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Ekynox

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Tout ce qui a été posté par Ekynox

  1. Jadis on en a beaucoup parlé sans l'avoir vu, un dvd arriva enfin, les reviews tombèrent et j'ai pu constater ici et là que plusieurs ont été déçu. Grosso modo, j'ai bien aimé. Il est vrai qu'il n'y a pas beaucoup de moyens, mais jamais je l'ai trouvé "cheap". Au contraire, les effets sont bien bricolés, y a de très belles images (lorsque le lit digère objets et cadavres) et le plus important en ce qui me concerne, l'absence de tout repère temporel ou géographique. Tout le long du film, on est dans un rêve éveillé. Bon, y a des défauts, la dernière demi-heure se fait sentir puisque ça répète pas mal ce qu'on a vu avant et le métrage aurait sans doute été un peu moins lourd sans la voix-off qui devient vite saoulante. Mais globalement, j'ai aimé et c'est avec plaisir que je vais me le faire une seconde fois un de ces jours.
  2. Ce que j'avais écrit sur DD, question de comparer Aurore (2005) et celui-ci. __________________________ Ça y est. Sans doute qu'il était perdu dans une botte de foin de l'oncle Gustave, voila qu'il arrive enfin en DVD: (Désolé pour la photo, c'est ce que j'ai trouvé de mieux ) Si vous vous intéressez un tant soit peu au cinéma québécois, bouder Aurore serait bouder un moment marquant qui s'est inséré dans notre culture. Et oui. Basé sur une histoire vraie, le film raconte les atrocités que subira Aurore (Yvonne Laflamme) causées par sa méchante marâtre (Lucie Mitchell). Aurore tentera de la dénoncer, mais son entourage est trop con pour s'aperçevoir de la tragédie. Même le père Anatole. La marâtre fera bouffer du savon à Aurore, la poussera dans les ronces, la brûlera avec un fer à friser et les ronds d'un four... et j'en passe. Ajoutez donc à tout ça une mise en scène pitoyable, des faux raccords à la pelle, un jeu d'acteur foireux (mais hilarant, il faut voir Lucie Mitchell se complaire dans sa cruauté), des situations tout simplement délirantes (les scènes de tortures bien entendu) et surtout une musique d'ORGUE venant appuyer lourdement les moments dramatiques... interprété par la vieille Germaine Janelle Évidemment, si vous avez en horreur l'accent québécois ( ) peut-être allez vous devoir passer votre chemin, car dans les années 50, c'était encore plus bûcheron et campagnard que maintenant. Mais que l'on veuille ou non (en plus d'être sans aucun doute le premier nanar québécois) "La Petite Aurore l'enfant martyre" est un film important du patrimoine culturel qui semble avoir marqué plus d'une génération en plus de l'avoir représenté (dont le père "looser", la victimisation et l'expression "né pour un p'tit pain" qui revient sans cesse dans notre cinéma, même de nos jours). Ajoutons, que Lucie Mitchell (la marrâtre) a éprouvé toutes les misères du monde à se trouver d'autres rôles, tellement que la population l'a détesté (en tant que personnage et non pour sa performance ) à la suite de ce film. Elle se faisait même cracher dessus dans la rue ! Point culminant du film...le poële!!
  3. Ça faisait drôlement longtemps que je n'avais vu un film aussi déprimant...J'en sors et j'ai pris un bon coup de cafard. Alors voila, je rappelle pour ceux qui n'ont pas suivi; Aurore, c'est l'histoire d'une petite fille qui fut maltraité à mort à la fois par sa marâtre, mais aussi par son père. Un drame véridique qui fut porté à l'écran en 1951 et dont on peut voir la nouvelle version aujourd'hui. À vrai dire, c’est assez étrange l’intérêt pour cette histoire dont on connaît tous la fin… Cette version ci s'attarde non pas à la relation marâtre-Aurore, mais plutôt aux raisons de ce drame et qui en sont les acteurs. Bien assez tôt on saisi qu'on aura affaire à un film tire-larmes. Plusieurs éléments viennent renforcer l'effet; musique violon-piano (qui est très jolie tout de même) omniprésente et « visible », une photo très sombre, souvent glacée, des fondus au noirs à pratiquement chaque fin de scènes (y a de l'abus). Les personnages présentés sont pratiquement tous des salauds, certains atteints d’une pathologie (la marâtre), des martyrs, des malades, des simples d'esprits, des intellectuels arrogants, merde y a personne à qui on peut s'identifier (et ça n'aurait pas été une mauvaise chose si le but aurait été autre que de sombrer dans le pathos). Ajoutons un récit se déroulant l'automne et l'hiver, beaucoup de pleurs, de remords, de cris... C’est bien simple, il n’y a aucune lueur de bonté ou d'espoir dans ce film. À force de se faire présenter des images aussi dures, y a les larmes qui s'échappent inévitablement. C'est lorsqu'on arrive au deuxième acte qui se concentre davantage sur la relation entre Aurore et la marâtre que ça devient encore plus dur...Et c'est aussi la partie la plus réussie. Les sévices infligés ne sont pas montrés à l'écran. La caméra va plutôt s'attarder sur des visages qui assistent, impuissants à la scène. Et là je peux vous dire que c'est diablement efficace. Ces "reactions shot" mêlées avec les cris d'une enfant, ça vous brasse drôlement en dedans. Par la suite, on voit le résultat des sévices. On nous présente seulement les choses, on ne nous montre presque jamais le point de vue d’un personnage. Et nous on regarde…C'est vraiment dérangeant. Malgré tout, il y a bons nombres de lacunes dans le traitement du récit. Trop personnages inutiles et peu développés, on insiste trop sur le thème de la loi du silence, alors qu'en jouant cette carte, le drame et la relation entre la marâtre et Aurore s'en retrouve un peu noyé. À cet effet, les scènes qui se déroulent à l’extérieur de ce drame ne ralentissent que le rythme et sont vites répétitives (les villageois qui répètent « ça ne me regarde pas », « c’est pas de mes affaires », « c’est juste des rumeurs » etc.) et plombent la tension. Aurore est tout de même le cœur du récit et là, on sent très bien que l’intérêt n’était pas de s’attarder sur le personnage, de définir sa complexité ou comment elle vit ses souffrances, mais bien de mettre le doigt sur les coupables et de raconter comment une telle tragédie à pu arriver. Ça reste bancal dans son ensemble, mais une chose est certaine, bordel que ça fait mal à certains endroits. Rien à voir avec la version de 1951. Complètement l'antithèse. Complètement. Comme dans pratiquement tous les films québécois, il y a d'un côté les acteurs de métier et de l'autre les humoristes ou autres vedettes. On sent à plusieurs moments la différence de calibre. Bref... À ma connaissance, il n'y a pas beaucoup de films qui traite du sujet, alors simplement pour ça, ça peut être intéressant d'aller le voir.
  4. Ekynox

