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riton

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Messages posté(e)s par riton

  1. le 13 février 1980 interdit aux moins de dix-huit ans, avait été présenté amputé de dix-sept minutes jugées trop gore par la censure française de l’époque

     

    Dix-sept minutes ça m'étonnerait fort. D'ailleurs la version cut avait été diffusée en vf par Canal y'a quelques année, et l'écart était inférieur à 5 min il me semble.

     

    Pour le reste, c'est trop casse-couille pour le lire jusqu'au bout.

  2. Ben j'aurais bien dit qu'en haut le rouge était un peu plus rouge mais bon ...

     

    Edit : en fait j'ai rien dit, c'est que sur mon LCD l'image est une peu plus claire en bas !

     

    Non, non, t'as bien raison. Les couleurs de la capture du master sont un poil plus claquantes que celles du DVD.

  3. Koh-lanta ou Quand la TF1 entame les électorales pour l’UMP, c’est pour de vrai, demain en prime time.

     

    En meme temps, c'est pas nouveau. Toute cette "real-TV" est un parfait véhicule pour les pires stéréotypes, et ceux inhérents à la droite libérale tirent plutot bien leur épingle du jeu dans ce genre d'environnement.

  4. Alias Noblesse Oblige en froggie.

     

    Une comédie satirique narrant l'histoire d'un jeune membre d'une grande famille aristo mis au banc de celle-ci pour cause de batardise (son père était roturier) et bien décidé à reprendre son rang à coups d'assassinats.

     

    Le film est très bien, très drole et m'a meme fait découvrir Dennis Price jeune, alors que je le connaissais que vieux chez Franco.

     

    Une des particularités du film, est que tous les membres de cette famille sont joués par le meme Alec Guiness, exception faite bien sûr du héros.

     

    Le chef op du film Douglas Slocombe apparait dans les bonus du dvd Studio Canal, et je retranscris son propos :

     

    "Alec Guiness avait un role. Il fallait trouver 5 acteurs qui ressemblaient autant que possible à Alec Guiness. C'était très difficile. On a demandé au maquilleur, Harry Frampton, si on pouvait faire se ressembler des acteurs grâce au maquillage. C'était possible jusqu'à un certain point. Alec Guiness était présent au moment de cette discussion. Avec un pétillement dans les yeux, il a dit : "Je peux tous les jouer. La ressemblance sera parfaite."

     

    A un moment dans le film, on devait filmer une scène montrant les 6 personnages ensemble. Normalement au montage, on aurait superposé les différentes prises. Mais le résultat avait toujours beaucoup de grain, ou était gris. Je n'avais pas envie de gacher la photographie de cette façon.

    J'ai choisi d'utiliser une technique des films muets : faire tout le travail avec la caméra. On filmait la scène séparément. On rembobinait ensuite la pellicule entre chaque prise. On a donc installé un immense écran de verre devant la caméra avec des rectangles de papier noir couvrant les parties importantes de l'écran.

     

    Il a fallu au moins deux jours pour filmer toute la scène. Il fallait 3 heures pour préparer chaque pesonnage d'Alec Guiness. S'il ratait une réplique, s'il bougeait un peu trop, ou si la caméra bougeait au rembobinage, il fallait tout recommencer."

     

    Voici le cache tel qu'il est montré dans les bonus :

     

     

    et une capture de la scène en question :

     

     

     

    Amis des CGI, bonne nuit !

  5. Parce que le festival est quand même gratos, ce qui est sympa...

     

    En fait, jusqu'à présent, il était payant, mais vu son "succès", je pense qu'ils ont tenté un repositionnement. Pour les non lyonnais, (personne n'est parfait hein ), Les Subsistances est un lieu orienté art contemporain / résidence d'artistes, et on sent la volonté d'attirer un public branchouille / in . Ca serait par ailleurs pousser le bouchon bien loin de faire payer les entrèes dans ce lieu.

    Ce festival sent bien fort l'opportunisme à donf. Mais je serais bien sûr très heureux de me tromper.

