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American samurai - Sam Firstenberg - 1992


Basculo Cui Cui

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coming soon at jeremie's

 

 

j'ai le souvenir d'une bonne série b qui envoie le bois de belle facon !

 

 

It's Bloodsport with Bladesias Two Top Martial-Arts Masters Draw Swords

 

Raised from birth by a Samurai Master, two stepbrothers are torn apart by jealousy and rage when the family's sacred Samurai sword is bestowed upon the adopted son. When the two are played by David Bradley and - in his dynamic movie debut - Mark Dacascos, only one result is possible: awesome action.

 

Vowing revenge, Kenjiro (Dacascos) becomes a Yakuza gangster drawn to the dangerous world of "live blade" fighting. The other son Drew (Bradley) becomes a journalist and travels halfway around the world to investigate the bizarre death of a fellow reporter - a search leading him into the Yakuza underworld? and into the sights of his murderous brother. American Samurai is your ticket to razor-edged excitement!

 

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C'est effectivement gratiné comme machin.

 

Ce que j'avais gribouillé après lavoir vu:

 

Ah, un bon petit film de la Cannon, ça a toujours le mérite de vous revigorer un homme. Et avec AMERICAN SAMURAI, il y a de quoi avoir la patate! Jugez un peu: un couple américain survolant le Japon aux commandes d'un petit avion de tourisme se crash lamentablement. Miraculeusement, Drew, leur bébé, survit. Il est recueilli et élevé par un maître samouraï qui fera de ce fils adoptif un artiste martial émérite qui ressemblera comme deux gouttes d'eau à David Bradley (AMERICAN NINJA 3, 4 et 5). Mais ceci n'est pas du goût de Kenjiro, fils naturel du bon maître, un homme jaloux et méchant, avide de pouvoir et de violence qui ira se faire tatouer chez les yakuzas et qui arbore la gueule de Marc Dacascos. Étant donné l'affront que cela représente, le maître renie son fils naturel et offre à son fils adoptif un prestigieux sabre samouraï... que Kenjiro jure de récupérer. Quelques années plus tard, notre American Samurai vit aux États Unis. Un soir, des intrus pénètrent son domicile et lui volent son sabre. Soupçonnant son demi-frère, il part en Turquie (!) où il découvre des combats clandestins se déroulant dans une arène et dont Kenjiro reste le champion invaincu. Suite à un malheureux concours de circonstances, Drew va devoir user du muscle dans l'arène s'il veut survivre...

 

Une chose est sûre: on n'en fait plus des comme ça. Intrigue téléphonée, dialogues hallucinants de connerie, acteurs pour la plupart désolant et mise en scène assurant le minimum syndical. Le spectateur avide de bis s'en fout et ne regarde la chose que pour les combats brutaux qui suent la testostérone et l'hémoglobine. Les combattants sont tous plus folkloriques les uns que les autres, du viking suédois armé d'une hache à double tranchant au chinois sautilleur à la natte coupante, on a également droit à un gros cowboy bourru et barbu armé d'un couteau que n'aurait pas renié Rambo... Le film est plutôt généreux en bidoche: bras coupé, gorges tranchées pissant le sang, décapitations, arrachage de joue à pleines dents, il y a de quoi être divertit malgré le niveau d'une rare bassesse. Entre les combats, on rigole également via les inévitables flash-back revenant sur le vieux maître, philosophe à ses heures et déblatérant des paroles pleines de sagesse qui semblent sortir tout droit d'un sketch des inconnus. Et moi, j'ai pété trois neurones en regardant ce truc...

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C'est vraiment sympa en effet !

Le montage n'est pas très vif, c'est un peu mou par moment (putain la love scene éclairée à la lampe torche à l'agonie ), mais j'ai beaucoup aimé ce concept d'arène rappellant les meilleurs moments de Barbarians

C'est bien violent, les combattants ont de pure gueule (je suis sur que Wonkley est fan du Viking à hache lourde ) et c'est pas tous les jours qu'on voit Dacascos dans un rôle de bad guy

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