Supernaut

Ce qui m'a bien fait rire, c'est que un des critiques de l'émission qualifie Amer de film intello, alors qu'eux-mêmes sont ultra élitistes dans leur façon de parler des films...

Le programme : 21:00 LES REVOLTES DE L AN 2000 (VOST) 23:00 REC (VOST) 01:00 REC 2 (VOST) 03:00 FATA MORGANA (VOST)

Vu hier soir en salle ce film passionnant qui a obtenu le césar du meilleur film documentaire il y a quelques jours. Une salle remplie à l'annonce de la venue de Serge Bromberg qui a présenté le film et a répondu aux questions de l'assistance après la projection. Le documentaire en lui même est extrêmement bien construit. On pénètre dans l'Enfer, le film de Clouzot, mais également dans l'enfer du tournage dû à la personnalité du metteur en scène et ses relations complexes et difficiles avec l'équipe du film. Les rushs, retrouvés et restaurés par Bromberg, montrent les quelques scènes tournées en extérieur et les expérimentations visuelles de l'auteur. Mais la vraie force du documentaire réside dans les interventions des protagonistes de l'histoire qui se souviennent - souvent avec beaucoup de détails - de leur expérience sur ce film. La partition composée spécialement pour le documentaire est absolument sublime et accompagne parfaitement les images. Une vraie réussite à tous points de vue. Un bon 8/10.

Superbe programmation !

Le film se fait détruire par Jean-Pierre Bouyxou dans le Siné Hebdo de cette semaine. Ouch !

Très très bonne nouvelle pour La Brune et Moi. J'ai projeté ce film en 2006 à Annecy et à l'époque j'avais reçu pas mal d'emails de gens qui me demandaient si le film était dispo en DVD. Quels seront les bonus ?

Ce film est excellent. Il est vrai que la VF est exécrable, mais il y a des idées de scénario et de mise en scène plutôt cool. Un film bien fun.

Vu hier soir en salle et je suis plutôt mitigé. Le film est réussi en tant que remake, les effets spéciaux de Rick Baker sont au top et il y a suffisament de scènes gore pour satisfaire l'amateur du genre, mais les acteurs délivrent des performances très moyennes dans l'ensemble. L'éclairage est tellement sombre qu'on ne peut que difficilement profiter des décors du film dont l'action se situe dans l'Angleterre Victorienne. La partition de Danny Elfman est carrément pompée sur celle de Kilar pour le Dracula de Coppola (jugez par vous-même ici : http://www.youtube.com/watch?v=DWhp8GGMwog); et certaines scènes font trop référence à des classiques du cinéma d'horreur (Dracula, Le Loup Garou de Londres, Alien, Elephant Man). Heureusement, quelques scènes sont bien trouvées. Il y a tout un passage dans lequel Benicio Del Toro se retrouve à l'asile et que j'ai trouvé excellent. Un film en demie teinte donc.

