Jeremie Posté(e) le 5 août 2012 Share Posté(e) le 5 août 2012 Colin & Mary remettent leur couple en question lors d'un voyage à Venise. Ils connaissent déjà la ville, s'y perdent, se font chier. Un soir, ils rencontrent Robert, un homme riche et bavard qui les invite dans son bar puis dans son luxueux appartement où l'attend sa femme Caroline. Le couple est ambigu et un peu trop accueillant... Un Schrader mesestimé, classieux, précieux même : une Venise crepusculaire sublimée par Dante Ferreti et Badalamenti, un casting quatre étoiles, une ambiance étouffante, étrange...Seul soucis : CA NE MÈNE NULLE PART ! J'ai été scandalisé par les dernières minutes (où ça se remue enfin) qui débouchent sur un pseudo mystère non résolu...ou alors un truc m'a totalement échappé Lapin compris quoi Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Natale Posté(e) le 6 août 2012 Share Posté(e) le 6 août 2012 Tiens je suis tombé sur ce film en feuilletant le livre de Patrick Brion sur le neo film noir. Scénario de Harold Pinter quand même.J'ai pas vu le film mais ta ligne sur la fin en eau de boudin ne me surprend pas de la part de Schrader dont les films ont trop souvent des conclusions décevantes que ce soit american gigolo ou hardcore. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Jeremie Posté(e) le 6 août 2012 Auteur Share Posté(e) le 6 août 2012 Hardcore était bien abrupt aussi en effet sur sa fin. Mais ici j'ai eu beaucoup de mal avec l'absence de logique, de motif. Bref. Avec le recul, ça trotte bien dans la tête, on relativise aussi Walken et Mirren ne réalisent au final qu'un simple fantasme morbide, et rien d'autre. Comme le titre français le souligne, on est bien victime d'une étrange séduction. Bon point. Et je me lasse pas du theme de Badalamenti : f-BbY8gr6vE Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Jeremie Posté(e) le 6 août 2012 Auteur Share Posté(e) le 6 août 2012 Hardcore était bien abrupt aussi en effet sur sa fin. Mais ici j'ai eu beaucoup de mal avec l'absence de logique, de motif. Bref. Avec le recul, ça trotte bien dans la tête, on relativise aussi Walken et Mirren ne réalisent au final qu'un simple fantasme morbide, et rien d'autre. Comme le titre français le souligne, on est bien victime d'une étrange séduction. Bon point. Et je me lasse pas du theme de Badalamenti : f-BbY8gr6vE Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Natale Posté(e) le 7 août 2012 Share Posté(e) le 7 août 2012 J'attendrai de voir le film avant de lire ta phrase mystère. Le texte de brion est déjà truffé de spoilers Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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