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Ekynox

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Messages posté(e)s par Ekynox

  1. Et bien je ne savais pas du tout que MGM avait ENFIN lâché toutes les saisons en dvd (pas trop tôt après les best of saisons 1 & 2 + dvd thématiques, arrf...) Et vraiment pas chers en plus: 20 $ CAN pour la saison ! La piste française et bel et bien là (Tu peux foncer Léo, Au delà du réel tout comme les X-Files, n'ont jamais été doublés au Québec )

     

    Sinon, je suis grand fan de la série. Ok, le parcours est un peu en dents de scie; la qualité d'un épisode à l'autre peut varier considérablement dans l'écriture et les CGI/maquillages, mais il y a des perles incroyables. S'il faut voir un seul épisode, c'est celui avec Robert Patrick "Quality of mercy" (Saison 1). Un scénario béton, angoissant, superbe photographie, des maquillages exeptionnels pour de la TV. Un joyau je vous dis !

  2.  

     

    Titre original: Sango-Sho Densetsu : Aoi Umi no Erufii

     

    Dans le futur, le niveau des océans s’est élevé pour inonder tous les continents à cause de la négligence de l'humanité pour l'environnement. Seules quelques terres ont été épargnées, et une de celles-ci est la ville-île où Elfie vit avec son grand-père. Un jour, dû à un incident sous-marin, elle découvre qu'elle peut respirer sous l'eau. Son grand-père lui révèle qu’en vérité elle est l'une du mythique peuple de la mer. En exacerbant la xénophobie du peuple des villes, les politiciens locaux déclenchent une guerre contre le peuple de la mer afin de distraire l’attention du peuple à propos de leurs problèmes de ressource, et l'Elfie est attrapée au milieu de cette guerre.

     

    C'est bien ou pas ? Ça semble assez difficile à trouver, pas de dvd, rien (il y a une version arabe qui traîne, sans sous-titres, mais bon...)

    Bref, qui l'a vu et peut en parler ? Merci

  3. J'ai eu la nausée tout au long du doc. Du gros n'importe quoi dans ce procès de demeurés. Au final, impossible d'élucider (et c'est le cas encore aujourd'hui semble t-il) cette histoire. Un doc passionnant, mais qui fait peur, réellement peur tellement le moyen-âge semble encore bien inscrit dans les gènes. Je reste mitigé aussi concernant la non-culpabilité des trois "gamins"...Il est vrai qu'au verdict ils n'ont pas vraiment pété un cable, mais en même temps, puisque ça fait des mois qu'ils baignent dans cette histoire, que des accusations sont continuellement portés, je ne sais pas...peut-être qu'il y a une "désensibilisation" ou une résignation qui se créé...Anyway.

     

    Même si j'ai fait quelques recherches déjà, j'ai bien envie de voir la deuxième partie.

  4. J'ai infiniment de sympathie pour ce genre de freak innofensif (Normand L'amour style) et ce documentaire m'a vraiment retourné. Comment rester insensible face à un mec qui épouse la cause des animaux, apprivoise des renards, se plante une tente en plein territoire de grizzlys et réussi à les caresser. Il va jusqu'à les aimer comme une mère. Herzog de son côté fait très fort; s'aurait pu être un bête film d'exploitation, mais ce n'est pas du tout le cas. On sent sa sensibilité pour Timothy Treadwell tout au long du film et un réel désir de transmettre son message même s'il n'adhère pas à cette belle et douce naîveté. Charmant.

  5. Le film tient le premier rôle Max von Sydow en tant que magicien de déplacement appelé Albert Vogler. Les rapports de lecture d'une variété de perturbations surnaturelles aux exécutions antérieures de Vogler à l'étranger, les principaux citadins demandent que la troupe de Vogler leur fournissent un échantillon de leur acte, avant de leur permettre les assistances publiques. Les disbelievers scientifique-occupés essayent de les exposer comme charlatans, mais Vogler a quelques tours vers le haut de sa douille.

