Cyril

Ah con, je l'ai vu aux puces l'autre jours mais je l'ai pas pécho vu que je l'avais déjà ! Si je tombe dessus je t'en prends un.

Monsieur u ribellu je vous admire !

Ouaih c'est ça ta gueule !

En tout cas nous on était sincère, pas comme la plupart des reviews que j'ai vu récemment et qui ressemble plus à des règlements de compte qu'a autre chose !

C'est quoi la question au fait ?.

T'aurais préféré qu'il fasse un film ultra référentiel comme on en a vu cinquante récemment ? En fait j'ai l'impression que Laugier vous déçois car il a fait un vrai film de cinéma, et pas juste un best of megamix comme ces copains.

Bin tu vois guillaume, c'est la première fois que je te vois parler de cinéma sans cynisme, on est peut être sur la bonne voie et c'est encore un truc positif à mettre au crédit de Martyrs

Et c'est qui ?

J'ai pas compris cette histoire d'abrutis ? Tu peux expliciter ?

Se reporter à la vidéo cannoise (je sais plus laquelle) pour avoir une idée de notre point de vue sur le film

Oui bizarre de voir dans Martyrs trois segment ? A mon sens il y en a plutôt une myriade que seulement trois.

C'est vrai que c'est pas mal. J'espère que son projet arrivera a terme.

En allemagne y a un rayons dans les Saturn (les fnacs allemandes) avec que des films interdit au moins de 18 ans, donc il est facile de pas perdre de temps et d'aller direct voir ce qu'on peut trouver d'intéressant Donc hier j'ai pécho Le dernier Olaf Ittenbach qui a l'air un peu mieux torché que d'habitude ! Ca a l'air sympa, tourné en HD avec des humains traité comme du bétail par les zombies Un truc fauché tourné en 16 j'ai l'impression avec un peu de gore et des combats con Un film newzelandais vendu sur la jaquette (en allemand mais on comprends) comme étant un croisement entre MadMax, BrainDead et Jackass Ça a l'air pas mal con, c'est récent car on y fait allusion à Black Sheep et je t'en ai pris un dumé ! Kero j'ai pas trouvé le Giganten des Vorzeit et Roboter der Sterne Sinon un truc qui a l'air de cartonner ici c'est ca On le voit partout et y a une tonne de pub et de goodies dont cette peluche qu'on trouve en version géante de partout

Ah bah j'ai déjà tout séparément, donc tant pis

Mon portefeuille comme mon compte en banque sont toujours désespérément vide Faut pas croire que j'ai une machine à billet chez moi hein, tout ce que je dépense en connerie je le fout pas ailleurs (voiture, achat d'un appart, des gamins à nourrir, etc ...)

Au contraire, le fait de le revoir m'a montré la facette réalisateur du père Jackson qui m'avait pas forcement sauté à la gueule quand j'étais ado. Y a une dynamique de dingue dans le film, pour le coup c'est un vrai cartoon vivant et certain idées pour passer des acteurs au maquillage me laisse toujours sans voix (des raccords invisible, usant de stratagème optique bien avant l'aide du numérique) Et j'adore la musique

Ahhh mais Phénoména c'est dans mon Top 3 aussi

Oui mais Suspiria en Anglais ou en Italien ? Parce que la vo ... ARGH

Je vais faire dans la redites mais c'est effectivement (de ce que j'ai vu) mon Argento préféré. Et une de mes beo des Goblins fétiche !

Ouah il est remonté et je le comprends !

Très bonne critique sur devildead http://www.devildead.com/indexfilm.php3?FilmID=1763 En attendant la mienne sur le compte rendu du Nifff, qui sera extrêmement positive voir plus, j'ai trouvé le film vraiment bon et j'ai même versé ma larmichette, après en avoir entendu que du mal il est temps de vanter les multiples qualités de ce film.

C'est toi classe cinoche !

Y a des cours de ciné au collège ?

Télérama L'accumulation de scènes de torture frise l'écoeurement. Sans la révélation finale (...) Martyrs n'est qu'une banale histoire de vengeance et de séquestration comme on en a vu d'autres.

Petit florilege de critiques ou l'amateur de genre passe pour un idiot Le Figaroscope Un style certes, mais qui n'évite pas la complaisance façon "gore". 20 Minutes Un scénario naïf et des seconds rôles outrés. Reste la surenchère de gore qui devrait réjouir les amateurs du genre. Les Inrockuptibles Parvenant à cumuler dans une première heure toutes les plaies habituelles de ce cinéma-là, le film se trouve une raison d'être lors du long huis clos final. Le Parisien (...) pour qui aime voir des femmes méthodiquement torturées, enchaînées au fond d'une cave, battues encore et encore, et même (...) dépecées vivantes (...) c'est du Mozart. Bon j'avoue celle du Parisien m'a fait rire