qui était arrivé sur Terre il y a une dizaine d'année, ne devenait pas un super-héros mais un super vilain. 

    Scénario des frères de James Gunn.

    L'idée de départ est sympa (peut-être que cela a déjà été traité dans un comics what if quelconque ?), mais l'exécution est poussive. Le gamin est pas mal, mais c'est quand même assez platement réalisé, photo moche. Quelques effets gore pour tenir en éveil, mais au final, on y croit pas trop, ça va presque trop vite... Bref, c'est pas folichon. 
    C'est dispo sur netflix.

  4. Une sacré claque. Il faudrait limite le diffuser dans toutes les écoles, à la Nuit et Brouillard, un truc bien violent, bien choquant, dans lequel il n'y a aucun aspect fun ou "récréatif" à la drogue. C'est juste une lente descente aux enfers. 

    L'actrice qui joue Christiane est impressionnante. Dire qu'elle n'avait que 15-16 ans au moment du tournage... Premier film... 

    Vu sur arte dans une superbe copie. Je ne sais pas si c'est la même que sur le blu ray dont parle Tromatoxic, mais ça n'a rien de l'aspect d'une vhs. 

  5. Citation

    À l'approche de ses 30 ans, un jeune compositeur prometteur jongle entre l'amour, l'amitié et l'envie de réussir quelque chose de grandiose avant qu'il ne soit trop tard.

     

    Adaptation et brodage autour d'un spectacle autobiographique de Jonathan Larson, un génie de la comédie musicale disparu très tôt. 

    J'ai adoré de A à Z. Andrew Garfield est incroyable, il y a une énergie dingue, pleins d'idées de mise en scène. Bon, je reconnais qu'il vaut mieux aimer les comédies musicales avant de se lancer. Moi j'adore.

     

     

  6. Adaptation d'un manga de Jiro Taniguchi, c'est bien simple, c'est le meilleur film que j'ai vu en 2021. 

    Pour compiler les 5 gros tomes composant le manga en un film limpide de 1H30, les scénaristes et le réalisateur sont allé à l'essentiel sans oublier que la question essentielle en montagne est : pourquoi grimpe-t-on les montagnes ?

    Sachant que l'alpiniste George Mallory, qui tient une grande place dans le récit de ce film, avait répondu "parce qu'elles sont là", une réponse toute personnelle, le film "Le Sommet des Dieux" ne fera pas forcément avancer le débat. 
    Mais quelle réussite graphique ! L musique est superbe, les personnages sont bien caractérisés, les décors sont à couper le souffle, Par la beauté de ceux-ci, le film arrive à cacher un budget qu'on imagine bien plus limité qu'une grosse prod américaine. Peu de mouvements de caméra, mais quand il y en a, c'est vraiment pour servir la mise en scène. Tout le reste, c'est finalement du cadrage, de la réalisation hyper maîtrisée.

    Une franche réussite que je reverrais avec plaisir. 

     

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