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Kerozene

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Messages posté(e)s par Kerozene

  1. j'avais particulièrment détesté Keoma lors de ma preière vision. le revoir au format quelques années plus tard (euh...cette année en fait ) a quand même changé ma perception du film.

     

     

    Ahahaha, je te vois venir avec tes gros sabots !

    OK, je redonne une chance à OMEGA DOOM, parce que j'ai malgré tout envie de l'apprécier ce machin (même si Pyun a fait des merdes irratrapables, ce que tu approuveras bien entendu), mais il est hors de question que je débourse plus de 10 francs suisses dans la galette parce que :

    1 - j'ai quand même des doutes

    2 - ma wish list fait 200 pages

    3 - j'ai pas beaucoup de sous

     

    Voila, si vous voulez vous cotiser pour Noël afin de m'offrir le DVD OMEGA DOOM, ne vous génez pas

  2. ben pour le coup je rejoins mon poto SWS, EXPLOSION IMMINENTE n'est pas une bouse,c'est un truc plutôt fun, certes un peu mal foutu mais il divertit, il ne prend pas le choux, il n'est pas prétentieux, il est chouette à regarder quoi. Mais ce n'est effectivement pas un chef d'oeuvre non plus, il est plein de défauts, comme des milliers d'autres actioners bidons plus ou moins réussis...

  3. Je n'ai vu que THE MAGIC BLADE pour le moment et c'est vrai que c'est pas mal du tout, bien que joliment bordelique par moment. Superbement filmé en tout cas, rien à dire là-dessus.

    Je n'avais pas réalisé que GRIFFES D'ACIER CONTRE LEOPARD NOIR était du même réal, je vais me sortir ma VHS un de ces quatre.... Vous m'en avez donné envie là !

  4. bof bof bof, ma riviou sur le Club des Monstres :

     

    TALISMAN - David DeCoteau, 1998, États Unis

     

    Elias, un jeune type à la recherche de sa soeur, s'inscrit dans une étrange école située dans un lugubre manoir. Les quelques élèves se font arracher le coeur les uns après les autres par un ange de la mort chauve et dont les yeux deviennent tout rouges. La directrice et sa fille semblent y être pour quelque chose...

     

    Micro budget tourné en Europe de l'Est pour le père DeCoteau qui signe cette ineptie sous le pseudo de Victoria Sloane. En à peu près 70 minutes et encore moins d'idées, il expédie son récit en quelques tours de manivelle bâclés. Les acteurs au jeu très approximatif font ce qu'ils peuvent (c'est à dire pas grand chose) et l'on rit en voyant cette école constituée de six élèves qu'un brouhaha de discussions tente de faire passer pour joliment remplie. Etant moi-même friand des films de DeCoteau des années 1980, j'aimerai pouvoir trouver là quelque chose de positif à défendre. Malheureusement, rien à faire, on est ici face au néant. Même pas une paire de seins à se mettre sous la dent, mais pour les amateurs il y a tout de même des jeunes glandus en boxer blanc qui font des pompes. Kerozene

  5. Juste parce que je ne peux le dire à personne car ça n'intéresse personne, mais ici je pourrai éventuellement faire un demi envieux : j'ai eu l'occasion de boire une bière avec notre Serge bien aimé à Lausanne, il était de passage pour son dernier film: un docu sur Béjart...

     

    Voila

  6. Je ne focalise pas sur le message anti-tabac, ce n'est pas ce qu'on retiend du film au final (contrairement à l'adaptation de Nick Fury avec David Hasselhoff, mais ça c'est une autre histoire ), mais le côté pro catho est définitivement lourdingue, que l'on se réfère à la BD ou non. Après c'est une question d'appréciation. Perso, je ne partage pas le point de vue de Superwonderscope concernant L'EXORCISTE - par exemple. CONSTANTINE délivre une vision ultra-manichéenne de l'Enfer et du Paradis SPOILER malgré une certaine volonté de relativiser la chose via le personnage de Gabriel (ce que l'on voit venir de très très loin d'ailleurs, personne n'est bluffé par son acte de trahison). END SPOILER. Il y avait matière à jouer avec les images caricaturales de l'institution chrétienne et je pense que ce film aurait étéle terrain idéal pour cela. La démarche adoptée m'a emmerdé.

