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Quai des Orfevres - HG Clouzot - 1947


superflo

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Dans le Paris de l'après-guerre, la jeune chanteuse Jenny Lamour fait parfois usage de ses charmes, notamment auprès d'un vieillard libidineux influent, un certain Brignon, pour se faire une place dans le milieu du music-hall. Son mari, un brave type, Maurice Martineau, par jalousie, profère des menaces de mort envers le septuagénaire, qui est retrouvé assassiné peu après. L'inspecteur Antoine, un flic désabusé et humain du Quai des Orfèvres, est chargé de l'enquête.

 

Louis Jouvet, c'est la méga classe!! sinon, j'ai pas encore fini de le mater!

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Pas mieux, Jouvet = Dieu !

 

Sinon "Quai des orfèvres", c'est du très très lourd, à tous points de vue, MAIS je le mets qd même un petit cran en dessous des autres dans mon panthéon Clouzot, je préfère un "Corbeau", un "Diaboliques" ou "Assassin habite au 21". Je suis pas aussi fan, c'est juste une question de gout. Mais rien que pr Jouvet, c'est à voir absolument !

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Ceci dit, belle performance que de porter autant de films sur ses épaules pour quelqu'un qui n'a jamais vraiment aimé le cinéma

 

je me disais exactement ça en relisant un peu sa bio sur le net l'autre jour. Pour un type qui n'aime pas le ciné, chacune de ses apparitions reste gravé dans ma rétine (Drôle de Drame ), et il occulte tout autre acteur qui est à l'écran en même temps que lui. C'est sans doute le genre de mec ultra doué qui "assurait" ou assumait le taf quelqu'il soit une fois qu'il avait accepté, et j'imagine qu'il a choisi ses rôles cinéma avec soin...

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Ceci dit, belle performance que de porter autant de films sur ses épaules pour quelqu'un qui n'a jamais vraiment aimé le cinéma

 

je me disais exactement ça en relisant un peu sa bio sur le net l'autre jour. Pour un type qui n'aime pas le ciné, chacune de ses apparitions reste gravé dans ma rétine (Drôle de Drame ), et il occulte tout autre acteur qui est à l'écran en même temps que lui. C'est sans doute le genre de mec ultra doué qui "assurait" ou assumait le taf quelqu'il soit une fois qu'il avait accepté, et j'imagine qu'il a choisi ses rôles cinéma avec soin...

 

Faudrait que je me replonge dans sa bio lue à l'époque, oulala, eighties, mais globalement le but était de faire tourner son théâtre, il a parfois tourné certains films restés plus ou moins insignifiants, bien que passionnant par sa présence, Copie conforme par exemple.

 

En 1987, La Cinémathèque suisse avait passé l'ensemble de ces films a l'occasion du centenaire de sa naissance. Avais pu tous les voir - la vache, le temps à dispo, la belle vie sans contrainte - , soit plus d'une trentaine pour mon plus grand ravissement

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