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Nicolas

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Tout ce qui a été posté par Nicolas

  1. Nicolas

    Exes - Martin Cognito (2006)

    Toi tu veux un pack full force "Exes" + "Croisière". C'est noté!
  2. Jean Paul Gaultier a cité le film chez Denisot cette semaine ! Quelle pub subliminale de prestige! (dans "la boite à questions")
  3. Nicolas

    Exes - Martin Cognito (2006)

    D'accord, mais en dehors des raisons économiques, je vois pas bien l'intérêt de tourner un film dans les conditions du porno, si c'est pas pour faire un porno justement. C'est un peu ça que ça dit au fond. Là on a quand même trop l'impression de regarder un film de famille. Tom Novembre qui singe Patrick Magee chez Kubrick dans un style groland, c'est quand même assez insoutenable. Pour moi, c'est à ranger à côté de CROISIERE. Le fameux.
  4. Résumé (Wild Side) :Le ventre de Paris dégueule sa cruauté. Exes et Song ne veulent pas tuer. Mais il le faut. Ils doivent suivre ce qui est écrit. En respectant à la lettre les moindres détails de ce foutu livre… Ils doivent tous y passer… La libraire, la pute, le paralytique… Tous. Le début fait très peur avec son "Samuel Le Bihan présente"... la suite terrifie, exploitant tous les clichés du cinéma d'auteur franchouille du genre abscons, dans un ensemble qui se veut trash et choc. Bref dans le ton d'un certain cinéma français qui s'aimerait en vogue. J'ai rarement vu un film ou tout est aussi mauvais. De l'image dégueu DV, aux acteurs (il faut voir Pierre-Loup Rajot et Tom Novembre ), aux dialogues verbeux, aux situations consternantes. (Manuel Blanc, avec des pinces à linge sur les têtons, saute une fan de Tokio Hotel en pleine rue, avant de se faire sodomiser par un travlo qui lui explose l'anus au flingue), tout est magnifiquement mauvais. Brillant de médiocrité, étincelant de bêtise, sublimement affligeant. Pour la caution intello-branchouille, en plus de lourdes références assénées, un caméo absolument catastrophique d'Abel Ferrara en clochard chrétien qui demande qu'on le suicide, car sa religion le lui interdit. Subtil. C'est dur de ne pas rire. Vu sur le sous-verre Wild Side, qui restitue magnifiquement l'ambiance visuelle "TP Audiovisuel du Lycée Michel Berger de Garges-lès-Gonesse" du... film. (?) PS : Derrière Martin Cognito, pas de Gaspard Noe, de Laurent Bouhnik ou Gérard Pullicino mais, peut-être, une banale histoire de pension? http://www.lejdd.fr/cmc/societe/200830/a-la-poursuite-de-monsieur-x-_134253.html
  5. C'est justement pour moi le film typique vu sur canal dans les années 80, que j'ai peur de revoir pour le confronter à ce souvenir sympa ! Il était passé le même mois que Condorman, je m'en souviens encore.
  6. Bonheur des yeux ! Bonheur du coeur! Pas déçu par ce "Pathfinder" qui remplie son contrat haut-la-main pour moi, dans son parti pris radical. (ne serait-ce que par rapport au film original) Faudra pas chercher un quelconque intérêt historique à la chose, Nispel caractèrise ses personnages de manière forte d'entrée et se refuse à en sortir, misant tout sur la cinégénie de son film. Il en résulte un spectacle froid et gorgé de souffle. Trouvé le montage assez fluide, comparé à certains camarades. Peu de dialogues, et une narration visuelle et sonore forte qui font tout passer, l'émotion, la bravoure, l'épouvante... bref une expérience cinéma à part entière. Je suis surpris de l'échec critique du film, globalement. Moins de l'échec public, le film étant relativement froid dans son rendu. Vu sur le Z2 Fox, avec featurette et scènes coupées. (dont une marrante, avec un échange intéressant. Ou quand une séance de pets remplace le dialogue entre deux hommes. Du cinéma, je vous dis)
  7. Faut qu'on se fasse ça, alors Damien... j'amenerai des keupines, on mettra l'ambiance !!
  8. Il faut que tu le revois au studio galande. C'est typiquement le genre de film dont on peut passer à côté, à froid, seul chez soi.
  9. J'avoue avoir une grande nostalgie pour toute cette collection de téléfilms US 70's (que j'ai pas connu en leur temps, doux paradoxe), qui se caractérisaient par leur économie d'effets en proportion de leur économie de budget. Il y avait un côté réposoir sur les acteurs et aujourd'hui ils ont une patine et une gueule incroyable. Ce "Something Evil" ne fait pas exception à la règle. On sent bien déjà, que Spielberg essaye de se démarquer de ses collègues et de s'éloigner du "format" en se lançant dans des idées d'angles "autre", de plans sophistiqués, d'imposer une pate à lui dans un environnement extrêmement archaïque pour raconter son histoire. Il arrive à imposer un ton, une ambiance, et un langage visuel à lui. Ce n'est pas ce qu'il a fait de meilleur pour la télévision (son opus de "Night Gallery" est un cran au-dessus), mais c'est du bel ouvrage de facture universal de l'époque.
  10. Bon alors ton Friedkin, avec sa superbe VF Garcia & Ktorza , il s'est bien vendu?
  11. C'est malin! Du coup je chante tout seul "science fiction, double feature...oh oh ohohoh"
  12. Enorme fresque fresquesque avec un beau boxon d'acteurs internationaux. Il est certain que le shématisme démonstratif du film n'est pas vraiment de droite... mais le film a un souffle et un côté défouloir populaire assez sain dans ses rouages. Bertolucci s'est quand même vu étiqueté à vie chantre de la gauche caviar italienne avec ce film, suite au bide essuyé. Il aurait été intéressant que le film soit un succès car c'est un film honnêtement populaire. Il n'empêche, pour répondre aux réserves, que des sagas aussi abrupte, ambitieuse, et aussi peu aseptisée que celle là manque cruellement au panorama actuel.
  13. La télévision est une immense chasse d'eau où les buzzés du net sont comme des canards wc accrochés à la cuvette se faisant pomper leurs jus pour finalement se faire chier dessus. Je crois vraiment qu'il y a une boite de com derrière Vendetta.
  14. Ce film est comme une Renault 12 qu'on aurait tunée en Audi A4 avec les jantes en allu et tout.
  15. Mais au secours ... alors là pour le prochain buzz internet va falloir creuser bien profond hein parce que O_o waw comme dirait les kikoo!
  16. Nicolas