     

    Concernant l'autre point négatif que j'ai relevé, il ne s'agit pas là non plus d'une comparaison avec le comics, mais de la mise en scène qui mise avant tout sur la forme à tel point que les émotions que sont censées transmettre les images s'en voient totalement abolies. J'ai été surpris - encore une fois - par cette vision impressionnante de l'Enfer qui m'a pourtant laissé de marbre - trop artificielle, trop vide d'émotion comme le reste du film. Idem pour ma femme, elle qui est d'habitude si sensible à l'épouvante (raison pour laquelle elle n'aime pas trop le genre ) et qui se crispe dès qu'un élément surnaturel intervient dans un film: elle est restée passive et s'est profondément ennuyée. Seule la scène d'ouverture l'a fait labourer les coussins du canapé.

  7. c'est dégueulasse d'imposer ça aux gens

    + 1 (voila un truc qui faudrait changer)

     

    Sinon pour pas faire de HS, le dvd Z2 fr sort le 31 août et apparemment il proposerai 13 scènes inédites et une fin alternative qui peut-être (je n’ai pas vu le film) lui donne un autre aspect qu’une longue émission de propagande chrétienne (principal argument de ses detracteurs).

     

     

    J'ai vu le film depuis le DVD Z2 belge sortit il y a déjà quelques semaines, voire même 2 mois, avec toutes les scènes coupées et tout le tralala. Autant dire que j'ai pas pris la peine de regarder les scènes coupées, si c'est pour voir trois lignes de dialogues sirupeux supprimées pour cause de ralentissement de rythme, je m'en passe... Et puis les 115 minutes du métrage m'ont largement suffit.

    J'ai uniquement regardé la fin alternative qui est peut-être encore pire que celle qui a été exploitée - je ne la dévoile pas, mais elle flingue pas mal la tête ! Je n'avais rien lu sur ce film, volontairement, tu m'apprends donc que les détracteurs repprochent cet aspect au film... Rien d'étonnant, ils sont sans doute des lecteurs de cet excellent comics qui ne surfe pas tout à fait sur la même vague. Remarque, le côté "prêchi prêcha" est tellement présent que n'importe quel spectateur les trouverait gavant.

  8. John Constantine, c’est le Sherlock Holmes de l’occulte, le Columbo de la démonologie, un type qui traque les affaires paranormales et qui botte les démons à grand coups de pied au cul. Mais avoir un contacte privilégié avec l’au-delà n’est pas à proprement parlé un don. Il s’agit plus d’une malédiction pour John. Désabusé, rongé par le cancer du aux clopes qu’il fume comme une cheminée, la vie est un fardeau pour cet ancien suicidé qui vit l’Enfer de ses propres yeux. Et l’affaire à laquelle il est ici confronté n’est ni plus ni moins que la plus importante de son existence : les forces occultes, les démons de l’Enfer qui ont l’interdiction formelle de poser les pieds sur Terre selon un accord entre Dieu et le Diable, sont en passe de transgresser cette règle millénaire. Seul Constantine est en mesure de sauver le monde !

    Si vous connaissez la bande dessinée Hellblazer à l’origine de ce film, oubliez immédiatement son côté dépressif et nihiliste. Fini les rues sordides de la vieille Angleterre arpentée par des rebus crasseux aussi pouilleux que malodorants et bienvenue dans un Los Angeles contradictoirement clean et aseptisé. Fini aussi le John Constantine autodestructeur rongé par la drogue et l’alcool et son attitude punk à la "je vous emmerde tous", et bonjour Keanu Reeves, ses clopes et son attitude par moment désagréable, voire grossière tout au plus. Ca la fout mal, d’autant plus que le reste du métrage ne sauve pas les meubles. Après une scène d’ouverture diablement efficace, le film se vautre dans une sorte d’esthétisme creux dont l’ampleur apocalyptique de certains passages s’avère désespérément vaine. Incroyable en effet d’assister à des visions cauchemardesques de l’Enfer remplies de décors flamboyants et de créatures monstrueuses qui laissent autant de marbre ! La faute en incombe peut-être à l’artificialité glaciale des images de synthèse ? Probable, mais également au style du réalisateur Francis Lawrence qui signe ici son premier film après avoir tourné de nombreux clips pour des pop stars comme Britney Spears ou Will Smith. Forcément, ça n'aide pas à la dramaturgie. Toujours est-il que le résultat est ce qu’il est et ce qu’il est n’est pas réjouissant. Dommage donc que les responsables de cette adaptation ne collent pas plus aux matériaux d’origine, ce qui, il est vrai, aurait été commercialement suicidaire. En revanche, était-il vraiment nécessaire de le transformer en récit transpirant autant les bondieuseries catholiques au point d’en devenir proprement indigeste ? Certainement pas. Cet aspect est d'ailleurs tellement appuyé que le film pourrait presque ressembler à une publicité destinée à remplir les messes dominicales de vos églises de plus en plus vides… Alors passe encore le message moralisateur anti-tabac, mais faut pas pousser non plus. On retiendra malgré tout un Lucifer agréable incarné par cette magnifique bouille de Peter Stormare et qui détient la recette miracle à la lutte contre le cancer.

