Superwonderscope

En chanté ! En dansé ! En Loup-garé! Une grosse bete poilue attaque régulièrment les nouvelles femmes qui se marient. avec Sanjeev Kumar, Sunil Dutt, Rekha, Reena Roy, Jeetendra, Shatrughan Sinha. la copie Eros est griffée de partout, un poil lavasse et en plein cadre. En fait, j'avoue ne pas avoir compris grand chose (vo non st sur 3 heures, ça fait du mal) mais les seules apparitions des fantomes en surimpression (dans la première demie heure) et des attaques du loup-garou sur les pauvres hindies désemparées et pleurnichant valent le détour. Il faut faire bien sur abstraction des sous-histoires (le méchant propriétaire terrien blablablabla la gentille jeune file virginale tougoudoumtougoudoumtougoudoum le joli héros au torse généreux yallayallayalla).le film vire parfois au western avec ses cavalcades en pleine foret * Ceci dit, les apparitions du monstre sont brèves et le focus est fait sur les tralalasyouplaboums amoureux et les chansons qui en découlent. Un peu longuet, surtout quand on comprend uniquement par les images et que les palabres en hindi, c'est très long. Révélation finale sur kikié le loup garou en dernière bobine , twist again à Moscou. Au Superwonderscope-O-Meter, un petit X. Il y eu un remake absolument désastreux par lemême réalisateur en 2002. Les SFX d'un squelette en CGI qui projette ses vitcimes partout dans une pièce sont d'un ridicule absolument achevé à faire passer ceux de Los Angeles 2013 pour la référence du genre;Sans parler des héros bourgeois indiens totalement hors de propos et en rupture avec la première histoire. C'est tout bonnement insupportable, Bollywood dans sa pire forme. Long, excès de siurpeux dans tout le scope, visuellement pénible et vulgaire, chic et toc. Au Superwonderscope-O-Meter, il ne décolle pas du 0.

Incompréhensible de trouver ce film en compétition officielle. Mou, il se la joue plutot polar crépusculaire, racontant l'élection du nouveau Parrain d'une triade. Et la lutte que mène deux hommes pour s'approprier le pouvoir et le respect convoité. l'un plutot violent, l'autre plus diplomate...et toutes les luttes intestines qui s'y rattachent. C'est en Scope et plutot mal utilisé, d'ailleurs. Une image sombre, parfois charbonneuse. J'ai trouvé cela mal éclairé le long du film...et suis resté totalement étranger à ce qui se passait sur l'écran. Les persoannges restant à l'état de caricature, il est difficile de s'intéresser un tant soi peu à leur devenir et au déroulement des évenements. Trois passages assez brutaux (une agression à coup de tronc d'arbre, un meurtre à coup de pierre sur la gueule et l'autre à coup de pelle) rappellent le massacre au marteau de Old Boy et sortent le spectateur de la léthargie ambiante. Le scénario aurait très bien pu se dérouler dans un poliziesco des 70's qu'en plein western... je suis sûr qu'en cherchant un peu on peut retrouver une influence d'un Castellari ou d'un Lenzi quelconque, tant les personnages, les situations étant relativement interchangeables. Le scéanrio, mal maitrisé, regorge de personnages inutiles qui, étant retirés de la narration, n'empechent pas le film d'être. Anecdotique, inintéressant, mou et, au final, convenu. SWS dit : O

je ne suis pas encore arrivé au fameux combat mais au bout de lamoitié du film, c'est quand même un peu chiant, ce truc la VF abominable fait passer le pilule mais bon, c'est franchement moyen. J'attend de voir la fin, donc.

tout pareil : Ce qui fait la force d'un film est non seulement de savoir quoi dire, mais aussi comment le dire. Van Sant a su comment dire : d'un point de vue formel, c'est réussi. Mais le problème est qu'il ne dit pas grand chose. Ou ne sait pas quoi dire. On va m'indiquer que les borborygmes quasi-inaudibles de Blake montrent la parole d'un artiste que le public ne réussit plus à entendre ou que l'artiste est arrivé au bout de son expression? Bof. Je me suis honteusement emmerdé à la vision de ce bel objet filmique. Très libertaire dans sa forme, mais très Cannois dans sa finalité. Asia Argento montre son cul et ... traverse le film. elle ne fait rien d'autre, tous comme les autres protagonistes du film. Une scène de baise entre les deux mecs (qui gardent leurs sous-vêtements, bien vu!), des scènes de lit ave les deux nanas. Un travelling arrière de 6 minutes sur une vitre de la maison de campagne où on devine Blake en train de faire quelque chose (de la musique? une errance entre le canapé et le fauteuil?) avec une musique rock qui va crescendo et qui ressemble furieusement à du sous-Goblin. Purement gratuit, le plan est plastiquement réussi mais tombe dans le vide. La narration de certaines scènes racontées deux fois, avec deux points de vue. Autant dans la fin de Jackie Brown, cela prend un sens clair, autant ici cela tombe à plat. On reste impressionné par la virtuosité du geste mais attérré par le vide que cela engendre. Bref, je regardais ma montre une fois, deux fois, plusieurs fois et j'avais envie de crier...mais putain, suicide-toi qu'on en finisse! J'ai fait du jogging, du jammin', rockin', fumin', ...mais je m'emmerding toujours autant. Last days est un objet à la plastique quasi-irréprochable, immaculé, régressif mais inanimé. SWS dit : O