     

    De ce film, malheureusement, je n'en retiendrai que la magnifique photographie. Les premiers plans sont saisissants... Par la suite, je dois dire que je me suis gentiment ennuyé et pas très concerné par l'histoire de Vogler et ses comparses. Sans doute que je préfère les Bergman plus intimistes, minimalistes et métaphysiques (2-3 personnages max, peu de dialogues, deux décors et quelques joyeuses expérimentations). Reste encore une fois une interprétation et une technique irréprochable.

     

  6. Oui bon, c'est mignon tout ça, mais la sauce ne prend pas vraiment. C'est pas faute d'avoir essayé; c'est quand même joliement filmé, le concept laisse entrevoir des noeuds dramatiques qui pourraient être intéressants et tristounets...mais non. Je ne me suis pas senti trop concerné, alors que je peux chialer facilement avec ce type de film. En restant dans le même thème, j'ai préféré de loin Somewhere in time.

  7. Sans surprise, le film tue complètement la gueule. Enfin, sans surprise, c'est par rapport à l'attente, parce qu'en réalité c'est quand même assez surprenant.

     

    Après, c'est avant toute chose un film de Nolan, faut bien se mettre ça en tête. Au début du film, j'étais d'ailleurs un peu déçu, peur de me retrouver face à une coquille un peu vide comme le prestige ou memento, des films très forts formellement, mais aux enjeux un peu vains. Mais quand on voit où Nolan veut en venir, on se rend compte qu'il y a une vraie histoire forte et émouvante, pas juste du labyrinthe mental et de la pyrotechnie (même s'il y en a, et de la comme vous n'en avez jamais vu).

     

    Le film prend son temps pour démarrer, mais quand c'est parti, c'est très très très très fort. Et ça continue à monter jusqu'à un final incroyable qui défonce tellement le cul qu'on a du mal à marcher en sortant du cinéma.

     

    Deux dernières remarques : 1 - quand tout le monde aura vu le film, on pourra relativiser la performance, parler des influences du film, mais je suis vraiment sous le charme quand même : je trouve que tout est très bien intégré, et que c'est un spectacle formidable.

     

    2 - Le score de Hans Zimmer, dans une salle Imax avec le son qui fait trembler les sièges, est absolument énorme.

     

    Voilà, je sais pas si c'est un chef d'oeuvre comme on en voit tous les dix ans, mais c'est certainement ce que j'ai vu de mieux et de plus ambitieux cette année, et c'est déjà pas mal.

     

    Je ne sais même pas ce que je pourrais rajouter à ça, tout est dit. Dans la forme c'est très fort, mais c'est au niveau de la construction narrative que je suis le plus sur le cul.

    Je viens tout juste de ressortir de la séance, je retourne le voir ce soir avec ma copine.

  8. Pas mieux que mister Yatta, voila une belle occasion envolée pour réaliser un film d'animation qui sort des sentiers battus. Alors on a un univers hyper fun et adulte, mais on a ajouté à ça un scénario sans consistance et des ressorts dramatiques effectivement très classiques. On se retrouve finalement avec un beau film dont on ne s'implique jamais.

  9. Pour ma part un très joli film, mais autant d'acclamations par la critique générale, c'est un peu strange...Ok, c'est un boy meets girl pas forcément conventionel (peu de dialogues entre les deux tourteraux, ce sont les chansons qu'ils composent qui les réunit, qui créé le lien), mais ça manque tout de même de consistance.

     

    Léger mais c'est pas un mal.

     

    (Sinon il serait plus juste de mettre le film dans la section "Europe").

  10. Mélanie Laurent c'est quand même le truc vraiment moisie dans le film

     

    Non !!!

     

    Sinon, la seule chose qui m'est embêté, c'est le côté "effacé" des bastards; j'aurais vraiment aimé plus d'approfondissement sur chacun. La dernière heure est tout simplement sublime couronné d'un climax à la fois "brutal-fun" et étrangement émouvant. Pas ressenti ça souvent au cinéma.

  11.  

    Un jeune homme de 32 ans, Thomas, souffre d'agoraphobie aiguë. Depuis huit ans, il vit reclus chez lui et ne voit les gens que par l'intermédiaire de son ordinateur. Il a confié la gestion de sa vie à la Globale, une société d'assurances qui veille sur son bien-être matériel et mental. C'est le bonheur ou presque. Mais Thomas est seul... et Clara, sa partenaire virtuelle, ne lui suffit plus.

