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Ekynox

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Messages posté(e)s par Ekynox

  1. Jacqueline

    Dans la cuisine

    Tu sais bien

    Que je n'veux pas

    Que tu m'fasse cuire

    Dans la cuisine

    Mais fais-moi donc cuire

    Une belle tarte

    Aux citrons

    J'gagerais

    Comme de raison

    Qu'il te manque encore

    Ta cassonade

    Au citron

     

    kJKLhjklnsd:;,nfkljsjkflkelvùù**f

     

    Fais-moi donc cuire d'abord du jambon

    C'est si bon

    J'en ai acheté hier

    Mets-le dedans l'chaudron

    Fais le cuire

    A fond

    T'as juste

    A surveiller l'eau

    Au fond

    Au fond

    Du chaudron

     

    Jacqueline

    Veux-tu bien m'dire

    C'que tu fais

    Dans la cuisine ?

     

     

     

    Lui là, son ongle incarné

    Y la mettait toute à l'envers

    Pov Jaqueline !

  2. Ah et bien un choc quand même. Tout d'abord, je n'ai pas été de ceux qui ont décroché à un moment ou l'autre dans la filmographie de Tim Burton. Ok, bien conscient que le niveau fluctuait, j'ai toujours été satisfait de ses p'tits plats et j'ai bouffé avec appétit ce qu'il me donnait (même la planète des singes...). Cette fois, je considère Sweeney Todd comme étant tout simplement son meilleur depuis Ed Wood. Bon, ce qui frappe aux yeux c'est le visuel; un univers encore plus sombre qu'à l'accoutumée fourmillant de détails. Puisqu'on se trouve dans un musical, Burton a pu y aller expressionniste à fond dans les maquillages, costumes et décors et le résultat est éblouissant. Depp joue avec beaucoup de retenue: on l'a connu clairement plus excentrique. Certains pourraient le qualifier de "transparent" comparativement au reste du casting qui se lâche à fond, mais je trouve qu'il est parfaitement dans le ton du personnage uniquement préoccupé par la vangeance.

    Sinon faut préparer ses oreilles; on retrouve une grande quantité de chansons. Bon, elles ne m’ont pas immédiatement plu et certaines voix sont un peu faiblardes (Helena Bonham Carter en particulier). Heureusement il y a des thèmes qui reviennent, l'oreille s'habitue et je suis persuadé qu'avec revisionnement, ça passera mieux.

    Alors qu'avec les derniers Burton, je ne me suis pas senti émotionnellement impliqué, celui-là à de quoi à foutre un bon cafard. Touches d'humour parsemés ici et là, mais c'est tout; les rayons de lumière seront vite voilés (avec une violence graphique assez exceptionnelle et pas forcément toujours "drôle".)

    Une belle harmonie se dégage dans l'ensemble (mise en scène, photo, performance des acteurs, chansons...), à mon sens, il n'y a aucun réel faux pas dans ce film. Burton renouvelle avec le drame romantique qu'il a illustré magnifiquement une première fois dans Edward Scissorhands, mais cette fois, je vous jure, il n'y a aucune place pour toute forme de douceur ou de naïvité !

     

    Sweeney Todd: Now we all deserve to die, even you Mrs. Lovett, even I!

  3. Je ne suis pas un bouffeur d'animes japonais, mais après avoir visionné la série Shin Angel, ça m'a donné le goût d'explorer le hentai. Bon ben comme le X, il subsiste plusieurs sous-genre, sous-sous genre et sous-sous-sous genre...En voici quelques uns:

     

    Lolicon: Parfois orthographié Lolikon lorsqu'on confond l'appelation en romaji (Rorikon) avec l'acronyme américain "Lolicon" signifiant Lolita Complex. Dans le Hentai sert à qualifier les productions dans lesquelles sont présentées des relations sexuelles impliquant des mineurs d'âge de sexe féminin, avec des adultes ou pas, et pouvant avoir un caractère homosexuel (lolicon yuri). Le pendant masculin du Lolicon est le shotacon et une variante du lolicon se nomme le toddlerkon.

     

    Shokushu: Véritable terme nippon employé pour ce que nous nommons Tentacle Hentai et Monster Hentai. Bref, les monstres à tentacules à la Urotsukidoji

     

    Futanari: Qualifie le type de Hentai mettant en scène des hermaphrodites, autrement dit, des êtres munis des deux sexes. La disproportion est souvent de mise dans la représentation des appareils génitaux et des éjaculations, on peut même sombrer dans le fantastique pur avec des personnages dotés de plusieurs appendices masculins, parfois à des endroits incongrus de leur anatomie.

     

    Guro: Vient de "grotesque" abrégé et décomposé avec le syllabaire japonais. Ce terme s'emploie pour toutes les productions bizarres, malsaines, étranges, glauques, dont le Hentai fourmille.

     

    Yaoi: Hentai à caractère homosexuel, représentant des relations de type mâle/mâle

     

    Yuri: Hentai à caractère homosexuel, représentant des relations de type femelle/femelle

     

    Oshiri: Littéralement "cul". Sert à définir le Hentai spécial anal

     

    Lactation: Qualifie (dans ce cas-ci) les mangas Hentai dans lesquels les seins des protagonistes femelle suintent en abondance un liquide comparable à du lait maternel, notamment lors de l'excitation, et ce bien que les personnages femelle représentés ne soient pas enceintes. Certains mangas représentent des scènes où les "opposants" du sujet de sexe féminin la "traient" comme on le ferait avec un bovidé. L'équivalent japonais de ce terme serait Chichi.

