DPG Posté(e) le 6 novembre 2005 Share Posté(e) le 6 novembre 2005 Une vraie bonne surprise que ce "Rencontres à Elizabethtown" ! L'histoire : "Chacun a droit à l'échec. Mais réussir un vrai fiasco, rater un projet de longue haleine auquel on croyait dur comme fer, ruiner d'un coup des centaines de vies, couler une boîte en 24 heures demande des dispositions particulières. C'est l'exploit que vient d'accomplir le designer Drew Baylor en créant la chaussure de sport Mercury, une aberration dont le lancement imminent pourrait bien être le bide du siècle, avec une perte sèche annoncée de 1 milliards de dollars. A trois jours de l'apocalypse, Drew reçoit un appel affolé de sa soeur. Leur père, Mitch, vient de mourir, et leur mère a sombré dans un tel état de confusion et d'agitation qu'elle est incapable de se rendre dans le Kentucky pour les funérailles. Il revient à Drew de régler les détails de la cérémonie avec la famille et les nombreux amis de la victime..." Et on retrouve donc Orlando Bloom et Kirsten Dunst dans cette sympathique histoire et c'est là là vraie force du film, car leur duo fonctionne à merveille. Je ne suis pas specialement fan ni de l'un ni de l'autre, mais il est difficile de rester de marbre face à leur abattage ! Susan Sarandon ds un role secondaire nous apparait egalement en pleine forme ! Tantot drole, tantot touchant, on a là un film assez simple, mais vraiment bien foutu, divertissant, pas là pr revolutionner le cinema, mais juste pr nous raconter une belle histoire, et il y parvient à merveille. J'ai un peu la flemme d'en dire plus , mais un vrai bon moment donc ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
jpl Posté(e) le 12 novembre 2005 Share Posté(e) le 12 novembre 2005 Oui c'est une bonne comédie, malgré quelques maladresses... je reprocherais notamment l'utilisation immodérée de la musique...Les meilleures séquences se situent à "Louisville", où l'on retrouve un certain visage de l'Amérique moyenne, des "gens simples".En point d'orgue, la reprise de "Freebird" lors de la cérémonie d'adieu au père, où une maquette géante d'oiseau se précipite, en feu, sur l'assistance......et Kirsten Dunst, rayonnante. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Basculo Cui Cui Posté(e) le 13 novembre 2005 Share Posté(e) le 13 novembre 2005 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Basculo Cui Cui Posté(e) le 28 janvier 2013 Share Posté(e) le 28 janvier 2013 nRNP5MHbZp4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
DPG Posté(e) le 29 janvier 2013 Auteur Share Posté(e) le 29 janvier 2013 Je le reverrais bien ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
F-des-Bois Posté(e) le 15 juillet 2018 Share Posté(e) le 15 juillet 2018 Pas emballé du tout moi, DPG a survendu honteusement cette comédie douce amère marshmallow, Bloom-Dunst l'équivalent d'un bon Lexomil, la bande-son à base de morceaux pop-rock donne envie de fracasser une guitare sur la tête de quiche d'Orlando Bloom et la scène de Susan Sarandon est super embarrassante. Voilà, je le reverrais jamais je pense. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
DPG Posté(e) le 16 juillet 2018 Auteur Share Posté(e) le 16 juillet 2018 Si ça te rassure, 13 ans après, je l'ai jamais revu, et j'en ai absolument aucun souvenir ! La jeunesse quoi... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
F-des-Bois Posté(e) le 16 juillet 2018 Share Posté(e) le 16 juillet 2018 2005 c'est vrai j'avais pas vu...je m'en veux du coup de m'en être pris au petit poussin que tu étais en 2005 qui visiblement était un être tout en sensibilité. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Benj Posté(e) le 18 mai 2022 Share Posté(e) le 18 mai 2022 Pas loin d'avoir trouvé ça merdique. Déjà caster Orlando Bloom pour un 1er rôle c'était une erreur, le gars ne transmet aucune émotion ni de sympathie. Kirsten fait ce qu'elle peut, mais est à la limite de la ZooeyDeschanelxploitation. Sa rencontre à la limite du harcèlement avec le père Bloom est gênante. La scène dans laquelle Susan se lâche pareil. En gros tout le film m'a semblé être un meltingpot des films indés qu'on a eu à l'époque, avec la ville de province où les gens son laid back, un peu con mais braves, le gimmick du road trip à la fin avec la carte concoctée par Kirsten pour rien, les gens qui ont des réactions connes (la sœur de Bloom qui flippe parce que Susan fait la bouffe...). Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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