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Nicolas

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Tout ce qui a été posté par Nicolas

  1. Je rejoins Kero... on se demande ou disserner Lustig dans ce navet chiant, très symptomatique des produits video des années 90. Réalisation terne, interprétation approximative, les quelques bonnes idées sont sacrifiées par une mise en scène terne, sans relief.
  2. Revu, et appréciation intacte! Le making of est très intéressant. Mylène et Morjana ont vraiment donné de leur personne, sans compter! J'aime bien quand Laugier fait le parallèle entre son film et une chanson de geste. Au moins ça ne souffre d'aucune justification. Le module sur la censure ne vole pas haut, entre l'enfonçage de portes ouvertes, la posture outrée, la pathétique manif... mais il a le mérite de donner la parole un membre du comité de classification, par ailleurs très convaincant dans ses arguments... Voilà. Pour résumer, ça encaisse bien une vision home movie!
  3. Nicolas

    Kickboxer - Mark Di Salle - 1989

    TF1 a ressorti un disque depuis avec un nouveau master, et il propose une vost en prime. Cela dit, c'est gentil KICKBOXER, mais ça vaut pas BLOODSPORT.
  4. Oh que oui, la VF tue, je confirme !
  5. Nicolas

    Kamikaze - Didier Grousset (1986)

    Bah le problème, au-delà du coup de vieux, c'est que c'est méchamment raté à la base. Script de merde. C'est dommage, vu le potentiel plutôt réjouissant du film.
  6. Nicolas

    Kamikaze - Didier Grousset (1986)

    Rigolo si on veut visiter les premiers locaux de canal plus, et les magasins Darty.
  7. Il parait que Tavernier renie déjà le (télé?)film. Dommage, c'était intriguant comme projet. J'aime bien l'affiche.
  8. Le film qu'il faut voir si on veut suivre une enquête d'investigation journalistique de haute volée sur ces clubs d'aérobics qui évoquent l'atmosphère des chalets de montagne. (c'est Travolta qui le dit dans le film) Notre Travolta préféré incarne un journaliste de Rolling Stone Magazine qui file à L.A. pour infiltrer un club d'aérobic. On est alors en pleine ère franchouille véronique & davinamania, ça venait donc de là bas. Très vite il choisi l'angle de son enquête sans en faire part à Jamie Lee Curtis, le salaud : Les clubs d'aérobic sont les backrooms des années 80. Attention dans ce film, il y a des scènes en scope de squash, de majorettes , de body dynamic... et John Travolta sous couverture qui pense, parce que PERFECT c'est un film de James Bridges qui dit des choses sur l'Amérique, celle qui revient à Emerson et à l'auto-suffisance. Dans la BO cohabitent Lou Reed, Thompson Twins et Jermaine Jackson, il y a même une réunion de fans de Boy George et Michael Jackson qui dine en ville dans la VF. C'est un peu un rêve 80. PERFECT est en fait un portrait désillusionné de la vacuité journalistique, et ça personne l'avait compris. C'est éclatant lors d'un visionnage en 2009. Vu sur le Z2 d'excellente facture de Columbia, un scope et une copie à vous faire bouger le corps. DkfHzAMHFQY
  9. Nicolas

    RIP Alain Bashung

    s0pOVL9LfYQ Respect.
  10. Nicolas

    Vendredi 13 - Marcus Nispel (2009)

    Bon, alors pour ma part, j'ai beaucoup aimé... j'y suis allé en condition, comme on va voir un bon slasher des familles, le samedi soir, avec le public qui fait bien. C'était vivant, c'était bruyant, et visuellement joliment torché, c'était, c'était... c'était bien! Je ne suis pas tellement d'accord avec ce qui est dit plus haut par Black Cat Bones, je n'ai pas ressenti la condescendance vis à vis du matériau original, mais justement une certaine humilité par rapport à la tache (ingrate). Quant à la moulinette Bay, elle fait quand même moins de dégats que dans le piètre remake d'Amityville. Cela dit, ça ne vaut pas "The Burning"
  11. Faites signe quand les réservations seront effectives. J'en serai!
  12. Nicolas