     

    Hé, c'tait pas mal du tout ! Sujet difficile à traiter au départ, c'est tout de même impressionnant de faire tenir l'intérêt pendant 90 minutes (malgré qu'il s'estompe tout doucement après avoir fait le tour des possibilités scénaristiques et de la mise en scène). La caméra subjective est nécessaire pour entrer à fond dans le sujet, mais elle a aussi ses limites; les relations et les liens de confiance se crées trop rapidement pour qu'on y croit, mais pas d'autres choix, le film ne tient qu'à ça. Un peu dommage aussi pour l'interprétation souvent approximative.

    Pour avoir vécu certains moments d'anxiété et de panique il y a de ça quelques années, je dois dire que j'ai vraiment trouvé une raisonnance à ce film. Curieux tout de même qu'on laisse un mec s'enfermer pendant huit ans, alors qu'une agoraphobie on peut traiter ça sans problème avec une thérapie cognitivo comportementale soutenue avec une bonne dose d'antidépresseurs et d'anxiolitiques Mais bon, sans ça pas de film et faut saluer tout de même une telle démarche qui est en rupture avec les conventions.

  12. Je ne peux parler que pour GH, mais lorsque je me suis procuré World tour a sa sortie, j'ai eu des problèmes avec la "caisse" rouge. Pas assez sensible lorsqu'on tappe dessus. C'est d'ailleurs un phénomène que beaucoup d'acheteurs ont expérimentés; caisse trop ou pas assez sensible, problèmes avec la pédale...Je ne sais pas si depuis c'est réglé.

  13. Bien aimé la première heure où la petite Jasira, tel un personnage tout droit sorti de l'univers de Todd Solondz, est sans repères, la risée de tous, le tout raconté dans un cynisme délicieux. Puis, peu à peu, j'ai trouvé que ça devenait trop "chargé", l'intrigue, les personnages, absolument tout tourne autour de Jasira. Et finalement, on perd en ironie et on se concentre sur le mélodrame. Une rupture de ton pas très et fine et j'ai trouvé ça dommage. Mais c'est vrai que Summer Bishill est tout simplement excellente et

  14. Tiens pour rester dans les trucs peut-être un peu plus facile d'accès, une oeuvre assez culte chez-nous, c'est "Cruising Bar" (1989) de Robert Ménard. Michel Côté (le papa dans C.R.A.Z.Y) incarne 4 personnages différents qui, chacun, partiront à la chasse aux demoiselles dans les bars.

     

     

    Dernièrement, une suite à été tournée, mais je ne l'ai pas encore vu.

  15. Vitement comme ça, les deux petits derniers que j'ai vu:

     

    « Les Bons Débarras » (1979) de Francis Mankiewicz.

    Ça raconte l’histoire d’une mère monoparentale qui doit jongler avec sa fille voleuse et menteuse, puis son frère qui a un retard mental et un sérieux problème de boisson. Mais c’est d’avantage que cela, c’est le lien spécial qui unit la mère et la fille, leur amour, leur recherche du bonheur malgré leurs difficultés et leur pauvreté. Très bien écrit, il faut surtout souligner la performance de la jeune Charlotte Laurier (la soeur de Lucie Laurier, celle qui est a de gros atouts) qui instaure à elle seule un climat fort inquiétant.

     

    Dans des scrutins périodiques organisés par le Festival international du film de Toronto et composés de critiques de films, d’historiens, de producteurs et de membre de l’industrie canadienne du film, le jury l’a classé parmi « les dix meilleurs films canadiens de tous les temps » successivement en 1984, en 1993 et en 2004.

     

     

    "Le ring intérieur" (2002) Dan Bigras

     

    Dan Bigras, chanteur québécois, présente ses "chums", des professionnels canadiens du combat ultime tout en apportant un éclairage sur les raisons et les motivations qui les ont conduit à pratiquer un tel sport extrême. Par moment, c'est assez poignant. On peut le voir sur le site de l'ONF. Très recommendable

    http://www.onf.ca/film/le_ring_interieur/

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