     

    Kemono: Terme employé pour définir les relations zoophiles dans le Hentai (utilisé à d'autres escients en-dehors de cette mouvance artistique), mais également les mangas de ce genre où figurent des créatures mi-homme, mi-bête (et qualifie aussi ces mêmes créatures). Qualifie aussi les publications où figurent les relations sexuelles entre ces êtres hybrides, ou avec des partenaires humains.

     

    Source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Lexique_des_termes_de_hentai

     

    Ma production préférée jusqu'à maintenant, c'est définitivement Shin Angel (1994). Dessins superbes (U-jin oblige)plus que la moyenne dans le hantai, l'animation tient encore la route et une bonne p'tite histoire entre lycéens qui ont les hormones au plafond. C'est surtout érotique, une douceur quoi. 5 épisodes en tout.

     

     

    Toujours avec U-jin, il y a Visionnary (1999). Trois histoires différentes entre lycéens. C'est moins top que Shin angel au niveau de la production, mais la première histoire est excellente. Encore une fois pas très cochon, mais la touche humoristique U-Jin, n'a pas perdu d'éclat.

     

     

    Avec Bible Black (2001), on entre dans du costaud. Dans un lycée, des profs pratiquent une religion où la dépravation et la perversité sont de rigueurs. Bien sûr, certains étudiants n'auront d'autres choix que de participer malgré eux. Tortures et sodomies sont de la partie. Ok, on atteint ici un niveau de qualité au niveau de l'animation et du dessin (particulièrement pour les sexes). Cette série est considérée comme le must pour les fans de hantai, mais je ne partage pas cet avis. Probablement parce que ça se prend un peu trop au sérieux...et que je ne suis pas trop fan de viols. 6 épisodes + deux autres séries pour faire plus de pognon.

     

     

    Alors là, attention, Front innocent (200?) est un bijou de qualité. Pratiquement aucune histoire si ce n'est pas ça baise entre bourgeois durant une guerre civile (bah en fait, je n'ai que vu que le premier épisode.) Dessins et animations irréprochables, des scènes de cul variées et nombreuses, rien de bien malsain jusqu'à maintenant. C'est puuuuur...

     

     

     

    Ouais, bé Immoral Sisters (2002) encore un hentai fort considéré, n'est certainement pas pour tous les goût. Le vilain propriétaire de Nowgawa Industrie grâce à quelques anarques finit par violer une mère et ses deux filles adoptives (vierges bien entendu). Vu le premier épisode, et je vais m'en tenir là.

     

     

    J'ai aussi commencé l'excellent et classique Urotsukidoji, mais il y a deja un excellent thread sur le forum:

    viewtopic.php?t=4239&highlight=urotsukidoji

     

     

    Ça fait à peu près le tour de mon exploration en la matière. Bien sûr, j'ai commencé avec le haut du panier, malgré tout, je ne suis pas encore convaincu que mon intérêt va se maintenir. À voir.

  4. et sinon, concretement, ce sera quoi la difference entre la ersion 360 et wii?? c'est laquelle qu'il foooo avoir?

     

    je ne sais pas si il y a un mode multijoueur en ligne sur wii.

     

    Yep, il est bien là. Il y a seulement la Ps2 qui est castré de son mode multijoueur.

    Malheureusement pour la Wii, il n'y a pas d'extras qui pourront être téléchargé contrairement à la Ps3 et la Xboîte.

  5. 360, j'en ai aucune idée, mais j'ai un ami qui a celle du PS3. De ce que j'en ai vu, c'est pas mal plus beau ! (mais ça on s'en doutait). Sinon, il y a des personnages à débloquer qui sont différents.

    La Les Paul sur Ps3 est noire. Quoi d'autre ? Ah évidemment, sur Ps3, aucune vibration et aucune fausses notes qui passent par un micro sur la guitare contrairement à celle de la Wii.

     

    Il y a peut-être autre chose, mais c'est ce que j'ai remarqué en vitesse.

  6. En général, très satisfait de mon achat. Le bémol c'est qu'on est davantage dans l'arôme de GH1: c'est terminé les solos de malade et les hammer on qui n'en finissent plus. On tappe des accords.

    Étrangement le mode Hard m'a paru facile; ok, je suis comfortable à Expert à GH2, mais je m'attendais à un peu plus de challenge.

     

    Sinon, avec la Wii c'est très l'fun. La Les Paul vibre lorsqu'on utilise le Star power et on entend les fausses par le micro de la wiimote. Rigolo.

     

    La tracklist est franchement super. Eric Johnson, Santana, Maiden, Metallica, Slayer; j'ai adoré jouer leurs morceaux.

     

    Je vais donc passer à Expert; c'est clair que le mode risque de me résister plus longtemps. Sinon, y a toujours Dragonforce...

  7. Pas du tout désagréable ce p'tit film là. En fait, ça ne tient que par ces deux acteurs vedettes: Arnold n'a aucun mal a jouer les grands naïfs, doit perdre sa virginité (avec Kelly Preston qui cherche a se faire défoncer, j'aurais pas dit non), DeVito s'énerve, cabotine, bref, c'est léger et ça passe bien l'après-midi.

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