la gourdasse est partout! Le nouveau projet de Robert Altman, annoncé depuis quelques jours, s'est enrichit de Lindsay Lohan au catsing (avec aussi Lily Tomlin et Lyle Lovett) sur une eémission de radio culte qui s'apprete à émettre une dernière fois au bout de 30 ans. ce qui va provoquer sorties de placrd et rancoeurs diverses. Tournage prévu en fin d'année 2005.

Boah, il y a bientot le film sur l'O.M qui va débarquer. Tous les désespoirs sont permis.

C'est au marché du film de Cannes : le film officiel du club de charentaises aupied-bière à la main parmi les plus célèbres d'Europe. Je n'en croyais pas trop mes yeux, mais, si, si, c'est "le" film officiel. Historique, tournage des tournées, avec des marques officielles sponsors tout partout, les joueurs dans leur propre role... le film sort cet été en Espagne.

je lui souhaite un grand courage, elle va en avoir besoin, la pauvre

Le réalisateur de Darkness et de la Secte Sans Nom remet le couvert. Après avoir co-écrit The Nun, il a réalisé Fragile avec la Flockhart (Ally Mc Beal et accessoirement épouse d'Harrison Ford), Richard Roxburgh et Yasmin Murphy. C'est toujours la Filmax de Fernandez qui s'y colle. On y retrouve aussi , curieusement, Gemma JOnes (la mère de Renée Zellwegger dans les 2 Bridget Jones ET Mme Pomfrey dans Harry Potter 2) Une jeune infirmière arrive dans un hopital pour enfants un peu désolé et qui vit ses derniers jours. Elle comprend que quelque chose attaque les enfants sans que quiconque ne puisse faire quelque chose. Le film a seulement été acheté en Hollande pour l'instant.

[img]http://www.boxofficemojo.com/images/mindhunters_poster.jpg[/img] Je sors, je sors pas... Dimension, après avoir fortement songé à la sortir en DTV " Eye See You" style, a attendu trois ans pour exhumer Mindhunters de ses tiroirs poussiéreux, de le balancer sans publicité notoire sur un peu plus de 1000 copies . Et zou, c'est l'annihilation boxofficiesque totale : 1,9 millions de $, une sortie des écrans dans deux semaines et dans 4 mois en Z1. Dimension a fait subir à Mindhunters les sorts qu'ont connu Equilibrium, Impostor, Below... Les critiques ont été mauvaises voire indifférentes : "seems like the kind of movie that might turn out to be so bad it's good. But before long, it's clear Mindhunters is so bad it's awful." Roger Ebert / Chicago Sun-Times : "Is the film worth seeing? Well, yes and no. Yes, because it is exactly what it is, and no, for the same reason." Le film effectuera une sortie technique chez nous aux abords de l'été, il faudra attendre une trentaine de copies (et puis s'en vont)

il s'agit en fait de Blast (1996)... en Scope pour plus de fun : http://www.superwonderscope.com/blast.htm

[quote="Kerozene"][quote]End Game (remake du d'Amato) avec Cuba Gooding Jr, James Woods, Angie Harmon de Andy Cheng [/quote] Euh.. c'est une blague ? [/quote] Ah quand même il y en a qui lisent entre les lignes c'était à désespérer! Oui (hélas) c'était une blague

Nouveau film écrit et avec jean marie Bigard. Le comique sarkozyste s'essaie au cinéma une fois de plus , et cette fois-ci dans une comédie policière. Il jouera un enquêteur privé qui a adopté un enfant des rues. Tous deux se lanceront aux trousses d'un dangereux gang de trafiquants dans les rues de Marseille, de Marrakech et d'Essaouira. Le tournage devrait démarrer à la fin de l'année. Budget : 15 millions d'€ Source : AFP.

les coquines en question: il y a aussi... Jason Connery et un bogosse moche: Luke Goss