     

  9. Ce personnage s'inspire par ailleurs d'un gourou ayant réellement existé, et ayant défrayé la chronique quelques années auparavant, plus précisement en 1978 : Le révérend Jime Jones, de la secte du temple du peuple (plus de 900 morts au final quand même ! ).

     

     

     

    Je n'avais jamais fait le lien avec le triste révérend !

     

    Ses méfaits sont visibles dans le film GUYANA (LA SECTE DE L'ENFER) de René Cardona Jr., avec plein d'acteurs has been, de sous entendu salaces et une mise en scène pas franchement jolie jolie. Je ne connais pas l'histoire réelle de Jim Jones (ici appelé Johnson et prêchant en Ray Ban), mais dans GUYANA il n'est évidemment jamais fait mention de cannibale. Le final est une joyeux (?) suicide collectif par empoisonnement...

     

    Pour info, il existe un téléfilm appelé GUYANA THE STORY OF JIM JONES avec Powers Boothe dans le rôle du révérend psychopathe pédophile...

     

    Bon, tout ça est anecdotique....

  10. ben j'y vais chaque année en ce qui me concerne....

     

    C'est sympa, ça ne vaut pas Bruxelles (qui reste le must pour bibi, après le LUFF bien sûr ), mais il y a plus de films par jour. Par contre c'est 2000 fois mieux que Gérardmer, y a pas photo.

     

    Donc oui, je le conseil, leur prog est toujours pertinente il me semble - pas de compromis à la mords-moi-le-noeuds à la façon vosgienne si tu vois ce que je veux dire...

  11. Bon, il va quand même falloir expliquer plusieurs choses, là. Surtot pour quelqu'un comme moi qui touche rien à tous ces groupes qui vont jouer.

     

    => pour les néophytes, donc, on peut avoir un rapide descriptif de quel type de musique et qui ils sont -je m'en doute un peu mais je souhaite quand même savoir okazou je vienne-, tous ces gens ?

     

    marchi

     

    Pour un descriptif détaillé, va falloir attendre un peu, mais une chose est sûr, c'est que ça va faire du bruit

     

     

    Mercredi 12 octobre : Nuit Bruits de corps curated by Tochnit Aleph

    Soirée musicale dédiée aux performances bruitistes interrogeant le corps dans toutes ses dimensions.

     

    Jeudi 13 octobre : Black and Blue Night

    Soirée musicale dédiée aux expérimentations électroniques et électro-acoustiques sondant l’ensemble du spectre sonore au plus profond de ses textures et couleurs.

     

    Vendredi 14 octobre : Vegas Night

    Soirée musicale dédiée aux rock’n’roll décadents et à sa diva, Alan Vega.

     

    Samedi 15 octobre : Post Electronic Night

    Soirée musicale dédiée à la fin de la musique électronique, quand le hip hop et le grotesque s’en empare.

     

     

     

    A noter que les performances du mercredi sont nombreuses car très physiques: les artistes ne tiennent pas plus de 15 à 20 minutes par performance musicale au cours desquelles ils mettent leur corps à rude épreuve

     

    "Imaginez courir un 100 mètres pendant 15 minutes..." nous a rétorqué l'un d'eux.

     

    Plus d'infos bientôt.

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