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Kerozene

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Messages posté(e)s par Kerozene

  1. Maiiiiiiiiiiiiiiiis, c'est quoi tous ces festivals qui changent de dates comme de sous vêtements ? C'est n'importe quoi moi j'vous dit !

     

    Une chose est sûr, c'est que si vous souhaitez passer un festival pèpère à siroter du diabolo menthe entre les séances en vous reposer neurones, nerf optique et systèmes auditifs, optez pour San Sebastian !

     

    Pour ceux qui n'ont peur ni de pelloches trasho-subversivo-cultes ni des assauts de décibels distordues et expérimentations aussi bien physiques que sonores arrosées à la bière et à la contre-culture la plus corrosive, optez pour le LUFF !

     

    Moi j'ai choisi mon camp, camarades !

    Cet automne sera LUFF ou ne sera pas !

     

     

     

     

     

    euh, sinon, selon la news de Zonbis, San Sebastian c'est:

     

    Donostia-SanSebastian Horror and Fantasy Film Festival

    16 éme édition du 29 octobre au 5 novembre

     

     

     

    Les autres dates correspondent à Sitges

  2. Vu ce w-e également.

    Alors c'est pas mal, mais il y a quand même quelques éléments un pau bancaux, comme les scènes d'action encore une fois montée au hachoire (y en a marre, voila, je le dis, merde). Aussi étonnant que cela puisse paraître, j'ai trouvé que tout allait trop vite, il me semble que le film aurait largement gagné à être plus contemplatif. Nolan semble hésiter entre ses habitudes naturalistes et un style plus en concordance avec les canons actuels des adaptations de comics ce qui a pour effet de donner un résultat pas toujours équilibré. Sinon Bale est bien dans son rôle, l'Epouvantail est excellent (mais encore une fois, les plans dans lesquels il apparaît sont d'une rapidité fulgurante), Michael Caine est très bon lui aussi, Katie Holmes est reléguée au troisième plan et on se fout éperdument de son personnage... Un peu plus de lenteur et de violence auraient été vraiment un plus... Mais qu'est ce qu'on est loin des loukoums disco du père Schumacher ! Et ça, ça fait du bien !

  3. [quote="Eric Draven"][quote="Kerozene"] En même temps, pour la vierge, ne t'attends pas à une orgie zombiesque, c'est un magnifique récit onirique plein de tendresse et de sensibilité qui devait à l'origine s'appeler LA NUIT DES ETOILES FILANTES. Mais ça reste absolument magnifique si tu ne te tappes pas les zombies pourris tournés par Jean Rollin.[/quote] Cette vierge est surtout d'un ennui soporifique, une veritable tisane camomille.. l'onirisme je le cherche encore.. même en avance rapide c'était encore trop long!! Tout est laid chez Franco, d'une platitude extreme, ennuyeuse, ennuyante, ses actrices sans exception st laides et bovines, son érotisme est vulgaire, sale, débandant...[/quote] Je ne suis pas en mesure de considérer un avis de la part de quelqu'un qui a trouvé un intérêt dans THE CONCRETE JUNGLE :D
  4. ben il était pas trop mal ce SKINNED DEEP. Certes très fauché, réalisé avec deux pieds gauches, mais c'est généreux en loufoqueries sanglantes, en latex exhubérant et en personnages surréalistes (les bikers gériatriques !). Par contre la VF est une catastrophe, donc un blâme pour l'absence de VO.
  5. [quote="tubbytoast"][quote="Kerozene"] Sinon, il y a autnat de bons Franco que de mauvais Franco, faut faire le tri :D[/quote] tiens j'ai pas encore vu un mauvais franco...et pourtant j'en ai vu :shock: Il y a toujours ne serait-ce qu'un plan, une scène, une image subliminale :D qui est excellent dans un Franco...donc rien que pour ça ça vaut le coup de se farcir ses quelques 200 films 8)[/quote] Non mais toi t'es pas objectif :D Et Lelouch aussi il lui arrive de faire de jolis plans.... c'est pas pour autant que je vais défendre ses films :D
  6. Immense !!!

     

    J'ai franchement beaucoup aimé ce petit film, totalement loufoque et incohérant et surtout involontairement drôlissime ! Que du bonheur

     

    Ma petite reviou à moi pour vous donner envie :

     

     

    A priori, une deuxième séquelle au bis aérien avec Ray Liotta n'avait pas de quoi générer un grand intérêt et ne s'imposait pas vraiment. Mais pourtant, il arrive que l'on se surprenne à avoir un coup de coeur pour un film sans intérêt, sans grande qualité, et qui n'a d'autre prétention que de divertir. Si il est clair que TURBULENCES 3 ne révolutionne en rien le paysage cinématographique, il propose par contre un pitch tellement stupide et aberrant qu'il mérite le respect. Jugez un peu.