    Dagon - Stuart Gordon (2001)

    Une grosse claque pour moi aussi. J'adore la relation entre le héros et l'envoutante Uxia (Macarena Gómez). En ce qui concerne les CGI, pour le peu de plans où ils sont utilisés, sérieusement ça ne gâche en rien le film. Une réussite.
  5. Bon départ pour Horloge biologique Émilie Côté La Presse Le beau temps a éloigné les Québécois des cinémas le week-end dernier, mais un billet de cinéma sur quatre a été vendu pour Horloge biologique. Le film a obtenu des recettes satisfaisantes de 511 372 $ au box-office québécois, au premier rang devant les versions anglaise et française de Dukes of Hazzard (447 179 $). La météo clémente fait en sorte que les Québécois ont peu fréquenté les cinémas, confirme Matthieu Stréliski, de Cineac, la firme qui compile les entrées des cinémas de la province. Lors du week-end d'ouverture d'Aurore, par exemple, le box-office québécois totalisait 3 538 668 $, alors que la fin de semaine dernière, les recettes des cinémas de la province totalisaient 1 920 734 $. Résultat: selon Cineac, le film de Ricardo Trogi a obtenu 511 372 $ pour sa fin de semaine de sortie, soit moins qu'Aurore (953 708 $), Le Survenant (657 378 $ ) et C.R.A.Z.Y. (595 435 $). Un bouche-à-oreille extraordinaire Nicole Robert, de Go Films, se réjouit du fait que le film de Ricardo Trogi ait obtenu 25 % des parts du marché québécois. «Ça dénote que les gens veulent voir le film, affirme la productrice. Horloge biologique passe à travers tout: il y a eu une panne de son à la première et l'image était hors foyer lors de la présentation de la copie zéro!» Elle n'avait pas prévu que le thème du film - les aléas de la paternité - donnerait lieu à un mini débat social. «Tout le monde en parle, dit-elle. Et les gens prennent le sujet au sérieux. Il y a un bouche-à-oreille extraordinaire.» La productrice scrutera à la loupe le cheminement du second opus du réalisateur de Québec-Montréal, mais elle est déjà très satisfaite de sa lancée au box-office. «C'est extraordinaire compte tenu de la température. Cela démontre le succès du film dans les régions.» Rappelons qu'Horloge biologique sera présenté au Festival international du film de Toronto dans la section du cinéma mondial contemporain. http://www.cyberpresse.ca/arts/article/article_complet.php?path=/arts/article/09/1,144,161,082005,1125410.php
  6. Trois copains, Fred, Paul et Sébastien, ont une vision différente de la paternité. Le premier use de tous les moyens et prétextes possibles pour dissuader sa compagne Marie, qui a avorté un an plus tôt, de retomber enceinte. Paul, dont la femme Isabelle doit accoucher d’une fille dans les prochains mois, est hanté par la pensée qu'il devra bientôt mener une existence rangée alors qu'une ancienne flamme réapparaît dans sa vie. Sébastien, père d'un bambin de quelques mois, éprouve de la difficulté à assumer son nouveau rôle et se sent de plus en plus largué par ses amis célibataires. Or, en l'espace d'une journée, nos trois compères, dans diverses circonstances, placent leur couple dans une situation de crise et doivent prendre une décision cruciale. Source: Médiafilm Le tout encore une fois en trois histoires parallèles. Dès les premiers instants, ça peut faire peur cette impression qu'on nous sert encore une rassade de "Québec-Montréal." Et bien non, première distinction, Horloge