Truc dont j'ai vu quelques extraits au marché du film...ça a l'air bien gore [img]http://www.filmax.com/galeria_imagenes/18583.jpg[/img] 6 femmes, aux chemins bien différents , se retrouvent à la faveur d'un mort brutale qui fait ressurgir du passé quelqu'un qui a bien cru ne jamais pouvoir aller au ciel et qui veut se venger. SFX sympas, en Scope C'est Filmax quiproduit cela en Espagne, écrit par Jaume Balaguero (La Secte sans nom, Darkness) et produit par Brian Yuzna pour la Fantastic Factory. Bande annonce, etc (en anglais) http://www.filmaxinternational.com/fichas/1208_273.htm

Nu Image & sa soeur Millienium films ont annoncés leurs projets maousses costauds pour 2005/2006. La thune amassée via leurs produits Octopus/Spiders & co ont fait des petits et on retrouve dans leurs films qui arrivent: Black Dalhia de Brian de Palma avec Scarlett Johanson (bidget : 69 M d $) 16 Blocks : bruce Willis/ Mos Def réalisé par papy Donner et écrit par Richard "Vamp" Wenk! The Wicker Man de Neil La Bute avec Nicolas cage Lonely hearts de Todd Robinson avec John Travolta/ james gandolfini/ Jared Leto et Salma hayek The Contract de Bruce Beresford avec John Cusack et Morgan Freeman End Game (remake du d'Amato) avec Cuba Gooding Jr, James Woods, Angie Harmon de Andy Cheng 88 Minutes avec Al Pcino (déjà annoncé l'année dernière en promo et cette fois-ci en tournage bientôt) et Boaz Davidson se retrouve quasiment à chaque fois producteur du truc! Comme quoi les aragnées géantes meme vraiment à tout

cochonceté branchouille qui déboule sur le marché du film, par l'immortel réalisateur indien de Sexual Malice, Night Eyes et Irredistible Conduct, des trucs cochons des 90's. Cette "fantaisie érotique" est en Cinemascope et est annoncée comme "Sex in the city meets red Shoes Diaries... London style!" c'est l'histoire de 4 copines qui se réunissent pour parler de les "moments privés" où " tout le monde le fait mais spersonne n'en parle" avec Judi Shekoni, Catalina Guirano, Nastasja Vermeer et Aruna Shields. 1H25 DTS. D.Digital 2.35:1

...la suite du film de Miike, réalisé par un autre, et qui tend vers le remake du premier. Je n'ai vu qu'une affiche pour l'instant, aucune idée du casting, etc... mais en tous les séquelles ont la belle vie en 2005/2006!

Il ne l'a pas encore fait alors je l'annonce à sa place (Fred j'espère que tu m'en voudras pas trop!) Notre ami forumer Guncrazy a réalisé un film...et il vient de le vendre à Salvation en UK pour un diffusion en DVD!!! (visiblement pour ce milieu d'année...à lui de nous confirmer cela) Il m'a annoncé cela, brut de décoffrage autour d'un crêpe au sarrazin en plein Cannes . Bref, il y a de quoi être fier et il va falloir soutenir cette entreprise! J'imagine qu'il va revenir avec tout plein de news à ce sujet Sinon, il est aussi crédité comme monteur au générique d'un film qui vient de sortir cette semaine et qui s'appelle Par l'odeur alléché... ViVa GunCraZy !

Vu vendredi dernier ces premières 16 minutes à Cannes : elles sont vraiment du tonnerre! Pour la musique, c'est une bande sonore électronique couplé d'un son rock assez proche de ce que faisait John Carpenter dans les années 90 (je pense à In the Mouth of Madness). Terriblement éfficace avec les scènes du camion géant (qui, m'a soufflé Guncrazy, lui faisait penser un petit peu à Terminus pas flatteur, ça.) C'est du SCOPE et je n'en croyait pas mes yeux! Ce premier morceau laisse augurer une très belle photographie nocturne, un sens du cadre et de la profondeur maitrisés, des scènes d'actions correctes mais pas délirantes (au sens Zack Snyder du terme), la partt belle faites aux personnages et à la mise en abîme du sujet (apparition d'un homme totalement défiguré dans la pénombre qui s'avère être humain et pas zombie jusqu'au leader black qui renvoie à celui tué à la fin de Night of the Living Dead 1968). Romero revient en forme et il est pas content! Sa rencontre à la Fnac de cannes samedi PM était plutôt joyeuse même si la traductrice traduisait la plupart du temps à coté et que le journaleux de Cinélive posait des questions qu'il mettait trois minutes à accoucher ... hormis les anecdotes habituelles; il était plutot en forme et ravi de toute cette attention. plein d'humour, de lucidité. un grand moment. j'ai pris plein de photos Les SFX sont, d'après les dires de George, à 10 % en CGI (dont un pieu en leine tete avec le sang qui gicle de partout ) et à 90% en old school. à voir, donc. Mais en tous cas, très alléchant pour la suite des événements, même s'il est clair que le film ne sera pas orienté vers la tranche "jeune " des spectateurs.