     

    Slade Craven, super-star morbide du rock'n roll à qui l'on attribue la responsabilité du massacre de Columbine, décide de faire son dernier concert dans un boeing 747 aménagé pour l'occasion, et co-piloté par un Rutger Hauer mélomane. Habillés de noir, truffés de clous, de crucifix inversés et arborant des maquillages blafards, les membres du groupe se posent en copie carbone de Marilyn Manson, le style en moins. Quarante heureux vainqueurs à un concours ont le privilège d'assister au concert. Quarante tordus vêtus de noir répétant inlassablement les mimiques du duo Beavis & ButtHead. Le concert événement, sponsorisé par la chaîne Z Web TV, s'apprête à être retransmis en live sur Internet, en plus de cela, l'avion s'avère être truffé de caméras.

     

    Pendant ce temps, à terre, un hacker (Craig NIGHTBREED Scheffer) pirate le système pour accéder gratuitement aux caméras de l'avion depuis son petit PC. De là, il sera le témoin du plus fou des piratages aériens ! Des adorateurs du démon en provenance d'une obscure secte satanique assomment le chanteur charismatique amateur de meurtres simulés et le remplacent par un psychopathe qui prend un malin plaisir à jouer avec ses victimes. Slade Craven et notre gentil hacker rentreront alors en contacte et tenteront de mettre fin aux agissements des pirates de l'air.

     

    Avec un scénario pareil, je ne peux que m'incliner. Le réalisateur, auparavant aux commandes de OMEN IV et de plein de séries TV, rempli correctement son contrat en se pliant aux exigences du téléfilm à l'Américaine: un petit peu de violence, pas du tout de sexe et une morale qui, pour une fois, donne le bon rôle au tordu de service, à savoir le rocker injurieux Slade Craven. Encore un beau coup de pub pour Marilyn Manson qui n'a rien à voir avec le film, certes, mais qui a tout à y gagner - en tout cas au près des ligues conservatrices américaines. Craig Scheffer passe tout le film le cul posé sur sa chaise devant son ordinateur et tient un rôle complètement étranger à celui qu'il tenait dans TURBULENCES 2. Un film certes sans surprise, mais tellement divertissant... Kerozene

  7. Reçu par mail, je vous le communique donc :

     

     

     

    FESTIVAL INTERNATIONAL CINEMA

    NOUVELLE GENERATION

    //Du 7 au 10 juillet aux Subsistances

    8 bis quai Saint-Vincent 69001 LYON

     

     

    Pour sa 4ème édition, le Festival International Cinéma Nouvelle Génération est accueilli par les Subsistances. Dans ce formidable lieu culturel, idéal pour une telle manifestation, le Festival va poursuivre son exploration du Cinéma Numérique, exploration qui nous conduira vers des chemins variés et originaux.

     

    // Compétition officielle

    • FAQ Frequently Asked Questions de Carlos Atanes/ 82'/Espagne

    • Doo Wop de David Lanzmann/90'/France

    • La Visite de Nicolas Guicheteau/60'/France

    • Nouveau Monde de Thibault Mombellet, S. Dalibert Morgan, Mathieu Lalande/108'/France

    • Clap your Hands de Dominique Bichon/64'/France

    • Bye Bye Tiger de Hélèna Villovitch, Jan Peters/86'/Allemagne

    • The Franklin Abraham De Jonah Freeman/ 60'/USA

    • Marebito de Takashi Shimizu/92'/Japon

     

    • "Un peu, beaucoup...voire pas du tout" de Thierry Espasa/ 70’ / France

     

     

    • Des courts-métrages en compétition

    • passerelles numériques, documentaires, clips, programme Rhône-Alpes

     

    // Café DV

    Les participants devront réaliser, monter et diffuser un court-métrage numérique en 48 heures chrono. Les films seront projetés chaque jour du Festival à 14h et 19h.

     

    // Les passerelles numériques

    Organisées par le Festival Cinéma Nouvelle Génération avec le soutien de la Région Rhône-Alpes

    En collaboration avec l'ACRIRA, Les Ecrans de la Drôme et de l'Ardèche, le GRAC,

    le Syndicat Lyonnais des Exploitants.

     

     

     

    // Entrée gratuite à toute les séances

    Soirée de clôture sur invitation

     

    // Restauration sur place

     

     

    http://www.cinemanouvellegeneration.com

    Tel : 04.78.37.66.30

     

    Contact : com@cinemanouvellegeneration.com

    contact@cinemanouvellegeneration.com

  8. Au passage, THE PRESIDENT'S LAST BANG est une excellente comédie satirique qui ne caresse effectivement pas le gouvernement coréen dans le sens du poil. Un film aussi sérieux qu'absurde, superbement filmé et original. Vivement conseillé.... Et c'est avec notre bouffeur de poulpes préféré.