Biologique est beaucoup moins bavard et à ce niveau...moins mordant aussi. Une histoire de gars abordée de façon plus mûre (et à cet égard, peuplée de protagonistes qui ne le sont pas). Bref, ça traduit maintenant l'intérêt du cinéaste de filmer les situations plutôt que du dialogue. Malgré tout, la force du film réside toujours "à dire haut et fort ce que l'on peut penser timidement". C'est pourquoi beaucoup se retrouveront dans certains aspects des personnages. Même réaction que Québec-Montréal, on se dit: "Criss que c'est vrai." La moralité l'a quand même emportée contrairement au film précédent, cette fois, on inflige des punitions. C'est mieux comme ça ou moins bien ? Tout dépendra du point de vue. En tout cas, le cynisme ne s'est pas envolé, rien ne laisse vraiment entrevoir une possibilité d'évolution pour ces personnages... Je mentionnerais surtout l'effort visuel que Ricardo Trogi a apporté pour exprimer ce qui aurait été banal et sans saveur avec les mots. C'est utilisé avec soin et justesse (c'est drôle ou dramatique quand il faut que ça le soit) question de ponctuer et de "brasser" certaines situations. On évite ainsi (tout comme Québec-Montréal) un bête film sur les relations de couple, filmé avec des pantoufles dans les pieds. Je prédis un bel avenir pour ce film, le même sort que le précédent. -Québec-Montréal: 5/6 -Horloge Biologique: 5/6
  7. Déja un classique Au fait, si vous connaissez d'autres jeux nanars, je prends des notes.
  8. Pour les trailers, j'aime bien passer par cinéma Montréal http://www.cinemamontreal.com Horloge biologique (malheureusement, on ne peut pas l'avoir en meilleure qualité) http://www.cinemamontreal.com/aw/crva.aw/p.cm/r.que/m.Montreal/j.e/i.8126/f.L_Horloge_biologique.html Québec-Montréal: http://www.cinemamontreal.com/aw/crva.aw/p.cm/r.que/m.Montreal/j.e/i.4155/f.Quebec-Montreal.html Voila
  9. Sur l'autoroute 20 entre Québec et Montréal, trois bons copains, une et un collègues de bureau et un jeune couple déjà vieux ont un seul sujet de conversation : les relations amoureuses. Le tout divisé en trois histoires parallèles. Alors que Québec - Montréal est principalement un film de dialogues, on aurait pu s'attendre à ce que ça soit filmé un peu avec paresse. Au contraire, le film regorge de petites trouvailles visuelles qu'on voit rarement dans le cinéma québécois. Aucun parti pris n’est donné, il n'y a pas un personnage plus sympathique que l'autre, Ricardo se contente de les filmer et c'est tant mieux. Ok, parfois le discours est un peu simplet et on sait à peu près comment se boucleront les trois histoires. Malgré tout, le récit en est plus que terre à terre, accessible (peut-être trop "baveux" et cynique pour certains) et heureusement grinçant dans le traitement de certains sujets. Le genre de film qu'on se dit "Criss que c'est vrai". Gagnant de 4 Jutras. J'avais prévu Aurore pour Vendredi, mais je crois que je vais retarder ça pour "Horloge Biologique" (deuxième long métrage de Ricardo) qui sera en salle cette journée là.
  10. Oui ! Solide B.O de Godspeed you black Emperor ! Une des raisons qui me fait revoir le film d'ailleurs.
  11. De mémoire, tu peux utiliser la memory card du PS1 si tu joues aux jeux PS1 sur PS2, mais tu ne peux l'utiliser pour sauvegarder tes games de PS2. Obligatoire d'avoir la memory card PS2 dans ce cas.
  12. Ekynox