  6. A force, ils vont finir le nez dans le gravier. Pour les éditions simples, à moins qu'il en aient tiré vraiment peu, ce dont je doute, ça risque de finir ultra soldé un jour ou l'autre. 13 euros, c'est trop cher pour faire de bonnes ventes auprès du client de supermarché, et peu d'amateurs hardcore se contenteront d'une vf.

  7. et je ne parle même pas de IZO que j'ai vu le lendemain et qui est une catastrophe d'emmerdement! Miike cuvée 2004 = mauvais cru.

     

    C'est marrant, en lisant ta chronique de Zebraman, et concernant la longueur je me disais en mon for "heureusement qu'il a pas vu IZO".

    Ma copine a eu aussi beaucoup de mal avec IZO, le trouvant interminable. Allan a craqué aussi.

    Pour moi, le gros défaut d'Izo est son incohérence esthétique. Sinon, j'ai trouvé ça lent et long, mais pas du tout ennuyeux. Et certaines scènes sont magnifiques quand même... mais ceux qui ont du mal risquent de ne pas y arriver

  8. Beaucoup aimé, pas comme un grand film d'auteur, mais comme du cinoche populaire en roue libre.

     

    mais malheureusement, Miike semble ne jamais savoir à quel moment crier "Cut!"

     

    c'est à mon avis un des traits propres à Miike que de ne pas savoir où s'arrêter, pour le pire comme pour le meilleur. C'est aussi ce qui fait que film ne risque absolument pas d'etre confondu avec un produit hollywoodien.

     

    Quant aux effets spéciaux finaux, mon vrai regret est que cette scène n'ait pas été traitée l'ancienne. En revanche, le heavy métal dans la BO, beurk.

  9. aussi du mal avec le 1.33 comme format pr un film de cette époque (surtout vu les paysages d'Aguirre !)...

     

     

    Vu le film y'a trop longtemps pour en parler de façon détaillée (en fait il me reste plus des impressions qu'autre chose), mais le choix d'un format serré me parait très cohérent. Le film est loin d'etre une ode aux grands espaces, et le champ visuel étroit ajoute à l'impression de claustophobie, et d'oppression dont tu parles.

     

    Quant à la relation entre format et époque de tournage, je la trouve moyennement pertinente. Le format devrait plutot découler des gouts, capacités ou désirs du réal que d'autre chose.

  10. Très sympa pour les fans de Lina, mais effectivement c'est pas du Franco. Le film est très répétitif (c'est ce qui fait d'ailleurs son charme naïf), et meme si les décors sont fort amusants, Dietrich n'a ni l'inventivité ni le gout du risque dont est capable Franco.

    A voir absolument quand même.

  11. [quote="Allan Theo"] Bin si, quand tu te trouve sur une piste cyclable y a pas de pb.[/quote] J'ai jamais utilisé de vraies pistes cyclables, de mon temps y'avait pas tout ça. Bon, sinon je me suis penché sur la BO de Candyman, et je suis pas vraiment convaicu. En revanche, j'écoute bien ça : [img]http://cover6.cduniverse.com/MuzeAudioArt/120/126249.jpg[/img] [img]http://cover6.cduniverse.com/MuzeAudioArt/110/117637.jpg[/img]
  12. mais je sors d'une salade

    Alors, ils sont sympas les pucerons ?

     

    Pour les coup du "je filme à travers", c'est vrai que c'est inégalement réussi. Y'a un passage rigolo quand Keoma se frite avec ses trois demi frères successivement. Un moment, il y un travelling latéral qui suit les deux protagonistes derrière une barricade. C'est un peu appuyé, mais quand y'en a un qui passe à travers, je me suis dit : Ok, voila où il voulait en venir, il a préparé son effet. Et là, ça enchaine pas, il coupe tout de suite

     

    En ce qui concerne les ralentis, je suis d'accord pour les considérer comme assez calamiteux. Visiblement, il ne sait pas bien se servir de cet effet et n'en tire pas les bénéfices en termes de dynamique et de dramatisation de l'action.

     

    Ceci dit, je trouve le film quand même sympa.

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