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Guillaume Tell

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Tout ce qui a été posté par Guillaume Tell

  1. Effectivement sublime, Pasolini frappe fort. Sa poésie sans faille lui permet de remuer jusqu'à nos derniers tabous. Rien à ajouter, si ce n'est que Ugo Tognazzi que l'on a plutôt l'habitude de voir dans des comédies (La Cage au folle, Les monstres, Mes Chers amis, ...) est aussi admirable et que la galerie de personnage du "cru" qui annonce la mort du fils en fin de film est aussi remarquable. Galerie à voir selon moi comme un pudique hommage de Pasolini au monde rural et travailleur. Tu aurais parlé un poil plutôt de ce film que peut-être la salle de la Cinémathèque suisse se serait remplie de quelques amateurs de plus. Le film est passé il y a un mois dans une copie de qualité moyenne (un peu rougie)
  2. Dommage que tout cela s'enlise dans un débat stérile avec ce qui est n'est finalement qu'un film, beau au demeurant.
  3. Parmi les nombreux films en attente, si vous avez un conseil ou une critique je suis preneur
  4. Je te remercie de ces aimables précisions pédagogiques. Nous nous éloignons un tant soit peu du sujet: le film. Si je cite l'attitude de Tsukamoto et son manque de motivation, c'est que la séance m'a paru être le prolongement de sa prestation publique: plutôt nonchalente. presque irritante. Pour ce qui est des films cités, ils ont juste pour point commun de mettre Tsukamoto en personnage central et de rappeler que même un réalisateur au passé très respectable peut avoir son moment de faiblesse. Bonne journée
  5. Très bon souvenir de ce docu poignant et inquiétant, d'autant plus fort qu'il est soutenu de petits moments tirés de films de famille. Ce plongeon malsain dans cette famille qui pourrait être de notre voisinage vaut en tous les cas le détour: merci Superwondoscope de mettre ce film en avant. PS: un des fils (dont j'ai oublié l'âge mais pas tout jeune) qui anime des anniversaires déguisé en clown laisse une trace amère
  6. On dévie tranquillement hors Bronzé et cinoche ... Non, je ne suis presque jamais malade (1 jour en 14 ans c'est pas mal). Je disais ça pour la télé. Pepère chez moi: quel cauchemar.
  7. Même sur grand écran et présenté par Tsukamoto lui-même c'est long. Tsukamoto fait le pitre et ne répond pas aux questions, en résumé il n'a pas l'air de croire à ce qu'il fait. Puis vient la projection et on prie pour qu'il arrête de souffler comme une midinette qui nous fait une hyperventilation. Pas de chance, c'est l'essentiel de son texte. Pour le côté urbain ne nous emballons pas, surtout cauchemardesque dans l'intention dirons-nous. Deiuxième déception après Marebito, le temps de Tetsuo est bien loin.
  8. Que je suis malade , ceci dit on peut comprendre l'attente d'une sortie DVD pour un film comme les Bronzés3 - ou la diffusion sur une chaîne- vu le prix des places, surtout pour le jeune public PS: je confesse avoir aussi été un gros consommateur de TV et de séries ....
  9. Pas de moment "fougne" à se tordre les côtes: dommage. Dire que l'on s'ennuie serait aussi mentir. Phénomène de société, le film des gentils vieux permet au moins de mélanger pour une fois tous les publics dans la même salle et c'est déjà pas mal. Sur ce je vous invite à casser votre télé et vous souhaite une bonne fin de journée.
  10. Très beau film et à voir au cinéma svp. Loin des poncifs attendus sur l'homosexualité, baigné d'un rapport à la nature envoûtant. Petite réserve quant à leurs familles respectives qui n'échappent pas, elles, à tout ce qu'on pourrait détester dans le couple - enfants mis à part bien entendu.
  11. je suis bien content de voir que tout le monde ne fait pas pipi dessus quand on prononce le nom de tarantino
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