    Stealth (2005) Rob Cohen

    C'est toujours prévu à l'horaire.
  13. Ekynox

    [Série TV] - Angel

    On m'a prêté la première saison et j'en suis maintenant à la moitié. Je n'étais d'ailleurs pas du tout familier avec l'univers de Buffy. Jusqu'à maintenant c'est pas trop mal, je dois dire. Ça joue beaucoup sur l'atmosphère, l'environnement urbain, le côté glauque de Los Angeles, bref ça fait parfois penser un peu à l'univers de Vampire: The masquarade. Par contre, la fausse note majeure, c'est vraiment le trickster. Je ne me souviens pas d'avoir vu plus énervant. Cette Charisma Carpenter qui incarne littéralement une 2 Watts, me tappe royalement sur les nerfs. Je comprends que le côté sombre et mélancolique du héros devait être compensé par un personnage plus léger, mais là vraiment, on touche le fond du barril. Exemple; Angel qui se bat pour une inième fois contre un démon, demande à Cordelia (Charisma Carpenter) de lui apporter un pieu. Réponse: "Non, mais tu crois que c'est le moment de dormir ?" Rhaaaa.... Il y a aucune chimie entre Angel et Cordelia, c'est clair que ça fait vraiment longtemps qu'il l'aurait balancé par la fenêtre. Sinon, la série se regarde très bien. Ça ne sollicite pas beaucoup d'attention, on peut s'en tapper 4 de suite sans s'épuiser...
  14. Ekynox

    Plus belle la vie

    Juste à voir le schéma, c'est sans doute un truc qui me plairait beaucoup.
  15. J'ajouterais par la même occasion OPERATION WOLF ! Le jeu en fait c'est une succession de rouge-bleu-rouge-flash-rouge-bleu-rouge-flash-rouge-bleu-rouge-flash-rouge-bleu-rouge-flash À la fin d'un tableau tu te sens
  16. Les jeux dont je suis très content d'avoir sur MAME: -1941 - Counter Attack -Aliens Vs. Predator (excellent beat 'em all) -Cadillac and dinosaurs -Dongeons & Dragons: Shadow Over Mystara (absolument) -Dongeons & Dragons: Tower of Doom (idem) -King of Dragons -Marvel Super heroes (si tu n'es pas epileptique) -The punisher -R-Type (excellent shoot) -Tous les Samurai Shodown -Shinobi -Splatter House (obligatoire) -Terminator 2 -WWF Wrestlefest (quand tu veux rigoler) Je continue à fouiller parmi la montagne de jeux dispo sur MAME.
  17. Ekynox