bonbenbeurkpourmoi Holocauste benne à ordure! pourrait etre le titre de cette suite au fumeux exterminator de James Glickenhaus. récupéré par Mémé, c'est le producteur du 1 qui réalise et co-écrit avec le redoutable Williams sachs, qui est crédité au final de la réalisation des "scènes additionnelles". Mouais. SFX de Ed French. On retrouve au générique des gens comme Arye Gross (House 2, Timelock ou encore le très beau Big Eden) et... John Turturro dans un tout petit role. même les nains ont commencé petit! Déjà que le premier s'averait une copie quasi conforme du Death Wish, c'est encore plus criant ici. Niveau Z de créativité et 0 de violence. Deux ou trois visages brulés et basta. Ginty reprend son role. Il tombe sur une strip teaseuse qu'il aime. elle se fait tabasser. mon meilleur pote se fait tuer. il va se venger du gang de connards qui veulent les rues de NYC pour eux tous seuls, les méchants. A leur Tête "X", le messie, joué par un Mario Van Peebles à la coiffure géométrique de Grace Jones, qui exhibe à qui mieux mieux sa musculature, gonfle ses pecs et ses biceps, habillé de cuir après une soirée fist fucking avec Mark Gregory. Quant à sa bande de niaiseux, c'est assez pitoyable au niveau interpétation. Un festival de grimaces. Au hasard du film, quelques scènes de breakdance échappées d'on ne sait où, influencées probablement par les autres prod Cannon de l'époque (Breakin 1 et breakin' 2 : electric boogaloo). Une scène de la danseuse qui fait une tentative d'entrechat dans Central park. la légèreté d'une oie venant d'etre gavée au plomb. Grand! Buntzmann fait preuve, l'espace de quelques plans, d'un certain flair visuel (notamment dans le duel final, les plans du batiment abandonné). Mais pour le reste, c'est du néant absolu. Quelques travellings latéraux donnent illusion mais c'est une caméra (Gamera aurait été plus inventive!) vissée sur pied avec des acteurs evoluant tristement devant le cadre que l'action se passe la plupart du temps. Faut dire que Ginty passe sont temps avec son lance-flamme éteint dans le cul pour jouer, ça aide pas. Sans parler du message tristement nauséabond de l'auto-défense pronée et la faillite du système en place, as usual danS la période droitière-pro-reagan de la Cannon du début des années 80. C'est quand même du copier-coller de Death Wish (en pire, quoique le Justicier de NYC atteignait des sommets dans le niveau O de mise en scène et de message répugnant), et du peu excitant même si un helicoptère explose et la benne à ordure qui se transforme en char d'assault Poilade assurée et Z confirmé. Vu sur une VHS Secam UGC Video, durée 86mn, plein cadre et VF d'époque à se rouler à terre, aussi. (bon je me suis pas fatigué, j'ai fait un copier/coller demon avis posté ailleurs )

moi aussi j'ai 25 cm mais c'est pas ma patte

[img]http://images.amazon.com/images/P/B00008WI90.01.MZZZZZZZ.jpg[/img] avec que des potes (ou presque) à la composition : Angelo Badalamenti John Barry Marco Beltrami Charles Bernstein Elmer Bernstein Carter Burwell John Carpenter Robert Cobert ), Don Davis John Debney Georges Delerue^$Patrick Doyle , Clint Eastwood Randy Edelman Cliff Eidelman , Danny Elfman George Fenton (), Jerry Goldsmith Christopher Gordon (Harry / Powell, John Gregson-Williams Dave Grusin , Bernard Herrmann , Lee Holdridge , James Horner (Composer), James Newton Howard , Mark Isham Maurice Jarre Trevor Jones , Jan A.P. Kaczmarek , Michael Kamen , Erich Wolfgang Korngold , Joseph LoDuca , Henry Mancini , Joel McNeely , David Newman , Randy Newman , Thomas Newman , Alex North , Basil Poledouris , Rachel Portman , John Powell , Zbigniew Preisner , Trevor Rabin , Graeme Revell , Laurence Rosenthal , Bruce Rowland

encore faudrait-il que tu puisses tenir debout, hé

Dr Superwonderscope, DeCoteaulogue. Je préfère les films en format Cinemascope, Techniscope, Cromoscope, SuperScope, FranScope, DyaliScope, TohoScope, DiaeiScope, UltraScope, ShawScope... et Panavision Je suis gay, juif, noir, unijambiste mais tu touches à ma minorité ou tu en dis du mal, je te pourris ta race. Mes dieux sont Lamberto Bava, Albert Pyun et David DeCoteau. Mais je vous aime bien tous.