F-des-Bois

Un pote avait eu une idée géniale pour une éventuelle suite : les mêmes événements que le premier film mais filmés du point de vue du monstre (qui aurait donc eu son propre caméscope pendant qu'il foutait le souk).

 

J'en conclus donc que le film à venir empruntera une autre voie..

Et il a repris son traitement depuis ?

Paul Reiser qui est on fire dans le film, le mec a jamais vraiment eu de carrière cinéma mais il s'est fait plaisir là...

Et tout ça sur un film de Jan de Bont, c'est pas beau ?

Je fais plutôt parmi de ceux que le film a emballé. Tout est fait, filmé, produit, pour l'immersion. Et a ce niveau là c'est vrai que ça passe ou ça casse et je comprends ceux que The Revenant a laissé au bord de la route. Personnellement j'étais complètement dedans, J'ETAIS le personnage c'est à dire que j'avais l'impression d'être dans la boue, le froid, de me faire attaquer par un ours etc etc.

En revanche l'Oscar pour Di Caprio est quand même une blague, le mec a démontré 50 fois des nuances de jeu géniales dans d'autres films, qu'on le récompense ici démontre que cette remise des prix est grotesque et à coté de la plaque.

Un beau blond m'a fait remarqué sur Facebook que je revoyais un peu trop ce Hantise.

Alors que je porte un culte au film de Wise et qu'en temps normal ce remake devrait m'énerver.

Et j'ai trouvé la raison pour laquelle je me retape le De Bont tous les 2 ans.

La caractérisation des personnages, les situations, etc, tout concorde !!!!!

Sauf Scoobydoo qui est absent et c'est bien dommage.

Perso je pensais pas aimer autant mais depuis que j'ai mon chien, je me désintègre dès que je vois un animal souffrir dans un film donc j'ai carrement marché. Au-delà du gigantesque inintéret de cette première phrase, on peut dire que j'ai beaucoup aimé aussi parce qu' y a des putains de fulgurances un peu partout, que la mise en scène de Spielberg touche à l'état de grâce, tu sens l'inaltérable envie de raconter des histoires encore chez lui là ou elle a abandonné tellement de cinéastes de sa génération. Et pis vlà le plan final quoi...

Mais c'est quoi le problème de Don Mancini, il croit qu'on a envie de voir un produit super léché avec des cadres à la Michael Mann du pauvre ? ça fait 2 films maintenant et on se fait royalement chier !

Ronny Yu avait tout compris. C'est Chucky merde, pas Annabelle.

On veut du grotesque, du kung fu, que Chucky soit vulgaire, mal elevé, on veut qu'il se batte contre Les Choristes, contre Ru Paul, contre Tony Danza, on veut qu'il fiste La Reine d'Angleterre, qu'il prenne Kevin Spacey en levrette. Bref, on veut du gros n'importe quoi qui tache.

Faudrait que John Waters en réalise un, merde quoi.

Cyril,

C'est quoi le morceau qui accompagne la bande-annonce du PIFFF 2017 ?

Je vous trouve hyyyyyyyyper indulgents, pour moi ça vaut bien son incursion dans le blockbuster fantastique avec son gogol Sphère (qui a cela dit pour lui une superbe musique de Goldenthal et comme il se fait rare...) et pourtant je suis assez indulgent avec tout ce qui est found footage.

2/10

Faudrait que je revois Le Secret de la Pyramide par contre....

Bah j'imagine bien que quand il fait Justice League et Dongeons et Dragons, c'est pour la thune mais je le vois mal lire les scénarios et passer un casting pour ces 2 films parce que ça l'aurait foudroyé de génie !

J'arrive jamais à le voir jusqu'à la fin celui-là, et pourtant j'aime des trucs mais sur 1h50 y a quelque chose qui tient du supplice. Comme relevé plus haut, Bellucci c'est non, d'ailleurs Lena Headey à sa place aurait été beaucoup plus judicieux, c'est cool de revoir la bonne bouille de Ledger et Matt Damon semble bien s'éclater.

La carrière américaine de Peter Stormare, y aurait un documentaire à faire sur le sujet je pense.

La performance d'Irons est superbe et vraiment subtil. Quand tu vois à quoi en est réduit le gars dans Justice League, faut avoir honte de rien pour sous employer à ce point ce grand acteur.

Sinon y a une scène qui me fait vraiment retomber en enfance, et alors que je me fous de Noel maintenant, me décoche quand même des relents nostalgiques, c'est l'intro de la Belle et le Clochard.

Pour l'avoir vu aux Césars, je vois pas trop ce qu'il pourrait jouer...qu'on le laisse tranquille non ?

 

Philippe Miller est un escroc solitaire qui vit sur les routes.

Un jour, il découvre par hasard un chantier d'autoroute abandonné, arrêté depuis des années par des écologistes qui voulaient sauver une colonie de scarabées.

L'arrêt des travaux avait été une catastrophe économique pour les habitants de cette région.

Philippe y voit la chance de réaliser sa plus belle escroquerie. Mais son mensonge va lui échapper.

