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Nicolas

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Tout ce qui a été posté par Nicolas

  1. Si, mon chou. Du coup je te demande d'encaisser cette basse remarque vindicative sans broncher.
  2. Il y a des choses assez nulles dans ce film. La douche dans le vestiaire après la gym et le parallèle avec les chambres à gaz. C'est tellement aberrant... mon dieu... La contamination du mal et la fascination qui en découle, un sujet intéressant, et sur ce mode là, y a des choses plus réussies, plus quotidiennes, plus sournoises que les grands élans pervers et démonstratifs du jeune héros, avec regard fronceur forcé... Je retiens aussi l'extraordinaire score d'Ottman. Alan Bridges avait tenté d'adapter cette nouvelle en 87 avec Rick Schroder et Nicol Williamson. La production avait été interrompue.
  3. Pas emballé par cette suite. La scène d'intro met la barre très haute et après ça fait sploutch. Le problème c'est que l'ennui pointe dès le premier quart d'heure avec ces scènes d'expo sans intérêt. Le script ne fait rien du potentiel d'une TV réalité plongée là-dedans... à quoi bon avoir opté pour cela, donc? On remarquera aussi que le film ne retrouve pas la brutalité étonnante qui faisait la marque du premier... On est dans dans le domaine du cahier des charges froidement éxécuté, et le format. Le DTV qui parvient à rendre aseptisé ce qui se veut se glauque. Le film d'horreur pour fans de Cauet. Si quelqu'un veut le dvd...
  4. J'avoue qu'en voyant ce film, j'étais un peu troublé.
  5. Que pensez-vous de Ryan Reynolds dans Amityville?
  6. Je crois qu'au-delà de 30 euros, c'est objectivement de la connerie. On n'est plus dans le domaine du sérieux. Evidemment avec le système eBay, les multiples aberrations ont tendance à flouer la valeur réelle des choses... mais bon, à une époque où l'on trouve des DVD à 0,75 centimes, la valeur des choses, hein... "I comme Icare" n'est pas vraiment rare. La Proserpine a quand même eu droit à un bon p'tit tirage. Evidemment, le fait que le film soit inédit en DVD joue dans sa cotation... mais 25 euros, ça me paraît un brin abusé... Allez ma contribution au sujet, Mourir d'Aimer d'André Cayatte.
  7. Il a quand même réussi à claquer le beignet de Morandini "regardez-vous, vous symbolisiez la télé poubelle..." [...] "Vous m'invitez pour faire de l'audience et ça marche"... C'est quand même terrifiant de se faire remettre à sa place par un guignol pareil.
  8. "Brainstorm", je sais pas, mais ce qui est sur c'est que "meurtre au 43ème étage" dans la même salve Warner, et qui devait sortir le même jour, est bien sorti lui.
  9. Peter devrait apprécier, rien que pour le clin d'oeil à "Un Aller sans Retour", le personnage d'Hauser s'étant retiré du monde pour vivre dans une déchetterie jonchée de cadavres de canettes de bières, sky et autres joyeusetés. Les messieurs du dessus ont bien résumé la chose. En fait ce qui est le plus frappant, c'est de voir comment la peinture des nazis en question, après une ouverture choc, est traitée de manière très secondaire au profit d'un très modeste récit familial aux rouages très mémère. En gros l'échec d'un couple, après une bavure policière avec mari sombrant dans l'alcool et mère courage épaulant son fils gay dans l'adversité... et blablabla et blablaba... Le final défouloir, complètement débile, arrive comme un cheveu sur la soupe en conclusion d'un récit visant à resserrer la cellule familiale... père rendant visite à son fils amoché, fils préparant des broccolis à son père, mère achetant une bouteille de Jack Daniels à 3h du matin... Hauser finissant par regagner le lit conjugual, saisi sa batte de base ball par la même occasion. En fait jamais des nazis n'avaient été utilisés comme courroie expressive des malaises d'un couple. Wings la fait. Les amateurs de VF cosmiques en auront pour leur argent. La preuve avec cet échange entre un fils et son père : [dmotion]x75kwr[/dmotion]
  10. Mais qu'est-ce qui se cache encore derrière cette production italienne aux noms prestigieux... Dante Spinotti, Ferdinando Scarfiotti, Giorgio Moroder! Et bien non, c'est pas Dino! Deux acteurs américains, une anglaise dans le cadre, un scope qui pête le feu... aaaah c'est beau, c'est très beau, c'est très stylisé, maniéré dans son ambiance visuelle ultra-travaillée. Un rêve 80's, superficiel et bling bling. On se croirait chez Michael Mann. "Fair Game" est en fait un tout petit script de B assez limité, boosté aux "trucs" de ses artisans chevronnés. Le résultat est très agréable à l'oeil. Il faudrait être très difficile pour affirmer le contraire... tout ce petit monde parvient à installer une angoisse distillée avec une certaine réussite, angoisse qui culmine en une partie centrale de séance claustrophobique quand le mari frustré lache sa quequette, heu son serpent, dans l'appart de son ex. Image, image... Trudie Styler va passer la moitié du temps à courir, sauter, hurler, foutre le feu, elle a toutes les K7 de Gym Tonic! Cela dure 1h15 et très franchement, dans le genre serpent qui court après une nana, c'est tout à fait fréquentable. Je regretterai juste cette scène de snuff animalière tout à fait inutile en début de métrage, pour nous montrer à quel point un Mamba c'est vraiment très méchant. Le Z2 propose un vieux télécinéma tout griffé. On croirait regarder le film sur FR3 en 86. Ce qui pour un film de 88 renforce son côté étrange.
  11. Nicolas