    DvdSoon

    Commandé une ou deux fois et c'est de la meeeerde...En plus, il semblerait que les clients européens soient leur priorité, alors je vous laisse imaginer. Au Québec on a autant de problèmes.
  18. Je n'ai pas vu celui, mais comme je possède le 50 martial arts pack, j'ai pu voir Impossible Kid que j'ai beaucoup aimé. La bataille dans le dojo est incroyable ! Le pire c'est que je la trouve très bien montée cette scène. La musique (en particulier le Weng Weng theme) est très fun aussi, loin d'être cheap. Je t'oublie pas Joe pour la copie...je dois laisser passer un peu de temps car le mec qui me fait les copies de dvd (que je ne connait pas beaucoup ) commence en avoir marre de mes commandes
  19. Dans ce cas, je poste un avis que j'ai écrit sur DD pour faire balancer le côté de ceux qui ont aimé Non le film ne plaira pas à tout le monde autant au fan maladif du Burton début '90, autant au spectateur lambda qui ne s'attendait pas à un truc aussi "chargé". Tant pis pour eux. Moi j'ai adoré ces couleurs pastels et baveuses et le côté très "Barbarella" au niveau mise en scène. Les enfants sont vraiment bien dirigés, en fait tout le monde joue très bien et en particulier (et c'est sans surprise) Johnny Depp en Willy Wonka qui met plus que souvent mal à l'aise... Par ailleurs, lui et sa chocolaterie vole la vedette, on en arrive même à oublier Charlie... L'essentiel c'est qu'on reconnait très bien la Burton's touch; les freaks abondent, l'alternance couleur flashy et moments plus expressionnistes sont présents, l'humour est bien méchant à certains moments, au final je ne me suis pas du tout senti dépaysé. Pas parfait non plus, les chansons m'ont vraiment laissé de marbre et plusieurs gags clairement destinés aux enfants sont tout de même tristement présents pour pallier aux touches d'humour noir qui elles, font mouches à tout coup. Bourré d'excentricités et de bonne humeur, on est loin d'Edward, mais- mais-mais, tout comme Sleepy Hollow, certains gros plans de Johnny Depp avec ce teint si blafard rappelle inévitablement le personnage...avis aux nostalgiques.
  20. Oui, je suis parfaitement conscient que je parle à travers mon chapeau, puisqu'à l'époque je n'ai vu que des extraits et entendu les commentaires ici et là. Tout ça mis ensemble ne m'a pas fait l'effet d'un aimant, par contre, aujourd'hui je suis tout de même intéressé à voir. Je les emprunterai à un ami qui a les 3 et qui m'en fait toujours la suggestion.
  21. Oui c'est lent, mais c'est ce que j'aime (je n'ai pas encore vu tous les épisodes). En fait, les auteurs s'intéressent beaucoup plus aux antécédents de leur personnages que de l'intrigue même sur l'île. Je l'ai toujours vu comme une grosse excuse pour mettre en scène une poignée de personnages qui doivent apprendre à vivre ensemble, malgré leurs différences, malgré ce qu'ils tentent de cacher, bref, c'est une série sur les relations humaines avant tout, comme tant d'autres. En tout cas, lorsque je regarde Lost, ce n'est pas dans le but de savoir pourquoi ils sont paumés en plein milieu de la mer, c'est plutôt secondaire.
  22. Je vais être franc, je n'ai vu aucun des trois J'ai toujours soigneusement évité cette série imbibé d'humour gras de patates frites. D'autant plus que c'est plutôt fâchant que ce soit ça qui domine le Box office québécois (mais Louis Saïa s'est quand même bien planté avec "Les dangereux", comme quoi...) Bref, tout ça pour dire que je les verrai bien un jour question que je tente au moins d'en comprendre l'ampleur.
  23. Ça fait plaisir, d'ailleurs je prévois faire quelques threads sur des titres-clés du cinéma québécois. Comme ça je serai peut-être susceptible de vous faire découvrir quelques trucs, plutôt que ce soit moi qui gobe à peu près tout ce que vous découvrez. Elvis Gratton mériterait bien une petite review.
  24. Oui, québécois. En revanche, je n'ai pas vu la Guerre des boutons, seulement entendu parler.
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