  9. Keira joue dedans ?

    Va falloir que je le rematte dans ces conditions

     

    Un film sympa, qui se détache du lot des purges pour ados post SCREAM... mais ça casse pas trois pattes à un canard pour autant. L'idée de base est bonne mais sous exploitée.

  10. IZO est joliment filmé.... Mais le film ne veut rien dire et nom de dieu qu'il est chiant !

     

    Ce qui est drôle, c'est que le spectateur a au moins l'avantage de pouvoir s'identifier au personnage principal: aucun des deux ne comprend ce qu'il se passe...

  11. En revanche, le heavy métal dans la BO, beurk.

     

    beurk aussi, mais au moins il permettait de ne pas s'endormir....

     

    Quant aux plans inutilement longs, cela ne me déplaît habituellement pas chez Miike - qui est un réal que j'aime beaucoup en règle général, mais là c'est du foutage de gueule... et je ne parle même pas de IZO que j'ai vu le lendemain et qui est une catastrophe d'emmerdement! Miike cuvée 2004 = mauvais cru.

  12. Un toku signé Miike rempli de violence cartoonesque, d'effusion de sang et de sexe déviant, vous en rêviez ? Et bien continuez, car ce n'est pas avec ZEBRAMAN qu'il risque de satisfaire nos soifs de sous Bioman dégénéré, à l'exception d'un court passage d'un toku fictif que regarde le héros du film et dans lequel un clône mutant de Sadako se fait laminer la gueule à grands coups de fulguro-n'importe quoi dans les gencives. Passé cet instant de pure folie, on suit les mésaventures d'un professeur pathétique qui foire en beauté aussi bien sa vie professionnelle que sa vie familiale. Détesté de ses élèves, cocu par sa femme (euh... qui d'autre ?), coincé et totalement inexistant aux yeux de ses paires, il ne trouve de réconfort que lorsqu'il endosse une tenue de Zébraman bricolée à la va vite par ses petites mains de couturière maladroite. C'est alors qu'il se verra confronté à une invasion d'extra-terrestres qui prennent possession des corps de ses compatriotes.

    Si le pitch a de quoi excité, son traitement s'avère totalement condamnable. Miike y injecte une bonne dose de prise de chou et de morale familiale qui ne sont pas sans rappeler des outres hollywoodiennes comme LA COURSE AU JOUET (JINGLE ALL THE WAY). La comparaison est dure ? C'est pour mieux prévenir. Pourtant le film regorge de petits instants de folie, de gags délicieux, d'événements si décalés qu'ils réjouissent le spectateur au plus haut point, mais malheureusement, Miike semble ne jamais savoir à quel moment crier "Cut!" nous imposant alors une quantité de plans inutilement longs nuisant gravement au rythme du film. Au final, la balance penche malheureusement du mauvais côté pour ZEBRAMAN.

  13. Contrairement à ce qu'indique l'imdb, le nouveau film de Brett Lonard est bel et bien terminé. Certains festivaliers de Cannes ont déjà pu le constater tout comme se fut le cas pour quelques curieux du dernier NIFFF - dont bibi.

    Qu'attend-on donc du nouveau Leonard ? Pas grand chose, vous dites-vous avec raison. Et pourtant, le bougre livre là un film diablement efficace et carrément dégueulasse qui atteint même quelques pointes de révulsion pure !

    L'histoire ? En résumé - et pour en dévoiler un minimum, c'est celle d'un tordu qui engraisse une pauvre femme devenue tellement énorme qu'elle est incapable de se mouvoir par elle même. Affalée sur un lit, la fille se fait gaver de cheeseburger par son "hôte" qui s'adonne à des séances d'onanisme vigoureuses en lui caressant les bourlets. Le tout est diffusé sur le net, et c'est un flic australien, traqueur de webmasters dégénérés, qui découvre les activités vomitives de notre psychopathe. Personnage d'ailleurs présenté comme étant le flic qui débusqua le fameux teuton cannibale homosexuel qui dégusta le sexe d'un compagnon volontaire en sa compagnie.

    Âmes sensibles s'abstenir, Leonard fonce droit dans le lard ! Il filme des orgies calorifères nauséeuses, des séances de sexe déviant tout sauf excitantes et décrit un univers crasseux aussi répulsif - voire plus - que l'antre de la famille Tronçonneuse dans le film de Hooper. Le criminel, motivé par des pulsions sociales anti-fashion, n'est heureusement pas là pour masquer une morale ou une critique vaseuse de la société de consommation... Exit le message sociale donc, pour se concentrer sur ce qui importe: l'impact visuel du film.

    Jolie petite pelloche (euh... DV) trashos que voila, une belle surprise qui ne risque pas d'atteindre les scores étonnants du COBAYE étant donné la nature de l'objet. En tout cas, réjouissez-vous! Un film à voir à jeun...

     

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