    La Jetée - Chris Marker (1962)

    J'ai jamais dit que tu disais le contraire. J'apportais un élément d'information parlant. Et puis vas-y ferme ta race.
  17. Nicolas

    La Jetée - Chris Marker (1962)

    C'est indiqué dès le générique d'ouverture de "Twelve", d'après "La Jetée" de Chris Marker. Je vois pas comment on peut être plus explicite... puis bon c'est pas trop mal ce qu'il en a fait, tout de même. Faire son film le plus grand public et vendre des t-shirts, sur une base comme celle-là, respect.
  18. Milers et Flora, deux orphelins, sont initiés à la vie par Peter Quint, palefrenier, jardinier et homme à tout faire de la maison de leur tuteur. Quand Mrs Grose, l'intendante, décide de renvoyer Quint et la gouvernante Miss Jessel qui est également sa maîtresse, les enfants se rebellent. Variation sur "Le tour d'écrou" d'Henry James... Un film assez curieux dans la filmographie de Michael Winner, plus habitué à l'action sans fignolage qu'aux ambiances victoriennes ou le non dit et la perversion s'immisce. Brando n'est jamais meilleur que lorsqu'il fait du Brando. Içi on est servi... Initiant la maîtresse des enfants au bondage, faisant fumer le cigare aux crapauds, piquant la poupée à l'effigie de l'intendante, il developpe avec les enfants une étrange relation malsaine, distillant le poison dans leurs âmes. L'ironie finale qui est en fait l'amorce du "tour d'écrou" fait basculer le film dans la catégorie des jolis plaisirs macabres d'un autre temps. Entre la très belle photo de Robert Paynter et l'excellent score de Fielding, "The Nightcomers" mérite vraiment toute l'attention qui lui revient. Z2 Canal, techniquement honnête. En + deux B.A. CaBaXWLJ3dA
  19. Je crois que c'est encore plus dur à dégoter que des documents sur le fameux film de Jerry Lewis .
  20. Mais naaaaaaaaaaan, t'inquiète. Ayant vraiment beaucoup aimé le premier, j'étais curieux de le voir de toutes manières. Puis c'était l'occasion de revoir un peu Matthew Currie Holmes. C'est déjà ça.
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