    8MM - Joel Schumacher (1998)

    Je comprends, c'est un peu ta thématique, ça... ça revient souvent. La scène qui m'avait vraiment perturbé dans "Hardcore", c'était la projection du snuff avec l'espèce de chanson espagnole derrière en totale décalage, ça donnait un rendu abolument glauque. 8MM vise plus l'efficacité. Dis-toi que pour la plupart des gens, la vision des bas-fonds sonne juste. Puis sinon concernant "Hardcore", l'enquête en elle-même, l'immersion, j'ai vraiment souvenir d'un machin laborieux, très ennuyeux dans sa démonstration, qui se réveillait sur la fin avec un gros craquage et des murs défoncés.
  12. Nicolas

    8MM - Joel Schumacher (1998)

    C'est pas terrible "Hardcore" et c'est surtout chiant, avec George C.Scott qui se prends la tête entre les mains devant l'horreur de la pornographie. 8MM est plus grand public, et n'est pas plus con... Et Peter Stormare, au moins a l'air de s'amuser!!
  13. Nicolas

    8MM - Joel Schumacher (1998)

    Je préfère 1000 fois 8MM à Death Sentence!!! Je trouve que c'est vraiment un polar passionnant, dans le sens ou il m'a scotché à son intrigue "c'est le mauvais jour pour arrêter la clope". C'est captivant, bien filmé, bien interprété, les archétypes fonctionnent à plein régime. Le film a vraiment une facture intéressante. Et il se paie même le luxe d'être franchement désagréable dans sa dernière partie à la fois tordue et primaire, mais finalement d'une cohérence assez belle.
  14. Merci ! Je vais regarder ça. Tout un programme!!
  15. Par le réalisateur de "Tout doit disparaître", tout de même. Tain' le cauchemar.
  16. aka "Don't Answer the Phone!" Kikavu?
  17. Nicolas

    Eden lake - James Watkins (2008)

    ça tombe bien, j'adore être violé. Mentalement, il va sans dire.
  18. Nicolas

    Eden lake - James Watkins (2008)

    Bon, vous m'avez convaincu les deux derniers!!! Je vais le voir cette semaine!
  19. Nicolas

    Khamsa - Karim Dridi - 2008

    Bon film, oui. Loin du cinéma social rassis du palpitant à la française, c'est bien filmé, plastiquement souvent superbe, sans discours pesant. Une oeuvre intègre. DPG a parfaitement résumé la chose, un film attachant.
  20. Nicolas

    Night Screams - Allen Plone (1987)

    Yeah! C'est bon. Tu m'as convaincu!
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