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Nicolas

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Tout ce qui a été posté par Nicolas

  1. SF fauchée de chez fauchée, injectée d'une bonne dose d'humour (je ne peux pas croire qu'elle est involontaire), R.O.T.O.R. dérive de son postulat B post-Robocop pour tomber dans la gaudriole la plus totale : Le chef du projet du labo est en fait un cow boy interprété par Richard Gesswein, une sorte de petit cousin de Charles Napier, les scenettes de remplissage au labo futuriste font la part belle à un émule de Robby le Robot, une machine cocasse qui détends l'action par ses interventions sporadiques et la séquence Stop Motion présentant le prototype de ce flic du futur fait appel à une bonne dose de second degrès. Ce mélange d'humour et d'action minimaliste aboutie à un résultat improbable mais très divertissant qui bat son plein lors d'un final mémorable dénonçant à la fois les luttes de pouvoir, les taux de criminalité en expension et les responsabilités éthiques de l'être humain vis-à-vis de l'intelligence artificielle. (qui dans le cas de R.O.T.O.R. porte vraiment bien son nom)
  2. La magie Sylvain Green à son apogée.
  3. int-18 ans à sa sortie. Contient du Muriel Montossey agréssée (dixit) par des pédés.
  4. Le film préféré de Sws. Ultime bide pour Pécas. Contient du Brigitte Lahaie. [dmotion]x6p95n[/dmotion]
  5. Max contre-attaque. [dmotion]x6pc18[/dmotion]
  6. Le premier de la trilogie tropézienne mythique. Contient du Michel Vocoret. [dmotion]x6pbu7[/dmotion]
  7. Le plus gros budget de Max Pécas. Son blockbuster terrassoir. Katia Tchenko fever. [dmotion]x6pce0[/dmotion]
  8. Je l'utilise pas souvent, mais là je sais pas si j'aurai une meilleure occasion avant longtemps alors je me lance :
  9. Les gens n'aiment pas trop qu'on s'affranchisse des codes. J'avais détesté SAINT ANGE, qui était un énième commentaire d'oeuvres, très symptomatique de son époque... du cinéma qui ne cherche qu'à capitaliser tranquille sur un public pensé pré-aquis. Là, j'ai été surpris du revirement extrême, c'est quasiment un acte de foi. Et je pense que ça explique la relative omni-présence de Laugier dans les médias parce qu'il doit quand même être conscient que son bébé n'est pas rassurant. La preuve.
  10. Tu viens me dire qu'il y a eu une centaine de films d'horreur qui exploitaient la même idée de l'espace, le problème c'est que tu laisses aucune chance au film d'avoir sa spécificité en disant ça. Donc oui, sauf votre respect msieur woermann, je trouve le film est moins esclave de ses références que toi tu peux l'être en assénant ça comme ça.
  11. .. et qui ont forgé la grille de lecture dont t'arrive pas à sortir.
  12. Spéciale dédicace à Nick Lezob! [dmotion]x6ntvb[/dmotion]
  13. T'as pas vraiment aimé, donc. Mais c'est curieux cette manière de se positionner par rapport à la violence du film, en pretextant que les plus aguerris bailleront... c'est assez ambigu de reprocher à la fois, je te cite, la putasserie de ces longs passages et d'en donner l'idée d'une certaine frustration... une attente n'est pas comblée en la matière ou j'ai mal compris? Pour moi il est clair, que si l'on sort du film à ce moment là, on passe à côté de l'oeuvre en bloc, que par ailleurs tout le monde semble s'évertuer à saucissonner en trois parties. (dont moi de prime abord) Y a quelque chose d'assez impensable dans ce long couloir de tortures, d'assez injustifiable... qui paradoxalement les justifie. J'ai aussi beaucoup aimé la gestion de l'espace dans cette maison... l'idée d'un passage... les escaliers... les étages supérieurs...y a quelque chose d'assez évocateur là-dedans, qui agit plus ou moins consciemment sur l'immersion dans le film et lui donne une dimension particulière. Deux jours que je l'ai vu, et j'ai vraiment le sentiment d'avoir vu un film à part. Tout simplement, une oeuvre à part entière. C'est évident que si on préfère FRONTIERES (de mon point de vue, une vraie bouse)... y a un monde entre les deux... et je dis ça sans aucune arrière-pensée condescendante.
  14. C'était Monique Pantel en direct d'Evreux . A vous les studios.
  15. Je l'ai vu le film. C'est pour ça, je m'interroge. Et y a des balises prévues à cet effet tu sais.
  16. Pourquoi ce rictus concernant mademoiselle... t'as l'air de signaler cela comme une évidence... faudrait peut-être développer un peu nan?
  17. Il faut préciser que "Repossessed" est quand même plus profond que cette diahrée filmique.
  18. Pendant longtemps c'était aussi mon préféré... puis avec le temps... j'avoue avoir développer quelque chose avec "Phenomena". (non, non, pas de l'herpès)
  19. Oui Celia, ça gicle. Un film bien particulier, du genre casse-gueule dans son exercice d'équilibrisme irrécupérable, mais il en ressort une certaine évidence à l'arrivée. Le film sort de sa catégorie pour tomber dans l'objet filmique qu'on n'a pas vu venir. C'est dur d'en parler sans le griller... la première partie sèche méchamment : mise en scène à l'énergie, la hargne, des actrices et des corps tout en spasmes. Il y a une vraie force viscérale et physique qui s'en dégage... j'ai beaucoup aimé... eu un peu plus de mal sur la seconde. Au 108ème coup de poing, on décroche... La troisième partie est la plus incroyable, la plus audacieuse et confère au film une puissance sombre implacable... réellement impressionnante. Sinon, j'ai vu que le film de Florence Quentin était à l'affiche aussi.
  20. Mais bien sur que c'est bien !! [dmotion]x6n2lg[/dmotion]
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