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Marche à L'ombre - Michel Blanc (1984)


Benj

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Citation

Denis, un éternel angoissé, bourlingue avec son copain François, un guitariste bellâtre. De retour de Grèce, tous deux se rendent à Paris, où un ami doit les loger. Mais l'ami en question a disparu et son toit s'est envolé.

 

Je crois que j'aimerais toute ma vie ce film. Le duo Lanvin / Blanc fonctionne au top et les dialogue écrits par Blanc sont ciselés.

Et y a un coté populaire qui fait pas dans le misérabilisme, notamment quand ils se retrouvent dans le squatt avec la communauté africaine. Y a pas ce coté "vu d'en haut", on est encore dans un cinéma populaire dans lequel les classes moyennes peuvent se retrouver sans être caricaturées. Bon après je me doute bien que Blanc à l'époque n'habitait pas à Bondy mais on s'intéressait plus à cette classe sociale, y a qu'a voir qui sont les deux protagonistes principaux, deux paumés qui jouent de la guitare dans le métro.

 

Le film me fait penser à Viens Chez Moi, J'habite Chez Une Copine, mais j'ai plus de souvenirs de celui ci que de celui avec Giraudeau.

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Je me l'étais refait pendant le confinement avec Viens chez moi, j'habite chez une copine. Si j'ai beaucoup apprécié celui de LECONTE, celui-ci m'a un peu fait chier. Michel BLANC n'est jamais aussi bon dans son rôle de loser que quand il vient foutre le bordel dans la petite vie rangée de son pote GIRAUDEAU. Ici, il se contente de suivre Gérard LANVIN sans finalement avoir d'importance dans le récit qui se concentre sur l'amourette LANVIN/DUEZ.

Il reste sympa à regarder, il y a des moments mythiques ("J'ai les dents qui poussent") mais pas le film que j'ai réellement envie de revoir.

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