Jeremie Posté(e) le 8 mai 2009 Share Posté(e) le 8 mai 2009 Morceau de pelloche undegroundesque rejoignant la grande famille de ces trips cinématographiques flattant bas instincts et cauchemars refoulés. En l'état, on pourrait parler du film de Zéno comme de l'équivalent zoophile de Nekromantik, mais ce serait un peu trop facile, voire même carrément réducteur. J'ai quand même trouvé la chose irregardable en fin de compte, sans pour autant lui déceler quelques qualités, un peu comme le dément Begotten : la relation sentimentale et sanguinaire d'un fermier et de sa truie sur une demi-heure, d'accord ; sur 1h30 euh Musique baroque et allégre, décors excrémentiels, tabous en l'air : au croisement de Pasolini et de Waters, ça donne. Par contre, l'état du vhs rip qui traine ça et là n'a pas aidé. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
tubbytoast Posté(e) le 8 mai 2009 Share Posté(e) le 8 mai 2009 Il existe un dvd sorti en Suède : http://www.njutafilms.com/film-svinet.html Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
tubbytoast Posté(e) le 8 mai 2009 Share Posté(e) le 8 mai 2009 Le dvd est prévu pour le 27/05 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Guillaume Tell Posté(e) le 8 mai 2009 Share Posté(e) le 8 mai 2009 Morceau de pelloche undegroundesque rejoignant la grande famille de ces trips cinématographiques flattant bas instincts et cauchemars refoulés. En l'état, on pourrait parler du film de Zéno comme de l'équivalent zoophile de Nekromantik, mais ce serait un peu trop facile, voire même carrément réducteur. Et par moment presque tendre pour finalement finir dans le désespoir le plus total. Il faut effectivement faire attention à ne pas être trop réducteur. Une expérience cinématographique rare; le genre qui se voit et qui ne se raconte pas. Au risque de tomber dans le travers dont nous parlons plus haut. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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