    Gerardmer 2009

    Oui. WZccxQo130k
  13. Nicolas

    Gerardmer 2009

    Il est clair que si on fait moins d'1m90, les films sont durs à suivre selon l'emplacement. Pour moi, tout allait bien. J'étais bien placé, et je fais 1m87. Je suis surpris des bilans un peu pisse froid, j'ai trouvé que cette année, on avait vraiment eu droit à des films de grande qualité. (quand ils étaient bons) Evidemment MORSE, moment magnifique de cinéma qui perdurera sans aucun problème, SAUNA et sa grande épaisseur intériorisée, film austère mais d'une qualité cinématographique finalement assez rare à Gérardmer. Il y a evidemment eu la bouse réglementaire qui fait bien (MUTANTS), quelques films tiédasses pas follement captivants (THE BURROWERS, DEADGIRL, HANSEL ET GRETEL, beau comme du Richard Clayderman) Les p'tits films qui assurent bien du moteur dans leur modeste périmètre (HUSH, MIDNIGHT MEAT TRAIN, MANHUNT, SPLINTER), un chef d'oeuvre incompris (REPO)... et même un remake pas si mauvais que ça. (LONG WEEK END). J'ai zappé EN QUARANTAINE, en revanche. La séance rétro, partager POSSESSION et son vieux logo Gaumont qui fait peur, avec Cyril qui découvrait le film... Quelle bonne idée d'avoir balancé deux slashers scandinaves le samedi soir! J'appelle ça un effort de programmation. Et conclure sur l'excellent BAD BIOLOGY et une choucroute, si c'est pas finir en beauté ça... en résumé, c'était bien, c'était chouette. On y retournera.
  14. Nicolas

    Gerardmer 2009

    J'arriverai vers 17h. J'agiterai les téléphones qui font bien pour alerter.
  15. Nicolas

    Gerardmer 2009

    Quelle surprise!
  16. J'aime bien. Mais bon, j'aime bien aussi "La Femme Publique".
  17. Nicolas

    Gerardmer 2009

    J'ai fait l'amour avec l'amer toubib pendant un été d'enfer!!!! Une raison de plus pour ne pas louper cette édition.
  18. Pleure, tu pisseras moins. Et ne mêlez pas Gabriel Aghion à ce débat, merci.
  19. "Ca doit te faire drôle qu'on t'éjacule plus dessus..."
  20. On s'en fout à l'arrivée de ces films. (enfin moi, evidemment. Mais je mets ON pour faire corporatiste) On peut bruler des cierges, ça reste de l'ordre, soit de la technique, soit de l'anecdotique.. il manquera toujours le truc pour parachever. Un exemple. Je n'aime pas la pseudo ambiguité chez Friedkin, souvent je trouve ses narrations limite malhonnêtes, ses mécanismes dramatiques too much... s'il possède un pouvoir de l'image, je me sens toujours comme spectateur, un peu pris au piège de ses narrations. J'aime pas trop ça!! Ce qui est bien avec le film dont on parle, c'est qu'il est la synthése parfaite de toutes les qualités du cinéma de Friedkin et de tous ses défauts digérés, dont cette volonté d'accoucher, souvent trop assénée, d'un film ambigu, dans sa narration, sa mise en scène, assez bizarrement cette fois, j'adhère... comme une fulgurance dans une filmorance... cela donne un fracas artistique qui me semble davantage notable à ce titre... un p'tit côté reader's digest pas digeste, que j'aime vraiment bien. Dans ce film! Et j'ai vachement envie du BR, en fait.
  21. Je l'ai revu l'an dernier... autant dire, que comparé à la perte de temps que constitue la quasi intégralité de la filmo de Friedkin, sorti de THE EXORCIST, celui là est pour le coup, une véritable synthèse du cinéma américain des années 80, dans ce qu'il a de meilleur. Ceux qui l'ont pas vu, puent du lactose périmé du sgeg qui entoure le gland les jours de RTT.
  22. Ce qui est bien c'est que justement, le film impose son rythme un peu lent alors c'est vrai qu'il faut peut-être un temps d'adaptation, mais comme dit Tubby après... Il n'y a pas le tampon "trash" qui veut s'imposer à toutes les séquences, mais des idées tenues sur la durée et ça c'est plutôt une bonne chose. Il y a même quelques idées de cinéma vraiment heureuses dans le lot, une recherche plastique certaine dans son esthétique, qui s'inscrit vraiment dans la narration... vraiment une bonne surprise. Le résultat est à la fois singulier et porte la marque (bien définie) de ses auteurs. A voir!
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