DPG Posté(e) le 21 février Share Posté(e) le 21 février Hilary Swank ado, en pleine crise d'adolescence, va rencontrer Maitre Miyagi, et c'est reparti pour un tour. Grosso modo la même soupe qu'avec Ralph Maccio, avec ses qualités, ses défauts. Mis en scène par le réal du "Proviseur", il y a une certaine filiation, avec ce lycée sous la coupe d'une espèce de milice chelou de protection, des vilains méchants dirigés par un ex militaire, Michael Ironside, et sa subtilité habituelle. C'est pas déplaisant, y a un peu de moyens (alors que je m'attendais à un truc style DTV), quelques noms prestige, Bill Conti à la musique, Laszlo Kovacs à la photo. Ca marche complètement ds les pas des précédents, et le fait que le perso soit féminin ne change finalement pas gd chose à l'histoire, sinon que le méchant peut la menacer sexuellement en plus de lui casser la gueule. C'est bourré de clichés, caricatural à souhait, ça a un parfum très 80's un peu anachronique, vu que le film est déjà du milieu des 90's Au final je me suis pas ennuyé, mais ça ne sert pas à gd chose non plus. Ca a bien accompagné ma sieste du weekend. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Mike Hunter Posté(e) le 22 février Share Posté(e) le 22 février Walter Googins apparait (brièvement) dans ce film, le visionnage est donc indispensable. Sinon, tout d'accord avec DPG pour le reste. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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