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Bare behind bars - Oswaldo de Oliveira - 1980


Jeremie

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DU TRÈS LOURD

 

Un W.I.P américain c'est forcement sale. Un WIP brésilien, c'est vraiment très très sale.

 

Oliveira (coupable également de Femmes en cages) ne fait pas les choses à moitié : ça lèche, ça viole et ça se doigte dans tous les coins, le tout avec une franchise et un ton decomplexé qui fait rêver.

Ambiance méga-crasseuse : les murs suintent, ça sent la pisse, la vermine se faufile entre les cellules, la chair y est dodu et doré, humide et enflammée.

 

Les matonnes torturent à tout va, violent impunément, et ne parlons même pas de l'infimière cochonne...

Bref, ça s'arrête jamais, même lorsque les évadées se vengent de la gent masculine en castrant à tout va. Du bis cradingue comme on aime.

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