Ca peut surement intéresser certains d'entre vous... Une nuit fantastique est programmée dans le cadre de la 14ème Biennale du Cinéma Espagnol d'Annecy (http://www.annecinespagnol.fr/). La soirée aura lieu le vendredi 12 mars 2010 de 21h à 6h du matin (!) au cinéma La Turbine de Cran Gevrier (à 5 minutes d'Annecy). Je crois que le petit déjeuner est offert. Voici le communiqué de presse : La Nuit fantastique « Spanish Terror 4 » est l’occasion de découvrir ou de revoir des perles du cinéma fantastique espagnol, une nuit de projections non-stop pour ceux qui adorent les phénomènes surnaturels d’hier et d’aujourd’hui, avec les entractes conviviaux de pots et petit-déjeuner. Venez déguisés : les deux meilleurs monstres gagneront un pass pour la nuit ! La programmation Les révoltés de l’an 2000 de Narciso Ibáñez Serrador (1976) [REC] de Jaume Balaguero et Paco Plaza (2008) [REC 2] de Jaume Balaguero et Paco Plaza (2009) Fata Morgana de Vicente Aranda (1965) Le « terreur psychologique » de [REC] [REC] a renouvelé le genre avec cette oeuvre terrifiante de « terreur psychologique ». Ce film a été récompensé quatre fois au Festival international du film de Catalogne-Sitges (2007), trois fois au Fantastic'Arts (2008) et trois fois au Festival FanTasia (2008). Le film a fait l'objet d'un remake américain, En quarantaine, sorti en octobre 2008. Il reprend plan par plan [REC] avec des acteurs américains. En Espagne, [REC] a attiré près de 1,5 million de spectateurs, audience exceptionnelle pour un film d'horreur à petit budget. Une suite, [REC 2] est sortie en 2009. L'histoire se déroule quelques minutes après la fin du premier film. Jaume Balagueró et Paco Plaza envisagent la possibilité de réaliser [REC 3]. Note des réalisateurs « Nous avons voulu construire le cauchemar le plus crédible possible, une expérience terrifiante qui pourrait garder le public le plus captif possible. On a donc décidé de raconter cette histoire comme un reportage télévisé en direct, de tourner en “live” avec l’horreur qui survient en temps réel, sans possibilité de stopper le récit ». Les révoltés de l’an 2000, un classique toujours actuel (Quién puede matar a un niño ?) Un classique cultissime dont l’influence s’étend à tous les jeunes réalisateurs de fantastique espagnol en passant par les aînés : Guillermo Del Toro et Alex de la Iglesia. Le film a obtenu le prix de la critique au Festival international du film fantastique d'Avoriaz en 1977. Les révoltés de l’an 2000 rend en partie hommage à Hitchcock, un film d’horreur très impressionnant sur des enfants dégénérés qui s’attaquent aux adultes sans raison apparente. Né le 4 juillet 1935 à Montevideo, Narciso Ibáñez Serrador (aussi connu comme Chicho Ibañez Serrador) est réalisateur de cinéma et de télévision, metteur-en-scène de théâtre, acteur et scénariste uruguayen établi en Espagne. Tout au long de sa vie, Serrador a brillé par sa contribution au cinéma fantastique et de terreur en langue espagnole, ainsi que par les nombreux programmes qu'il a dirigés pour la Télévision Espagnole, comme "les Histoires pour ne pas dormir", "l’Histoire de la frivolité" et "Un, deux, trois ... répondez de nouveau". Fata Morgana, entre Nouvelle Vague et science fiction Le film raconte l’histoire d’une ville qui se vide de ses habitants. Tandis qu'une menace plane sur la ville désertée, Gim, un mannequin à succès, se retrouve seule et sans défense, victime idéale… Ce film de science-fiction minimaliste, qui n’est pas sans rappelé Alphaville, montré à Cannes en 1966, demeure un des films mythiques de l'Ecole de Barcelone, le courant cinématographique né à Barcelone dans les années soixante, largement influencé par la Nouvelle Vague. Pleine de rébellion, l’Ecole de Barcelone cherchait à faire bouger l’industrie cinématographique et le franquisme en innovant formellement comme le faisait le free cinéma. Vicente Aranda quittera le groupe par la suite et deviendra un réalisateur reconnu du cinéma espagnol contemporain. Plusieurs de ses films ont été distribués en France dont le classique Amantes.

Première réalisation de John August, plus connu en tant que scénariste de Titan A.E., Big Fish ou Corpse Bride, The Nines fait parti de ces films injustement inédit en France. Il faut dire que même son pays d'origine ne lui a pas offert la chance qu'il mérite, la faute à une distribution quasi inexistante (8 copies) et une promo guère plus soutenue, ne permettant pas au film de dépasser les 63,165 dollars de recettes... John August en parle mieux lui même : "In the wake of The Nines, I’ve written several times about how getting a movie made is substantially easier than getting a movie seen." Lire ses articles ici et là. Film fantastique en trois parties, The Nines raconte l'histoire d'un homme et des univers parallèles qui l'entourent. Ryan Reynolds incarne à la perfection trois personnages différents, trois destins entremêlés et qui sont réunis à la toute fin du film. c5mFAc1OTVM Une oeuvre étrange qui joue sur plusieurs tableaux : drame, fantastique, satire. Pas toujours juste, mais suffisament intéressante pour capter jusqu'à son dénouement. Du bon boulot. A noter qu'il n'existe même pas de DVD français. Il faut donc se rabattre sur l'édition US qui comporte des sous-titres français.

