Jeremie Posted June 7, 2008 Share Posted June 7, 2008 Comme toujours chez Oshima, un sujet audacieux et passionnant mais un résultat auquel je suis un peu hermétique... 1942 au Japon : un camp de prisonniers grouillant de soldats anglais est dirigé d'une poigne de fer par le Capitaine Yodoi, très attaché aux traditions du bushido. Voilà qu'arrive le Capitaine Celliers, qui se met à tenir tête à Yonoi : un choc des cultures dès plus ambigu... Oshima a beau traité d'homosexualité, son film est totalement dépouillé des oripeaux charnelo-trash de L'empire des sens, au risque même d'être d'une relative froideur. Le face à face Bowie/Sakamato est fascinant par le trouble qu'il jette, mais malgré une toile de fond dès plus agitée, l'ensemble est d'un calme plat. De très belles scènes émergent de cette histoire de passion impossible : le flashback de Celliers, vraiment film dans le film ; le geste "d'amour" qu'accomplit Yonoi, le chant des soldats...c'est peu.Présence de Kitano au casting et thème musical cultissime signé Sakamato justement, une petite merveille. Link to comment Share on other sites More sharing options...
Basculo Cui Cui Posted June 7, 2008 Share Posted June 7, 2008 je m'etais bien fait chier Link to comment Share on other sites More sharing options...
Jeremie Posted March 18, 2015 Author Share Posted March 18, 2015 Le film vient de ressortir en copie neuve. Le nouveau master est pas une grosse claque, mais le film n'est non plus renversant plastiquement à la base... C'est con car je pensais le revoir à la hausse, et c'est pire. Sujet troublant, mais traitement léthargique. J'avais oublié comme Sakamoto était nul on dirait Fancy heureusement que Bowie, Conti et Kitano sont impeccables, et ont une vraie présence. Mais c'est méga surestimé quand même... Link to comment Share on other sites More sharing options...
Natale Posted March 19, 2015 Share Posted March 19, 2015 affiche criterion decevante Link to comment Share on other sites More sharing options...
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