 

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Bon ben pour ma part je dirais que j'ai esquivé malgré moi la claque la faute à quelques minutes de trop, surtout au début du métrage (apparemment Xavier Giannoli a déjà coupé 20 minutes sur le montage final) mais à part ça, c'est grandiose. Tout sonne juste là dedans, dans une histoire pourtant absolument énorme et disons...extrapolée d'une histoire qui s'est réellement produite. En tout cas François Cluzet s'est fait mal pour donner une perf de haut vol, Emmanuelle Devos permet quand même au cahier des charges cinéma français en montrant un sein, et Depardiouw est de plus en plus gros et répugnant, ce qui va très bien à son personnage. Soko aussi m'a agréablement surpris, je la trouve plus convaincante que sur scène!

 

Mais cette histoire hallucinante et son personnage central est prenante de bout en bout, et les comparaisons à Scorsese ou Mann (peut être plus pour les longueurs ) me paraissent justifiés. 'tain ça fait plaisir de voir qu'on arrive encore à faire des bons film autre que des drames sentimentaux ou de la intellodegaucheploitation en France! Pourvu que ça dure!

Rien à ajouter, c'est vraiment une belle réussite. Il faut le découvrir ou redécouvrir.

L'arme fatale non ?

J'étais pas convaincu jusque là par le cas Flanagan, après Oculus et Ouija 2 et puis j'ai enchainé Hush et Geralds'Game et j'ai changé un peu mon fusil d'épaule , dans le sens où on peut quand même le considérer comme un chouette artisan du fantastique, ce qui n'est déjà pas mal de nos jours.

Après ça n'a pas l'ampleur de Dolores Claiborne qui est un très beau drame fantastique avec des acteurs au dessus du lot mais Carla Gugino s'en sort vraiment très bien, c'est une actrice qui n'a sans doute pas la reconnaissance méritée.

Rencontrer enfin F-des-Bois a été l'experience la plus intense de la semaine

Reviens quand tu veux en tout cas

ah ah abuse pas !!

Je réserves d'ores et déjà, pour l'année prochaine, mon airbnb avec toilettes sur le palier et karaoké asiat à 3h du mat dans la chambre d'à coté.

si j'avais pas été malade comme un iench...

 

....J'ai eu le double plaisir, d'une de taper la bise à Cyril

 

Bien joué !

Il était déjà malade

Pour la fin alternative...

Revu à l'occasion du PIFFFF, qui est un magnifique festival avec une présentation géniale du film ou Cyril intervertit les noms et prénoms des réalisateurs et laisse Fausto Fasulo perplexe 3 secondes avant d'enchainer.

Bon déjà un petit mot sur le PIFFF, c'était une première pour moi et si j'avais pas été malade comme un iench j'aurais pu voire plus de films je pense mais bon, ce ne qu'est partie remise. J'ai eu le double plaisir, d'une de taper la bise à Cyril et comme j'étais un peu ému de notre rencontre je lui ai parlé du Cobaye de Brett Leonard et il s'est pas démonté, il m'a dit "oui c'est pas mal mais le 2 est une merde.". Pas déstabilisé pour un sou.

Puis le plaisir aussi de partager la projo avec le légendaire DPG alias Damien, qui a baillé à peu près 18 fois avant de lancer avec aplomb "si si c'est pas mal".

Après le film reste ce qu'il est, c'est à dire un tout petit film d'horreur, (avec ses réels bons moments d'inspiration et ses débordements très graphique) élément d'ailleurs confirmé par le duo de réalisateurs puisqu'on a appris que le budget était seulement de 2 millions de dollars, ce qui est très peu on en conviendra. Les applaudissements étaient donc pas fous à la fin de la projo mais ça n'a pas entaché la bonne humeur des 2 cinéastes qui étaient visiblement vraiment contents d'être là, avec en bonus une fin alternative jusqu'au boutiste et macabre qu'on leur a malheureusement sucré...

Ps : Et rien à voir mais super content pour mon pote Arthur Molard qui repart primé pour son court "Scaramouche Scaramouche" et ce n'est que justice !

Rien pigé en gros.

Sur la fin y a un petit passage "Last Action Hero" pas désagréable, Idris Elba découvre le coca-cola...et il demande s'il peut en avoir un 2ème. Là tu te dis on tient un truc...si ça se trouve on va y revenir sur la fin à cette histoire de Soda. Du coup ça te fait tenir jusqu'au bout parce que bon, ça va être la grosse poilade si on y revient à cette histoire de Coca mais malheureusement ça n'arrivera pas.

En lieu et place, une confrontation finale dantesque entre Mcconaughey et Elba, à faire pâlir la baston finale du Pacte du Sang de Renny Harlin.

Dommage pour Elba car il en impose toujours bien.

genre 2/10

Impossible de trouver ça satisfaisant si on aime les 2 premiers. C'est vraiment cheap, parfois la mise en scène de Salva sauve la mise, parfois ça fait pitié. Il y a 2-3 idées quand même bien fun, Le Creeper a des gadgets à faire pâlir James Bond et c'est malheureusement la seule vraie plue value de cette fin de trilogie. ça m'étonnerait que Salva puisse donner une suite à cet épisode vu le destin du film aux USA et franchement vu le résultat, je pense que ça ne fera pleurer personne.

3,5/10