Vu cette grosse daube hier soir. Le 3 n'a plus rien à voir avec les deux autres. Il ferait même passer le 2 pour un chef d'oeuvre, c'est vous dire. A éviter.

C'est très intéressant et hyper complet, mais en même temps assez difficile à lire. Le dos du livre indique que "cette biographie reste, aujourd'hui encore, la référence incontournable sur ce héros quasi légendaire" et on comprend très vite pourquoi en lisant que l'auteur est "professeur d'histoire à l'Université Harvard, où il enseigne l'histoire de l'Amérique latine. Il est spécialiste de l'histoire sociale et économique du Mexique, de 1880 à 1950". Ce n'est donc pas vraiment un livre de vulgarisation, mais je trouve que ça vaut le coup au final. Enfin là je n'en suis encore qu'au début (il fait 500 pages), mais dès les premières pages l'auteur montre qu'il maitrise son sujet à la perfection. Dans un genre assez différent, mais sur la même période historique, je conseille ces deux livres très bien écrits (et qui sont des romans, donc plus accessibles que le bouquin sur Zapata) :

J'aime bien les "films de manoir", il permettent souvent de découvrir de très beaux décors comme ceux de The Haunting, The Legend of Hell House ou The Innocents. Tu devrais aimer ceci Lieu : Manoir Bates Fabriquant : Polar Lights Echelle : 1/87 Date de sortie : 1er trimestre 2010 Prix : 29.95$

J'ai trouvé le film tout à fait correct et assez plaisant. Le scénario n'est pas ultra original, parce que inspiré d'un milliard de trucs déjà faits, mais dans le genre ça fonctionne du début à la fin. Les acteurs jouent bien, ça nous change des tronches de cake qui peuplent les films de SF. Et la fin est très réussie. Bonne surprise donc. La question est : aura-t-on droit à une suite sachant que le film s'est planté ? http://boxofficemojo.com/movies/?id=pandorum.htm

Un groupe pour qui j'ai sorti un disque en octobre dernier : les Movie Star Junkies de Turin. HOY49v2bdCs

Je viens de commencer

Hot Snakes (ex-Rocket From The Crypt / Drive Like Jehu) : uY4NVp5Hbf0 Et donc Rocket From The Crypt, c'est ça : Kpm_g14Jcds

Tiens je l'ai vu l'autre jour celui là. C'est pas mal, le film se laisse regarder. Il y a quelques bonnes idées, les acteurs jouent bien. Pas extraordinaire, mais tout à fait honnête. Un bon petit film indé.

Surtout que Paper Tiger c'est pompé sur du Gainsbourg.

Ca me rappelle mon adolescence... [deezer]3350231[/deezer]

Pour rester dans le Motorhead, il y a ce bouquin collectif qui est sorti chez Dargaud : Avec du lourd, de l'énorme, que dis-je, du balèze : Appollo, Blanquet, Bourguignon, Bouzard, Bozonnet, Brüno, Mimo Capieri, Laurence Croix, Ferrand Tanguy, Frankyravi, Jerry Frissen, Serge Huo-Chao-Si, Olivier Josso, Mattt Konture, La Crainte , Sébastien Lumineau, Menu, Hugues Micol, Morgan Navarro, Oiry, Anouk Ricard, Ruppert et Mulot, Riad Sattouf, Tanquerelle, Olivier Texier, Tofépi, Witko.

Vu ce film très très très décevant hier soir. L'idée de base n'est pas inintéressante, mais elle est complètement sous-exploitée. On rit peu et si Peolvoorde sauve les meubles, on a tout de même la méchante impression qu'il s'ennuie. La BO est insupportable. Non rien à voir, mais Poelvoorde serait pas mal en Plageman.

J'en suis à la fin C'est pas mal. J'ai eu envie de le lire après avoir vu ça : ZY2Yt1ATm4c

Non heureusement. Enfin je n'ai pas trouvé le film prétentieux. Juste un peu trop contemplatif.