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Eat the school girl de Naoyuki Tomomatsu (1997)


Dragonball

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Eat the school girl : Osaka Telephone Club

 

 

 

 

 

 

 

 

Hum, je vous avouerais que je ne pas très bien compris le scénario. Disons qu'on croise dans ce très court film (environ 1 heure), un amateur du téléhpone rose, un travlo sérial killers se fringuant en uniformes d'écolières pour perpétuer ses crimes et ayant un peu de mal à se controler à la fin de ses crimes, une bande de violeurs cinéastes amateurs tarés très porté sur le snuff, etc, etc ......

 

"Les japonais sont tous petit, névrosé et perverts !"

 

Raymond, militant FN depuis 1986, très bon amis d'Edith Cresson et occasionnelemnt amateur de Hentai (mais ne le dite surtout pas à sa femme !).

 

 

Evidement, Raymond a tord !

 

Cependant, autant prevenir tout de suite l'amateur de séries B HK gentiment érotique style "Naked killer", ou même de vilains catégorie III, ici, contrerement à ce qu'on pourrait croire au vu de la jaquette très sympa du film, on est largement un cran au dessus !

Possible qu'il y est un sens à tout ce déferlement d'images choques, mais, ce qu'on ce dit surtout lorsque celui ci se termnie, c'est en gros : "putain que c'est glauqe !"

 

Et je le prouve !

 

Un sérial killer amateur de cosplay !

 

 

Du gores bien hard !

 

 

Et des pratiques sexuels un peu linites !

 

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  • 2 weeks later...

Vu.

 

Tout d'abord, je l'ai vu avec les mêmes sous-titres que Dragonball, et ce qui est certain c'est qu'ils ne correspondent pas aux dialogues. Sont-ce ceux du dvd, je ne saurais le dire, mais même avec les 4 pauvres phrases de japonais que je connais, je peux dire qu'ils sont à l'ouest. Donc, niveau sens, difficile de conclure.

 

Ensuite, certes le métrage est vraiment très agressif, et certains passages n'y vont pas avec le dos de la cuillère niveau violence (sexuelle essentiellement). Mais elle cotoie une espèce de poésie naïve que l'on retrouvera dans Stacy, et de plus malgré un budget qu'on devine limité, le réalisateur se débrouille plutôt pas mal, délivrant à l'occasion quelques beaux plans. il semble d'ailleurs apprécier le giallo et on notera le clin d'oeil appuyé à Profondo Rosso.

 

Pour moi c'est à voir, même si assurémént les âmes sensibles préfèreront l'éviter. Avec de bons sous-titres ce serait mieux.

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  • 6 years later...
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