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Saturday night fever de John Badham (1977)


Dragonball

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Saturday night fever

 

 

 

 

 

En allemand c'est encore plus classe !

 

 

Un groupe de jeune italoamérican attend impatiement, chaque semaine, le Samedi soir, le soir ou les prolétaires de la semaine, deviennent, l'espace de quelques heures, des princes.

 

 

Voilà un film pour lequel la mention "culte" n'est a mon avis pas usurpée, loin de là, tant celui ci semble avoir marqué toute une génération.

 

Mais en y repensant, tout de même ..... Quel monument de vulgarité kitch !!!

 

Dès que l'on quitte la piste de danse rythmée par les sublimes tubes des Bee Gees, mon dieu que c'est parfois too much !

 

Certaines séquences sont tout simplement hallucinantes, (Travolta, fier comme un paon, se préprant méticuleusement devant son miroir ! ), d'autre, supers glauques (La fille n'arretant pas de courir après Travolta, et finissant, par dépit, sur la banquette arrière de sa voiture avec un de ses copains !), tout celà sans compter les blagues débiles qui fusent durant tout le film !

 

Ce n'est que vers la fin du film qu'on ressent un peu d'apaisement, un peu de sérénité. Ouf, le tour de montagne russe est terminé !

 

Ahrgggg, rien que d'en parler, j'ai envie de le revoir !

 

 

 

 

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Ca reste un grand moment même si aujourd'hui le rythme du film apparaît au diapason des BPM de la bande son.

 

Depuis, je me suis beaucoup plus éclaté avec "Boogie Nights", qui comporte notamment aussi des très bonnes scènes en boite disco.

Et puis je me suis bien marré dans "starsky et hutch le film" avec Ben Stiller défoncé à la coco qui se prend pour John Travolta.

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  • 7 years later...

Un film somme toute assez glauque, entre Travolta-super connard, les virées moisies avec les potes loser, la tournante sur la banquette arrière, les dialogues parfois "autres"...

 

- tu prends la pillule ?

- non

- t'as un stérilet, un diaphragme...

- non non

-...merde, bon taille moi une pipe ça ira bien

 

Un monument de classe

 

Et cette fin amère où Travolta prend conscience que tout ça c'est du vent (tout en apradoxalement pensant enfin à autre chose que sa petite gueule).

 

Kitsh sans doute, mais tout sauf un gentil film.

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